D’ailleurs, l’ignorance où nous sommes de nos origines et de nos fins ne saurait être une souffrance positive, puisque cette ignorance est la condition même de l’activité de l’esprit, laquelle est nécessairement un plaisir.
La condition du fonctionnaire d’aujourd’hui est instructive.
Différence de la condition du peuple relativement à la culture intellectuelle, dans l’antiquité et dans les temps modernes.
Dans cet état social, l’ignorance, qui chez nous condamne l’homme à un rang inférieur, est la condition des grandes choses et de la grande originalité.
Il faut se rappeler ici que la condition essentielle de la vraie critique est de comprendre la diversité des temps, et de se dépouiller des répugnances instinctives qui sont le fruit d’une éducation purement raisonnable.
Il a découvert entre la mauvaise humeur et la bouffonnerie un milieu approuvé et par la raison, dans lequel l’âme se dilate par un mouvement modéré, sans s’énerver par la dissolution, c’est la première condition qu’il estime nécessaire.
L’objet, c’est la forme que l’appréhension de la réalité prend dans notre conscience sous une double série de conditions : 1° celles de la conscience en général, 2° celles de telle affection spéciale d’un sens particulier.
Le lecteur en faisant attention aux temps, aux lieux, comme à la nature de l’ouvrage dont il sera particulierement question, comprendra beaucoup mieux encore que je ne pourrois l’expliquer, à quel étage d’esprit, à quel point de lumieres et à quelle condition le public dont je voudrai parler sera restraint.
Ardemment synthétique de tendance, quand le siècle et ses misérables philosophies ne jurent que par cette Fée aux miettes de l’analyse, en avant sur toutes les idées de son temps, et, pour preuve, dès 1845 repoussant, avec un mépris mérité, cette théorie obstinée de l’art pour l’art, triomphante alors, et qui prétend encore, à l’heure qu’il est, n’être pas battue, la revue de César Daly avait, parmi les autres buts qu’elle voulait atteindre, le but plus difficile et plus spécial de dégager l’inconnue de l’art qui va naître, et de prédire, en étudiant profondément la société moderne et ses nouvelles conditions, le caractère du style architectonique de l’avenir ; car l’architecture du xixe siècle n’est pas née.
Le nœud de notre condition, écrivait le penseur terrible, prend ses retours et ses replis dans cet abîme, de sorte que l’homme est plus inconcevable sans ce mystère que ce mystère n’est inconcevable à l’homme.
Le terrible ou la grandeur de la Bible il était homme à Les sentir, et il les a exprimés souvent comme il les a sentis, avec une grande puissance, relativement (bien entendu) aux conditions dans lesquelles j’ai dit que tout interprète de la Bible était naturellement placé.
L’amour-propre de l’homme a voulu tenir un engagement de jeunesse, et de toutes les conditions qui puissent être faites à l’inspiration, je n’en connais pas de plus triste.
La femme de chambre du Monsieur ou de la Madame de lettres anonyme, qui n’a ni la grâce, ni la griffe, ni la vanité féroce, ni la passion, ni l’astuce, ni le sang-froid de l’espèce de femme que l’un ou l’autre a cru singer, a fait quatre conditions, comme on dit dans le langage des domestiques, chez trois lorettes et chez une princesse russe, laquelle équivaut à une quatrième lorette, puisqu’elle est une princesse pire que les trois premières !
» Certaines communes, certaines régions dépeuplées par le hasard des batailles et les conditions du recrutement vont se trouver dans une douloureuse infériorité électorale.
Il ne risque point, lui, dans ces conditions, de délayer quand il développe et de surcharger quand il amplifie. […] Le classicisme commence où l’humanisme finit, à la condition qu’il ait existé ; comme l’humanisme commence où l’alexandrinisme finit, à la condition qu’on ait commencé par lui. […] Il est certain que dans ces conditions, et même dans des conditions plus modestes, il serait resté pacifique ; que le règne de domination universelle, ou même le rêve d’une Europe partagée en trois, France, Russie, Grande-Bretagne, était désormais bien loin de son esprit. […] C’est dans ces conditions que l’on conquiert peu à peu l’autorité. […] L’art pour l’art peut-il exister en ces conditions ?
On ne traite d’ordinaire que de trois unités, de temps, de lieu et d’action : or, j’en ajouterai une quatrième, sans laquelle les trois autres sont inutiles, et qui toute seule pourrait encore produire un grand effet : c’est l’unité d’intérêt, qui est la vraie source de l’émotion continue ; au lieu que les trois autres conditions, exactement remplies, ne sauveraient pas un ouvrage de la langueur. […] La première condition est que le sujet soit grand, illustre et extraordinaire. […] Mais la condition la plus nécessaire, c’est que la délibération même soit tellement attachée au sujet, et que ceux qui donnent conseil soient si fort intéressés en ce qu’ils proposent, que les spectateurs brûlent d’envie de connaître leurs sentiments. […] La délibération d’Auguste remplit toutes ces conditions : elle est importante, elle intéresse tout l’univers connu ; elle saisit le spectateur, informé de la haine d’Émilie, de l’amour de Cinna, de la conspiration faite contre l’empereur. […] Ces mêmes hommes sont dans la joie ou dans la douleur, dans l’espérance ou dans la crainte : cet état actuel doit donner une seconde conformation à leur style, laquelle sera fondée sur la première, comme cet état actuel est fondé sur l’habituel ; et c’est ce qu’on appelle la condition de la personne.
L’homme est ainsi ; ce doit être une des conditions mêmes de sa possibilité d’être. […] Elle est une condition du plaisir dramatique. » Voilà le vrai distinguo. […] On peut s’étonner que le seigneur Baptista mette pour condition absolue au mariage de sa seconde fille que la première, le petit diable, soit mariée. […] Dans ces conditions, il est assez naturel qu’on rit assez souvent au Tartuffe et même peut-être tout le temps. […] Quand Agrippine a joué devant Néron sa grande comédie de sensibilité maternelle et de larmes, elle croit la bataille gagnée et dicte ses conditions de paix.
Mais aussitôt que, selon l’usage, un religieux lui eut notifié les conditions de l’amnistie, il entra en grande colère. À ses amis, à ses proches, qui lui conseillaient vivement de subir les conditions imposées, il répond par des accents indignés : « C’est donc là, s’écrie-t-il, la révocation glorieuse par laquelle Dante Allighieri est rappelé dans sa patrie après trois lustres d’exil ! […] Dante, en homme qui avait subi les maux auxquels sont exposés, plus que d’autres, les communes, les républiques, les gouvernements populaires, considérait que l’unité et la stabilité des pouvoirs étaient la condition essentielle de l’État. […] C’est la condition première d’une interprétation discrète, à laquelle rien ne supplée, mais qui peut suppléer à tout. […] Pressentant avant tout le monde l’importance de la chimie moderne qui va changer, dit-il, les conditions de la vie industrielle, il ouvre de vastes laboratoires où il s’applique aux expériences des Lavoisier, des Berthollet, des Berzélius.
L’esprit souffle où il veut et nul n’a le droit de chicaner sur les conditions premières d’un poème. […] Mais la liberté n’est que la condition première de toute œuvre lyrique ; cause nécessaire et non suffisante de la poésie contemporaine. […] Le tort des novateurs fut de dédaigner le nombre du vers et de ne pas s’inquiéter des conditions de la perceptibilité en usant de successions de nombres quelconques. […] Souza s’est intéressé de préférence à la métrique et à nos problèmes de rythmique ; Mockel a plutôt traité de l’inspiration du poète et des conditions intérieures de création artistique. […] Mockel commence par poser les conditions de tout lyrisme qui est à la fois un besoin d’expansion et le désir, pour le poète, de redécouvrir le monde.
Il est bon d’essayer ses forces, à condition que l’essai ne durera pas trop longtemps. […] Ces quatre vers sont revenus bien souvent à mon souvenir ; ils expriment à merveille et d’une façon très poétique ce besoin de vivre un moment, chaque matin, même à la condition certaine de mourir éternellement chaque soir. — Quæ lucis miseris tam dira cupido ? […] « Il faut d’abord séparer la tragédie d’avec la comédie, a dit un maître ; l’une représente les grands événements qui excitent les violentes passions, l’autre se borne à représenter les hommes dans une condition privée, ainsi elle doit prendre un ton moins haut que la tragédie. » — Il ajoute, et cette louange a bien son prix dans cette bouche éloquente. […] En vain il hésite, il se défend, il a peur d’entendre parler longuement de Tartuffe et du Misanthrope, d’Athalie ou de Rodogune, il faut cependant qu’il obéisse et qu’il vous suive, à condition, et même à la condition expresse que vous serez nouveau dans votre étude sur les œuvres antiques, et que vous n’irez pas ramasser les vieilleries des vieux cours de rhétorique. […] Les gens qui se vantent d’écrire sans peine, et qui se félicitent de ce style naturel, ne voient pas qu’il n’y a guère de quoi se vanter, comme on dit, et que ce beau style si peu coûteux, leur arrive de ce qu’ils ignorent absolument les rares et difficiles conditions de l’art et du talent ; ils sont naturellement et très naturellement absurdes, vulgaires, plats, ennuyeux et ennuyés.
Il se résigne à sa condition. […] À cause de leur extraordinaire destin, ils se placent au-dessus, sinon en dehors des conditions humaines, sociales et naturelles de la vie. […] Zola qui, pourtant, cessa de se contempler pour regarder autour de soi, a laissé parler et agir ses héros selon leurs conditions et leurs instincts. […] Aussi ces phrases de M. de Bouhélier sont-elles lumineuses où il nous dit : « Il ne faut point considérer si ces artisans se contentent de leur condition ; — et leurs petites vaines turbulences ; — ce qu’ils racontent les uns des autres en tressant des corbeilles ou en taillant des pierres. — Et celui-ci et celui-là, — et tel ou tel, — et puis tel autre.
Mais la psychologie moderne s’est toujours ressentie de ses origines : issue du problème de l’origine des idées, elle s’intéresse plus aux conditions invariables de la pensée qu’à l’allure ondoyante du devenir psychique : dans cette question du langage, des aphorismes nécessitaires, mal fondés en logique aussi bien que contraires aux faits, ont trop souvent remplacé les descriptions exactes et les explications vraiment scientifiques. […] Sur cette thèse capitale, les formules abondent, et la plupart méritent d’être citées : « L’homme n’est connu à lui-même que par la parole. — L’esprit se révèle par les mots. — L’homme ne connaît les êtres intellectuels que par les paroles qui les nomment. — Il faut des paroles pour penser ses idées. — Les idées s’engendrent, se lient, se combinent, s’associent, à l’aide de leurs expressions. — La pensée se manifeste, se révèle à l’homme par l’expression, comme le soleil se montre à nous par la lumière. — Notre esprit se voit lui-même dans l’expression comme les yeux se voient dans un miroir49. — Si chaque idée n’avait pas son terme ou son expression propre qui la distingue des autres idées, il n’y aurait en nous qu’une faculté générale de concevoir, sans idée particulière d’aucun objet. — Le langage donne l’exercice à la faculté de penser. — Tous les jours, l’esprit de l’homme est tiré du néant par la parole. — L’entendement est la faculté de concevoir des idées d’objets intellectuels à l’occasion des mots, lesquels rendent ces idées sensibles à l’âme. — L’idée est innée en elle-même, acquise dans son expression. — Les idées innées sont en puissance dans l’esprit de l’homme : ce sont des idées que l’homme peut apercevoir dans son esprit sous certaines conditions ; ces conditions sont la connaissance des expressions qui nomment les idées. — Les idées attendent dans l’esprit qu’une expression vienne les distinguer. — La parole porte la lumière dans les ténèbres de l’entendement, et appelle chaque idée, qui répond : Me voilà ! […] Effectivement, Thomas D’Aquin ne discute dans l’ensemble de cet article que des raisons et des conditions bien précises dans lesquelles la prière peut être amenée à s’exprimer en paroles prononcées, mais il n’y a pas de réflexion sur le rôle d’une parole intérieure dans la prière non « vocale ».]
Et en effet, qu’on y songe un peu : pour que le combat entre l’Antiquité et les temps modernes se pût engager dans toute son étendue et sur toute la ligne, il fallait deux conditions essentielles, l’une qu’il y eût une Antiquité bien connue, bien en vue, bien distincte et comme échelonnée sur les hauteurs du passé, l’autre qu’il y eût une époque moderne, bien émancipée, bien brillante et florissante, un grand siècle déjà et qui parût tel aux contemporains.
La condition de la critique, en ce qu’elle a de journalier, de toujours mobile et nouveau, la fait ressembler un peu, je l’éprouve parfois, à un homme qui voyagerait sans cesse à travers des pays, villes et bourgades où il ne ferait que passer à la hâte, sans jamais se poser ; à une sorte de Bohémien vagabond et presque de Juif errant, en proie à des diversités de spectacles et à des contrastes continuels.
Le sérieux se fait reconnaître comme condition du plaisant, même dans les individus.
Mais dans tout système de signes, c’est un avantage de n’en avoir pas plus qu’il ne faut, à condition que la valeur de chacun soit constante et bien définie ; il importe aussi qu’on n’emploie jamais que des signes connus et convenus.
Tous les peuples & toutes les conditions y peuvent trouver des leçons qui leur sont propres.
Nous répondrons avec regret, que tel est le malheur de la condition humaine : nous n’acquérons guère de connaissances nouvelles que pour nous désabuser de quelque illusion agréable, et nos lumières sont presque toujours aux dépens de nos plaisirs.
… Un éloge adroitement et captieusement touché de la société du xviie siècle, exaltée dans sa préface au point de vue de cette égalité qui est l’idée fixe et le tourment de la société d’aujourd’hui, nous donne à croire que, si Tallemant des Réaux avait été d’une condition plus relevée, il aurait moins intéressé son annotateur.
Hildebrand ne lui a pas seulement paru un grand homme, qui a plus ou moins raison et qui s’est plus ou moins trompé dans ses desseins, selon la triste condition des grands hommes.
Ils ont compris qu’on peut protester contre les résultats accoutumés d’un vice originel et même les effacer, mais à la condition d’avoir une certaine force d’âme et de la puiser aux grandes sources… Certes !
Triste condition de cette femmelette que l’on appelle l’esprit humain !
Ce volume-ci a beau brusquer les faits pour les faire aller plus vite ; il a beau les pousser, les presser et les entasser ; ou ils résistent par leur masse même à cette rapidité que l’auteur est tenu de leur imprimer, s’il veut remplir les conditions de son programme ; ou ils ne résistent pas, et alors ils passent trop vite sous les yeux pour former cette chose de discernement et de renseignement qu’on appelle une histoire.
Né avec les manières de sentir du génie, Balzac voulut de bonne heure mettre à l’abri des froissements d’une condition médiocre ces manières de sentir qui le faisaient ce qu’il était, — et une spéculation de librairie, qu’il avait rêvée comme il rêvait ses livres, n’ayant pas réussi, il fut obligé toute sa vie de traîner l’horrible boulet de la dette, dont il se jura de briser la chaîne, à force de volonté, et avec cette plume qui, dans sa main, fut la massue d’Hercule.
On n’est jamais compté par lui qu’à l’une ou l’autre de ces deux conditions : ou lui donner un plaisir ou du moins une émotion quelconque, ou lui apprendre quelque chose qu’il ne savait pas ; et c’est ce que ne feront point, je vous assure, ces Œuvres et Correspondances inédites !
Lawrence32 I Pendant que Dickens, le populaire et vulgaire Dickens, semble avoir, comme la société elle-même, transformé les anciennes conditions du Roman dans ce glorieux pays du Roman, l’Angleterre, voici tout à coup un nouveau romancier qui s’élève et qui, méprisant ce qu’on dit des genres épuisés, ne craint pas de revenir à ce vieux roman de high life que ceux qui l’ont écrit le mieux, comme Bulwer, par exemple, ont depuis longtemps abandonné.
Mais c’est que le génie lui-même est, en philosophie, dans des conditions très particulières et très impérieuses.
Matter, qui raconte très sérieusement le phénomène et qui l’analyse avec une grande finesse et une grande supériorité, ajoute que jusque-là aucun mortel n’avait été mis dans une condition pareille à celle où se prétendit Swedenborg.
Il a donc développé avec beaucoup de soin, dans l’introduction de son livre, les conditions de son programme : « Nous prenons — dit-il — l’engagement de démontrer dans une foule de cas physiologiques, psychologiques, historiques et physiques, l’intervention très fréquente de ces agents mystérieux que nous appelons des forces intelligentes, autrement dit des esprits.
Vous savez avec quels accents il y parle du mendiant Homère et de Virgile, qui garda les chevreaux ; seulement, la pauvreté d’Homère et l’humble condition de Virgile sont des misères poétiques et pittoresques.
Faire grand dans la pensée et faire grand dans l’espace du même coup — car la langue, c’est l’espace, — voilà la condition absolue du génie.
Mettez telle épithète que vous voudrez à Virgile, à Shakespeare, à Dante, à Corneille, qu’on appelle aussi parfois le bonhomme, à la condition d’ajouter son nom immédiatement après, vous serez obligé, pour vous faire entendre, d’écrire leur nom à tous derrière leur épithète, tandis qu’en parlant de La Fontaine, vous n’avez qu’à dire : « le bonhomme », et la Gloire ne pourra s’y méprendre ; car toute la terre aura compris.
Quoique le grand Corneille et le plus grand Shakespeare fussent de vigoureux travailleurs, qui se donnaient un mal infini pour tricoter leurs drames dans les conditions du Théâtre et des poétiques de leur temps, ils n’avaient point assez de métier, et quand Voltaire appelait Shakespeare barbare, c’était un reproche que le métier faisait au génie.
IV Dans ces conditions de vie cachée et de paix domestique, que ne pouvait-il faire encore ?
On y verra que, pour manquer d’esprit, on ne remplit pas toutes les conditions du génie.
On y verra que, pour manquer d’esprit, on ne remplit pas toutes les conditions du génie.
L’intérêt humain du roman a expiré, perdu dans la curiosité pathologique d’un descripteur de phénomènes inouïs, qui, s’ils contractaient un jour l’éternelle clarté de la certitude, en nous donnant (comme c’est la prétention des esprits qui les interprètent), l’abolition de toute distance, la transparence des corps et la vue immédiate des âmes, changeraient toutes les conditions des œuvres humaines, d’un seul coup, et chasseraient jusque du souvenir les littératures.
La morale, la religion, la métaphysique, toutes les conditions de la nature humaine intellectuelle pèsent sur vous.
Lawrence36 I Pendant que Dickens, le populaire et vulgaire Dickens, semble avoir, comme la société elle-même, transformé les anciennes conditions du roman dans ce glorieux pays du Roman, l’Angleterre, voici tout à coup un nouveau romancier qui s’élève et qui, méprisant ce qu’on dit des genres épuisés, ne craint pas de revenir à ce vieux roman de high life que ceux qui l’ont écrit le mieux, comme M.