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236. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 mai 1886. »

Jouer du Wagner, ce n’est pas seulement donner aux Wagnéristes des jouissances, aux entreteneurs d’opéra des colères ; c’est fonder dans notre pays une nouvelle école d’art. Au milieu d’une école de composition vouée irréfragablement aux mièvreries issues de M.  […] Voici déjà d’ailleurs que sous l’influence Wagnérienne une nouvelle école de musiciens se lève en France. […] Bartholomé. il nous avait montré des jeunes filles courant et jouant dans la cour ensoleillée d’une école. […] Nous parlons de l’école Française, Allemande ou Italienne, mais l’école Anglaise, comme celles des Pays-Bas, a depuis longtemps cessé d’exister.

237. (1888) Épidémie naturaliste ; suivi de : Émile Zola et la science : discours prononcé au profit d’une société pour l’enseignement en 1880 pp. 4-93

C’est en art que, d’abord, l’essai d’une école dite réaliste fut tenté. […] L’École naturaliste peut-elle se vanter d’avoir doté les lettres d’un apport nouveau ? […] Dire que l’école naturaliste, y compris M.  […] Zola et la condamnation de l’école à laquelle il appartient. […] On m’objectera que ce sont là des partis pris d’école.

238. (1914) En lisant Molière. L’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Dans l’École des maris ? […] Dans l’École des femmes ? […] Or c’est l’égoïsme qui dans l’École des femmes est vaincu. […] Et la pièce où l’on fait aimer le fils insolent n’est-elle pas une école de mauvaises mœurs ?  […] L’École des femmes manque d’action ; Lysidas n’oublie pas de le faire remarquer dans la Critique de l’École des femmes.

239. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Des Essarts, Emmanuel (1839-1909) »

Sainte-Beuve Emmanuel des Essarts, que, son nom oblige, fils de poète, un de mes élèves à l’École normale, et qui sait allier la religion de l’antiquité aux plus modernes ardeurs. […] Tant y a que l’on pouvait tirer de là un poème agréable et que M. des Essarts en est venu facilement à son honneur… … Voilà qui est congrûment rimé et qui sent d’une lieue à la ronde son école parnassienne.

240. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Pommier, Amédée (1804-1877) »

Édouard Fournier Poète complexe, et pour ainsi dire en partie double, qui sut se tenir entre les deux écoles, pour profiter de l’une et de l’autre. […] [Souvenirs poétiques de l’école romantique (1880).]

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