Après ces premiers conseils dont nous ne pouvons rien citer, on en trouve d’autres à un jeune poète, dans lesquels, si le sujet est moins ignoble, l’auteur n’en continue pas moins son éternelle et implacable ironie.
Elles sont nombreuses dans son livre, mais parmi toutes il y en a une sur Machiavel que je me permettrai de citer… Il y a de par le monde allemand un certain M.
Je voudrais pouvoir citer la pièce tout entière ; un tel poète, de cette fraîcheur d’accent, ne peut pas être, ne peut jamais devenir ce dévergondé cynique qui montrait à la vie, son bourreau, ce que les polissons de Naples montrent au Vésuve pour le narguer !
Quand Midi parut, cette pièce, dans laquelle le poète a sonné ses douze coups comme talent et de même que Midi, ne sonnera pas un coup de plus, on s’en allait, citant ses vers trop connus pour qu’on ait besoin de les citer tous : Midi, roi des Étés, épandu dans la plaine, Tombe en nappes d’argent des hauteurs du ciel bleu.
Nous n’avons pas assez de terrain pour citer toutes les pièces qui expriment ce que nous disons là sous les formes les plus variées.
Clogenson, trop longue pour que nous puissions la citer, mais où l’imagination a de ces grâces d’enfant qui joue.
Je ne puis m’empêcher de les citer, ces vers qui nous vengent et qui refont, en quelques traits puissants, l’éternelle hiérarchie bouleversée ; — Eh bien, non !
Je me suis arrêté avec plaisir sur ces ouvrages, parce qu’on les cite beaucoup et qu’on les lit peu.
Sidoine Apollinaire en parle, et Ausone le cite avec éloge : il prononça son panégyrique dans le sénat de Rome.
Je citerai entre autres le chapitre sur La Rochefoucauld, et l’on me permettra d’y joindre le chapitre sur Boileau. […] Nous allons citer une page qui est un feu roulant de blasphèmes. […] S’il fallait descendre au détail, combien ne citerait-on pas chez lui de pages remarquables à des titres bien divers ! […] Prenez le portrait du curé, que nous citions tout à l’heure : quel dessein arrêté de faire prédominer le trivial ! […] On en citerait dans Regnard vingt et vingt ; il les sème à pleines mains.
Bien qu’il n’y ait pas beaucoup d’esprit dans la Bible, c’est un livre fort répandu, qui a eu encore plus d’éditions que Fanny, Madame Bovary ou même le 101e régiment, et puisqu’il est devenu de mode de le citer à tout propos, il serait bon de prendre l’habitude de le citer exactement. […] Je cite à dessein ces deux pays si opposés pour qu’on ne m’objecte pas la différence de race et de climat. […] Tout le volume en fourmille, et l’on pourrait facilement en trouver des exemples bien plus frappants encore que celui que je viens de citer. […] On pourrait citer tel article de journal qui est un véritable rébus, et que pourtant chaque lecteur comprend. […] Qu’il me soit permis, en terminant, d’en citer quelques fragments : ils excuseront ma sévérité, qui, je le crains, paraîtra excessive à bien des gens.
Gilbert cite M. […] Je citerais plus d’un exemple d’une pareille incertitude. […] Péladan cite Léonard de Vinci comme le précurseur de Copernic, Galilée, Képler, Harvey, Lavoisier, Pascal, Huygens, Haller, qui encore ? […] Parmi les partisans de cette politique, non pas grêle, citons Gambetta. […] Émile Ollivier cite des chiffres, discute les allégations des adversaires de la France et des adversaires de l’Empire ; il accumule les arguments et les preuves.
Ses réflexions sont trop judicieuses et ses plaintes trop éloquentes pour qu’il ne soit pas à propos d’en citer ici quelque chose. […] Tous les ouvrages qu’il cite, il a pu les lire sans trop de peine. […] Il faut se borner à citer désormais, car le temps et l’espace vont nous manquer à la fois. […] Les noms qu’on cite dans ces phrases où l’on veut résumer brièvement la valeur poétique de l’époque sont toujours les mêmes, et la pléiade n’a pas augmenté le nombre de ses étoiles. […] Il suffit de citer la Conscience, les Lions, le Sommeil de Booz, pages d’une beauté, d’une largeur et d’un grandiose incomparables, écrites avec l’inspiration et le style des prophètes.
Parmi ces écrivains qui oscillaient alors de la sorte, on peut citer Jules Janin qui fut conteur, brillant fantaisiste et prince des critiques. […] Je ne sais comment M. van Bever a oublié de citer l’étude de Verlaine, qui est amusante et même judicieuse. […] Montaigne cite les philosophes et les poètes, et il dit le pour et le contre des opinions, et il entasse les exemples et les anecdotes. […] Il cite, tout au long, son interrogatoire. […] Là-dessus, j’aime à citer l’opinion de Goethe, qui pensait que le caractère du chef-d’œuvre est de se prêter à diverses interprétations.
Passé les Ardennes, l’auteur des Commentaires ne cite plus de nom de cité. […] Je me borne ici à citer les faits certains. […] Et j’en citerais d’autres, de notoriété moindre, ou plus jeunes, que Paris retient ! […] Je ne résiste pas au plaisir de citer tout ce noble poème dont les dernières strophes sont d’une magnifique envolée : Oui ! […] « Mockel y dit sous une forme voilée et symbolique écrivait van Lerberghe (lettre à La Roulotte déjà citée), ce qui nous unissait comme artistes, et ce qui nous séparait.
Citons encore quelques lignes, pour que l’on sache bien que, si M. […] On citera des œuvres plus longues, et ces quelques feuillets ne sont pas lourds dans la main ; mais je ne reconnais nulle part plus distinctement l’empreinte du génie. […] Je citerai une page de lui ; cela suffira. […] Elle tient en trente lignes, que je voudrais citer ici. […] Ils citaient Rabelais et Fénelon, Pascal et Voltaire, La Fontaine et Victor Hugo.
Dans la romanesque, en considérant, non le style étrange et incorrect, mais la diversité charmante de la composition, je citerai Tarare. […] L’opéra villageois se rapporte à ce genre : j’en aurais mille exemples charmants à citer, si je ne préférais vous rappeler ici la flexibilité du génie de J. […] Citerai-je Orphée ? […] Le fragment que je me permets de vous en citer fera diversion à la suite aride des préceptes, et rentre d’ailleurs en mon sujet. […] Et ne puis-je à mon tour vous citer aussi Boileau ?
Auguste Lireux que je viens de citer, a écrit deux excellents feuilletons, cette quinzaine, et je l’en loue avec la même sincérité que j’ai mise autrefois à lui faire la guerre. […] Le feuilleton a fait le mort, cette semaine ; et, à côté de la charade des Débats que vous chercherez à deviner, si cela vous amuse, on ne peut guère citer que cette chute de phrase que je copie textuellement dans la Patrie : M. […] et pourquoi trouvez-vous pauvre, en définitive, une partition dont vous citez jusqu’à dix morceaux importants ? […] Pour n’en citer qu’un exemple, je dirai que l’insuccès des Deux Nuits devait hâter la période mortelle de la phtisie laryngée dont Boieldieu est mort en 1834. […] About : « Des mots tirés au hasard dans un bonnet d’Arlequin, des transitions de pain à cacheter et de colle à bouche…… » Son sac à la malice est vide, et il y fouille à chaque instant d’un air magistrat, comme s’il allait en tirer Géronte en personne. » Puisque tiré y a, je ne crois pas non plus que les deux phrases que je viens de citer soient venues toutes seules et sans le secours du forceps.
Par exemple, je citerai certaines pièces de M. […] Il est inutile de citer des exemples. […] Je citerai quelques exemples. […] Il me faudrait citer toutes les scènes. […] On citerait bien d’autres faits encore.
Paul Desjardins, quelques autres encore que je pourrais citer ; — et moi-même. […] Et ne pourrais-je pas citer des jugements de M. […] C’est encore ce que Bourdaloue, dans le beau sermon que nous citions plus haut, a éloquemment développé. […] Je dois avouer d’ailleurs que je ne puis rien produire ou citer d’eux qui justifiât l’éloge que j’aimerais à en faire, et qu’aussi je n’en fais point. […] Faut-il citer ici des titres ?
» Dans sa vie provinciale, Rollinat ne se plaint que des temps de neige qui l’emprisonnent chez lui, et il cite une année, où il a été enfermé quarante jours chez lui, et où pour se distraire, il s’est livré à de voluptueuses cuisines. […] Là-dessus, le voilà qui me lit dans un cahier manuscrit, son livre tout plein de Dieu, dans lequel il est devenu un métaphysicien, disant des choses plus élevées, que dans ses autres livres, et où il cite cette originale phrase de l’Allemand Bohme : « La matière est comme le portrait d’une personne absente. » Vendredi 8 juillet Seconde pose pour un médaillon, qu’exécute d’après moi, Alexandre Charpentier. […] Dimanche 10 juillet Rodenbach nous cite, à propos de sa pièce, des mots entendus par lui ou sa femme, dans les corridors. […] D…, qui a beaucoup approché Thiers, pendant la Commune, nous entretient du petit homme, dont il cite deux ou trois traits d’impolitesse et de manque d’éducation. […] On parle encore longuement des procédés nouveaux et, des recherches biscornues des peintres du moment, et Geffroy cite un peintre, en train de peindre au vaporisateur, se vantant des effets inattendus, qu’il va bientôt produire en public.
Souvent citées, pour quelques vers heureux, — devenus avant ceux de Boileau proverbes en naissant, — peu lues, mais d’autant plus vantées, les Satires de Regnier sont comme qui dirait la protestation de l’esprit gaulois contre le nouvel idéal. […] Prétentions politiques de Corneille ; — mots que l’on cite à ce sujet, de Condé après Sertorius : « Où donc Corneille a-t-il appris la guerre ? […] On peut enfin citer de nos jours, parmi beaucoup d’autres éditions : l’édition A. […] Nous nous bornerons à citer parmi ces écrits : — les Maximes sur la comédie, 1693 ; — le Traité de la concupiscence ; — le Traité du libre arbitre, 1731 ; — et le Traité de l’usure, 1753. […] Nous nous bornerons à citer, parmi les éditions modernes — l’édition Walckenaer, 1845 ; — l’édition Destailleur, 1854 ; — et l’édition G.
Sérieuse, il suffit d’une drôlerie pour mettre en déroute son attention : on cite plus d’une tragédie qu’un bon mot lancé du parterre a frappée à mort. […] On s’attend que l’auteur va requérir contre les écrivains de théâtre et les conteurs, et les citer à la barre comme accusés de complicité de meurtre. […] Les mots qu’on cite de lui, ou qu’on lui prête, ressemblent fort à des pantalonnades. […] On ne citerait aucune œuvre où le moi se fût encore étalé avec un cynisme aussi orgueilleux. […] Et combien d’autres on en pourrait citer de plus amphigouriques et de plus dégingandés, si d’ailleurs cela n’était fort inutile !
Citons encore ce passage de la Lettre sur la Question ouvrière, à M. […] Lorsque de simples philosophes, des « professionnels de lettres » comme Auguste Comte, et, plus près de nous, comme Littré, comme Taine, comme Renan même, et vingt autres qu’on pourrait citer, se sont réclamés de la science, est-ce que la science les a récusés ? […] Mais d’un autre côté je ne serais pas embarrassé de citer des savants, d’illustres savants, comme Agassiz, qui l’ont fondé de notre temps sur « l’inégalité des races humaines », c’est-à-dire sur des raisons de l’ordre anatomico-physiologique et par conséquent « scientifique. » Mais M. […] Mais je crois d’autre part les avoir assez loués ; « Intolérants et orgueilleux, — disais-je encore, il n’y a pas trois ans, — difficiles à manier, chagrins et moroses, méprisants et austères, affectant la religion jusque dans leur costume, les protestants, en revanche, possédaient la vertu dont ces défauts étaient comme l’enveloppe, et grâce à elle on peut dire qu’en 1685 et depuis plus d’un siècle, ils représentaient la substance morale de la France… Écartés des tentations par les mesures mêmes qui les éloignaient des emplois, ils se dressaient, dans la société du temps de Louis XIV, comme un enseignement vivant par l’ardeur de leur foi, par leur constante préoccupation du salut, parleuréloignement des plaisirs faciles, par la dignité de leurs mœurs, par la raideur même enfin et la fierté de leur attitude. » Ne pouvant pas abuser ici du droit de me citer moi-même, je renvoie le lecteur à l’étude, Sur la formation de l’idée de progrès dont je tire ces lignes.
Leur silence serait inexplicable si l’observation psychologique était, comme la plupart d’entre eux l’ont affirmé, l’observation directe et immédiate, l’observation de conscience ; mais, en réalité, l’observation de nous-mêmes se fait par la mémoire : le premier objet qui se présente à l’étude du psychologue, ce sont les faits explicitement miens, les faits accompagnés de reconnaissance ; ceci explique comment, parmi les auteurs qui citent la parole intérieure, plusieurs ne l’ont aperçue que dans le principal des deux cas exceptionnels où nous la reconnaissons : elle n’est pour eux que la remémoration littérale161. […] [Taine, Essais de critique et d’histoire, Paris, Hachette, 2e éd., 1866, p. 43 : la phrase citée par Egger se situe dans l’étude de Taine sur Le Rouge et le Noir. […] » (Nous soulignons, Egger ne cite que la deuxième phrase).] […] Ainsi, dans une description remarquable, déjà citée [ch.
Thiers pour le citer.
I-V : je cite les divisions du texte de 1560, seul praticable en l’absence d’une édition du texte authentique de 1541
Eugène Lintilhac Charles VII chez ses grands vassaux ; Kean et Caligula (qui fit créer le verbe caliguler dans le sens de se dépenser beaucoup et de n’amuser guère), pour ne citer que les plus fameux de ces drames innombrables bâclés par Dumas père, avec une si remarquable entente de la scène, qu’une demi-douzaine d’entre eux supportent encore fort bien l’épreuve de la représentation, en dépit de l’improvisation du style, laquelle reste sensible même à la représentation.
Citons l’Arioste, le cardinal Bibbiena, Machiavel, Ruzzante, Pietro Aretino, Francesco d’Ambra, Ludovico Dolce, Annibal Caro et des milliers d’auteurs qui firent admirer surtout la complication et la singularité des intrigues qu’ils inventaient et les grâces souvent trop libres de leur dialogue.
Voici la scène que nous voulons citer : BARRA.
Comme exemple de la folie humaine, Jésus aimait à citer le cas d’un homme qui, après avoir élargi ses greniers et s’être amassé du bien pour de longues années, mourut avant d’en avoir joui 492 !
Finissons cet article, en déclarant encore à tous les Aristarques du nouveau Monde Littéraire, que, malgré leurs efforts, leurs Dissertations, leurs Sentences, leurs Satires, Despréaux n’en sera pas moins celui de tous nos Poëtes dont on a retenu & dont on citera toujours le plus de vers ; celui qui, le premier, a déployé les richesses de notre Langue, & qui l’a portée, par ses Ouvrages, au degré d’estime où elle est parvenue depuis ; celui qui a fait le plus régner le bon goût, & a le plus fortement attaqué le mauvais ; celui qui a su le mieux réunir l’exactitude de la méthode & la vivacité de l’imagination ; le sel de la bonne plaisanterie, & le respect dû à la Religion & aux mœurs ; l’art de lancer le ridicule, & celui de louer avec délicatesse ; le talent d’imiter, en paroissant original ; la distinction unique d’être tout à la fois Législateur & Modele ; &, pour tout dire enfin, il ajoutera à tous ces genres de gloire, ce qui donne le plus de droit aux hommages de la vertu, les qualités du cœur.
Nous pourrions en citer cent exemples : nous nous bornerons à ceux-ci.
Ils citent quelques bons écrivains François, qui n’ont pas été de grands latinistes.
Rousseau que nous venons de citer, tient beaucoup du génie de Montaigne & de Charron.
On ne m’accusera pas du moins de citer les jeunes gens, à qui je veux faire le procès, devant des juges trop severes.
J’aurais pu citer ailleurs ce passage, mais j’ai dû le réserver pour cette partie de la discussion, parce qu’il explique parfaitement ma pensée sur les fonctions que les langues ont à remplir.
Entrepris dans un but de propagande religieuse, — l’auteur était lazariste, — ces voyages, dont nous avons rendu compte avec une sympathie presque enthousiaste, car, à part de leur but, le plus grand que puisse atteindre l’homme, ils prouvaient autant de caractère, de décision, de persévérance que de curiosité élevée ; ces voyages, qu’il faudra désormais citer quand on parlera de l’Asie, ont mis pour la première fois dans la circulation des notions certaines sur ces mystérieuses populations qui vivent et meurent depuis tant de siècles comme des fourmilières d’insectes dans des boîtes fermées, sous le couvercle semé d’hiéroglyphes de leurs impénétrables civilisations.
Et il n’y a pas que cette biographie de Ludlow qu’on puisse détacher du recueil de Guizot et citer comme preuve de la supériorité morale de la Révolution d’Angleterre sur la Révolution française.
Saisset, passé toute sa vie à citer des textes et à commenter des doctrines, tombées en désuétude et dans le mépris de l’histoire, si l’histoire n’était pas une pédante, quand elle est écrite par des professeurs !
Dans l’antiquité, M. de Beauverger nous cite Platon, Xénophon, Polybe, Cicéron, saint Augustin ; — mais Platon n’est qu’un poëte, et saint Augustin est un prêtre chrétien, ce qui est tout le contraire d’un philosophe.
Chastel connaît bien et qu’il cite avec un luxe que nous aimons, a détrempé sa pensée dans un baume fortifiant et doux.
Il cite (page 99) les paroles mélancoliques et familières que Pie IX prononça un jour devant les membres du Sacré Collège, en se promenant dans les jardins du Vatican.
Il faudrait citer tout le poème, mais je n’ai voulu que le rappeler, par ces vers inouïs, à ceux qui l’ont depuis trente ans dans la mémoire.
Mistral tient un tel espace, il a besoin d’un tel champ pour se déployer dans sa magnificence ou dans son charme, un peu farouches tous les deux ; ses bas-reliefs fourmillent de tels détails, que de tous les poètes, difficiles à citer dans un chapitre de la nature de celui-ci, il est peut-être le plus difficile.
… C’est un livre d’exception, d’individualité, et, pour employer un mot que l’auteur cite dans sa préface, de paroxisme poétique et cérébral.
La Chanson à Rose, Louise, Marguerite, Printanière, les Étrennes à ma cousine Angèle, Au balcon de Juliette, A Hélène, A une dame inconnue, les Petits Poèmes, Ultima Spes Mortuorum, Courtisane, Le Testament, la pièce qui a été le plus citée (j’ai nommé presque toutes les pièces du volume), seront tour à tour des calques plus ou moins indécis ou tremblés d’Alfred de Musset.
Il en est une entre autres trop longue, et trop arabesque pour qu’on puisse la citer dans tous les enroulements de sa fantaisie.