En définitive, le personnage immoral me semble encore plutôt dans ce cas la dupe que le charlatan, et c’est pourquoi M. […] Tels sont les deux cas dans lesquels les littératures d’imagination peuvent se produire ; mais, dans l’un et l’autre leur existence est toujours aussi courte qu’elle est brillante. […] Cela étant posé, nous pouvons facilement établir la différence qui sépare dans le cas présent la réalité scientifique de la réalité poétique et vivante, et décider laquelle des deux l’artiste doit choisir. […] L’objection est très forte, et, pour notre part, nous l’admettons ; mais elle n’est pas applicable au cas de Sibylle. […] Ces critiques se sont demandé deux choses : la première, s’il est vrai qu’en l’an 1867 il existât encore des gentilshommes, et dans le cas où il en existerait encore, s’ils avaient le pouvoir que leur attribue M.
Ainsi, dans tous les cas, vous serez justifié : les indifférents, comme vos connaissances et vos amis, trouveront cela très-naturel. […] On aurait fait un intéressant chapitre, indépendamment de tout système et de tout lien, des cas psychologiques singuliers et des véritables découvertes de détail dont il semait ses leçons. […] Chez les esprits de cet ordre et pour les cerveaux de haut génie, la nature a, dans plus d’un cas, combiné et proportionné l’organisation.
Je fus contraint de quitter Florence et d’aller habiter Venise, ainsi que j’en avais pris la résolution dans le cas où mon séjour auprès de Pie VI ne serait pas autorisé. […] Il déclarait que, dans ce cas, il renoncerait à son protégé. […] Qu’il pensait devoir seulement se borner à donner son vote quand les autres accorderaient les leurs à Chiaramonti ; que cependant il croyait devoir offrir un bon conseil à Son Éminence, en lui disant que, dans le cas où les tentatives pour Chiaramonti aboutiraient près de ceux de son parti, il voulût bien alors s’aboucher avec le doyen cardinal Albani, et faire ensemble les démarches nécessaires auprès des cardinaux du parti Bellisomi, déjà invités à se concerter avec lui.
Il était l’oracle secret de la monarchie absolue, oracle que nous avions l’ordre d’interroger dans tous les cas soudains et difficiles. […] Ces vers ne sont nullement dans sa bouche, ils sont dans la bouche de son héros ; et si jamais il a été possible de confondre le héros et l’auteur, et de rendre l’un solitaire des opinions de l’autre, à coup sûr ce n’était pas ici le cas. […] Milton, le Dante, le Tasse, sont dans le même cas : toute fiction a été de tout temps permise aux poètes, et aucun siècle, aucune nation ne leur a imputé à crime un langage conforme à leur fiction.
D’un autre côté, si le devoir est supérieur au bonheur, il faut donc sacrifier dans certains cas extrêmes le bonheur au devoir, et pourtant il y a entre eux une harmonie éternelle, qui peut être momentanément troublée, mais que la raison établit et qu’elle impose, pour ainsi dire, à l’existence et à son auteur ; il faut donc qu’il y ait un Dieu, supérieur à toutes les causes secondaires, pour faire régner quelque part l’harmonie de la vertu et du bonheur. […] Encore pourrait-on le contester quand ces jugemens sont généraux, c’est-à-dire quand ils concluent par induction des cas observés aux cas observables, car cette induction repose sur le principe de la stabilité des lois de la nature qui n’est point donné par l’expérience.
En 1664, au moment où la jeune et brillante littérature va prendre son essor et où l’époque se dessine déjà, s’appuyant sur quelques cas isolés de désordre et de brigandage, il s’écrie : « Nous sommes arrivés à la lie de tous les siècles ! […] Il y aurait surtout à bien éclaircir le texte au moyen de notes claires, simples, précises ; il faudrait que, d’un coup d’œil jeté au bas de la page, le lecteur fût brièvement informé de ce que c’est que tous ces auteurs et ces ouvrages oubliés que cite continuellement Gui Patin, et que, sans être médecin, on pût comprendre dans tous les cas s’il s’agit du Pirée ou d’un nom d’homme.
En certains cas il va plus loin : il croit aux esprits, aux démons familiers. […] Le cas de ce savant homme est piquant et nous offre un singulier phénomène : c’est que plus il a étudié et approfondi son auteur, plus il en a collationné de manuscrits, et plus aussi la tâche de choisir et de fixer un texte lui est devenue impossible.
Il présage, dès ce moment, un coup de vent soudain qui peut tout renverser, un 24 février possible ; il songe même, lui homme d’un autre temps, au rôle de courage et d’audace qu’il aurait à remplir, tel cas échéant et en telle rencontre : le Si forte virum quem… lui revient à l’esprit, et il a conscience que ce jour-là il ne se tairait pas comme Sieyès et qu’il oserait. […] On conçoit de grands aristocrates passant à la démocratie et devenus populaires, puis, à un certain moment, se retournant vers le peuple pour essayer de le modérer : c’est le cas des Mirabeau et des La Fayette ; il y eut deux temps dans leur carrière.
Rien ne nourrit davantage l’amour-propre, quelque peu de talent qu’on ait, et quelque peu de cas qu’on fasse de cette sottise qu’on nomme réputation. […] Nous entrons dans la série des aveux pénibles dont le public n’avait eu jusqu’ici que l’indice et le soupçon, et qui, dans tous les cas, n’émanaient point de l’intéressé lui-même.
Les opinions religieuses, — on les débite aussi, et, dans tous les cas, elles ont perdu l’obligation et l’attrait du mystère. […] En ce cas il se vieillissait.
En ce cas, l’enfance et la première jeunesse de M. de Balzac au collége se rapportent bien à ce qu’on pourrait conjecturer : une imagination active, spirituelle ; de l’ébullition, du désordre et de la paresse ; des lectures avides, incohérentes, à contre-temps ; l’amour du merveilleux ; les études mal suivies ; un mauvais écolier sans discipline, semper aliud agens, que ses maîtres chargent de pensums et que ses camarades appellent du sobriquet de poëte. […] Il est bien vrai que, cette scène une fois passée, je n’ai oncques vu paraître de cheval, arabe ni autre ; mais enfin son intention était si bonne, si sincère, son insistance si vive, que je serais un grand ingrat si je ne lui demeurais très-obligé. » — Or (et voici ma conclusion), nous tous lecteurs, nous sommes un peu avec M. de Balzac dans le cas de M. de Latouche.
Le pays de Vaud, pour m’y borner en ce moment, eut pourtant un développement ancien, suivi, tantôt plus particulier et plus propre, tantôt plus dépendant du nôtre, et réfléchissant, depuis deux siècles, la littérature française centrale, mais, dans tous les cas, resté beaucoup plus distinct que celui d’une province en France. […] Vinet sur les mots et leurs divers accidents me donnent occasion d’en glisser une qui m’est propre sur le français du canton de Vaud : c’est qu’on trouve dans ce canton, comme dans les divers pays où l’on parle français hors de France, des restes nombreux d’expressions et de locutions anciennes qui ont dès longtemps disparu en France même et au cœur de notre culture ; des mots du xvie siècle : volée, par exemple, tout à fait dans la même acception que chez Estienne Pasquier quand il parle des poëtes de la volée de Ronsard ; le peuple dit : Il s’est pensé, pour il a pensé ; il s’y fait beau, pour il fait beau (le s’y dans ce cas n’est peut-être que cy pour ici).
Restaient des rôles de critiques consciencieux, sérieux, mais un peu singuliers, exceptionnels, comme de loin il les appelle, ou plus adonnés à l’étude des influences étrangères, des origines, ou recherchant les cas rares plutôt que la route générale et frayée. […] Nisard une incohérence par trop glorieuse, qui tendait à cumuler, en quelque sorte, les avantages des admirations les plus disparates et les plus affichées, une manière peu discrète de louer qui manquait de convenance envers tous ceux qu’elle associait si bruyamment, mais qui, dans le cas cité, en manquait surtout envers le plus pointilleux et le seul exclusif des trois.
Sans doute ses deux dernières pièces, Iphigénie et Phèdre, avaient excité contre l’auteur un redoublement d’orage : tous les auteurs siffles, les jansénistes pamphlétaires, les grands seigneurs surannés et les débris des précieuses, Boyer, Leclerc, Coras, Perrin, Pradon, j’allais dire Fontenelle, Barbier-d’Aucourt, surtout dans le cas présent le duc de Nevers, madame Des Houlières et l’Hôtel de Bouillon, s’étaient ameutés sans pudeur, et les indignes manœuvres de cette cabale avaient pu inquiéter le poëte : mais enfin ses pièces avaient triomphé ; le public s’y portait et y applaudissait avec larmes ; Boileau, qui ne flattait jamais, même en amitié, décernait au vainqueur une magnifique épître, et bénissait et proclamait fortuné le siècle qui voyait naître, ces pompeuses merveilles. […] Au reste, comme nul sentiment profond n’est stérile en nous, il arrivait que cette poésie rentrée et sans issue était dans la vie comme un parfum secret qui se mêlait aux moindres actions, aux moindres paroles, y transpirait par une voie insensible, et leur communiquait une bonne odeur de mérite et de vertu : c’est le cas de Racine, c’est l’effet que nous cause aujourd’hui la lecture de ses lettres à son fils, déjà homme et lancé dans le monde, lettres simples et paternelles, écrites au coin du feu, à côté de la mère, au milieu des six autres enfants, empreintes à chaque ligne d’une tendresse grave et d’une douceur austère, et où les réprimandes sur le style, les conseils d’éviter les répétitions de mots et les locutions de la Gazette de Hollande, se mêlent naïvement aux préceptes de conduite et aux avertissements chrétiens : « Vous avez eu quelque raison d’attribuer l’heureux succès de votre voyage, par un si mauvais temps, aux prières qu’on a faites pour vous.
Ferrier, bon poëte françois, vient de faire imprimer les Préceptes galants : c’est une espèce de traité semblable à l’Art d’aimer d’Ovide. » Et quelques lignes plus bas : « On fait beaucoup de cas de la Princesse de Clèves. […] Je fais cas de l’une et l’autre main : Tous deux ont un bon style et le langage sain.
On appela à la fin la garde-robe, et nous trouvâmes le roi entouré d’une foule de médecins et de chirurgiens, les questionnant avec une faiblesse et une inquiétude inexprimables sur la marche de sa maladie, sur leur opinion de son état, et sur les remèdes qu’ils lui donneraient dans tel ou tel cas. […] Quoique ce sentiment fût le même à Versailles, l’air d’inquiétude y était plus général ; c’est d’abord le pays du déguisement, et si le déguisement est permis dans un cas, c’est bien dans celui où quand on peut, sans blesser l’honneur, cacher ce qu’on pense, on ne peut pas le faire paraître sans étourderie et sans courir le risque à peu près sûr d’une Bastille éternelle.
Or ce cas, que j’avais prévu, se présente jusqu’à un certain point en ce moment, et c’est ce qui, malgré mon goût pour le silence, m’oblige à le rompre et à parler. […] Si cette sorte d’arbitrage avait eu lieu, il m’eût été bien difficile de ne pas faire sourire l’illustre Président lui-même en m’autorisant auprès de lui d’un texte de droit romain qui semble fait exprès pour le cas en litige.
C’est notre cas, quand nous parcourons Boileau des yeux. […] Selon les cas, il devait prendre à tour de rôle la France de Louis XIV, la Grèce de Périclès ou la Rome d’Auguste, comme des exemplaires également authentiques, inaltérés et complets de l’éternelle vérité et de la raison universelle.
Dans les deux cas, la chose m’est indifférente, Et alors je puis savourer uniquement, sans trouble ni souci, la magnifique, triomphante et précise surabondance de l’expression, Je ne sais, pour moi, rien de plus amusant que les méditations de Hugo sur la mort. […] Et si son nom est encore livré aux vaines disputes des hommes, s’il est malaisé de déterminer l’étendue et les limites de son génie, c’est peut-être que son cas ressemble assez à celui de Ronsard ; c’est que son œuvre n’est pas toute dans ses livres ; c’est qu’il a eu (non pas seul, mais plus qu’aucun autre) la gloire de rajeunir l’imagination d’un siècle et de renouveler une langue, et que, par conséquent, nous ne pouvons pas savoir au juste ce que nous lui devons… Pourquoi lui ?
En tout cas, la méthode n’était pas son penchant. […] En tout cas, il en restera la plus parfaite expression, et s’il arrive jamais que les principes de la science sociale se perdent dans quelque catastrophe universelle, nos enfants pourront les rapprendre dans ce livre immortel, le legs le plus précieux que le dix-huitième siècle ait fait à la France, le plus grand service que la France ait rendu à la société moderne.
Bourget, dans Le disciple, a choisi pour sujet un cas de ce genre. […] Reste à savoir en quels cas et en quelle mesure ces forces font du bien ou du mal.
Le Peuple qui m’entendroit parler ainsi, pour peu qu’il fût sage, diroit : Voilà un mauvais Citoyen ; il veut nous précipiter dans les malheurs de la sédition, & nous mettre dans le cas d’aggraver un joug raisonnable, par les efforts qu’il voudroit nous faire tenter pour le secouer. […] C’est dans ce cas que la vigilance & l’activité sont absolument nécessaires, & qu’il est absurde de confondre leurs efforts communs avec un acharnement indiscret.
Il n’y a, en réalité, pas de femme, comme on va le voir, dans le cas du vicomte Jean de Thommeray ; par conséquent, point de circonstance attenuante : sa cause est perdue. […] Cas scabreux et aveu pénible : c’est une plaie cicatrisée qu’il lui faut rouvrir.
Le mari, divorcé ou non, la chose n’y fait rien, d’une drôlesse internationale, mise au ban de toute société honnête, qui traîne et salit son nom sur tous les marchés galants de l’Europe ; plus infâme encore si elle possède vraiment l’odieuse virginité qu’elle affiche ; volant, comme au coin d’un lit, en ce cas, l’argent de ses amants qui n’y entrent pas. […] Le duc de Septmonts est un débauché, je l’accorde ; il a fait un mariage d’argent, le cas est indélicat, mais non criminel ; il a négligé sa femme, la faute est plus grave ; rappelons pourtant qu’il en a fait amende honorable.
Notre littérature classique est toute ou presque toute aristocratique, faite pour des esprits de cour, en tout cas pour des esprits de choix. […] Pour m’en tenir aux Anglais, il est remarquable que leurs romanciers, à la différence des écrivains français, ne s’attachent pas, en général, à l’étude d’un cas de psychologie passionnelle, d’un scrupule, d’un doute, d’une situation intéressante sans doute, mais exceptionnelle, soit en elle-même, soit par la qualité des personnages qu’elle met en scène.
Ainsi dans le cas actuel, la prime de cinq mille francs étant accordée à M.
Ses défauts étaient une grande timidité, une pâleur indécise dans les conclusions, des vues de l’esprit en contradiction souvent avec les sympathies et les liaisons antérieures, et celles-ci, dans les cas urgents, paralysant quelquefois les autres ; rien d’aboutissant ni d’incisif : un certain ton ironique et peu flatteur dans l’acceptation même des faits devenus désormais nécessaires ; des concessions de détail à une position et à des alentours dont on ne pouvait ni ne voulait se dégager, et sur lesquels il s’agissait principalement d’influer avec lenteur.
Ceux à qui il arrive d’exprimer quelques vérités qui peuvent sembler profondes et hardies, ne doivent pas trop s’enorgueillir ; car, il faut bien se l’avouer, arrivés à un certain âge, la plupart des hommes, je veux dire des hommes qui pensent, pensent au fond de même ; mais peu sont dans le cas de produire ouvertement et de pousser à bout leur pensée.
Le principe de liberté et de critique semblait définitif à ceux qui l’appliquaient si délibérément, et ils ne soupçonnaient que dans des cas assez rares une organisation ultérieure à laquelle il faudrait tôt ou tard arriver.
. — « Plus tard et dans une seconde période, dit notre observateur, lorsque par un long usage j’eus appris à me servir de mes sensations nouvelles, j’avais moins d’effroi d’être seul et dans un pays que je ne connaissais pas ; je pouvais, quoique avec difficulté, me conduire ; j’avais reformé un moi ; je me sentais exister, quoique autre. » Il faut du temps pour que la chenille s’habitue à être papillon ; et, si la chenille garde, comme c’était le cas, tous ses souvenirs de chenille, il y a désormais un conflit perpétuel et horriblement pénible entre les deux groupes de notions ou impressions contradictoires, entre l’ancien moi qui est celui de la chenille, et le nouveau moi qui est celui du papillon. — Dans le second stade, au lieu de dire : Je ne suis plus, le malade dit : Je suis un autre.
Son cas est singulier : injuste et partial jusqu’à la férocité, il ne voit jamais trouble ; la passion donne à son regard une vigueur plus perçante.
En tout cas, jamais depuis 1789 la littérature n’a reçu du public mondain ni impulsion, ni direction.
La contradiction des deux œuvres n’est qu’apparente ; si l’auteur semble changer de principe, c’est que les espèces ne sont pas les mêmes : l’amour absent dans un cas, présent dans l’autre, détermine la sévérité ou l’indulgence de l’auteur.
France avait voulu écrire le roman de la jalousie, définitif, il aurait eu tort de poser Dechartre second amant, parce que la jalousie, en son cas, est trop évidente, trop naturelle, et pas assez fine.
Le recensement en tout cas ne se serait appliqué qu’aux parties réduites en province romaine, et non aux tétrarchies.
Si, dans d’autres cas, il semble défendre à ses disciples d’aller les prêcher, réservant son Évangile pour les Israélites purs 664, c’est là encore, sans doute, un précepte de circonstance, auquel les apôtres auront donné un sens trop absolu.
Un cas, disent-ils, où il seroit ridicule de changer la manière usitée d’écrire, c’est lorsque des mots, ayant un même son, ont pourtant une signification opposée, comme poids, poix & pois, ville, & vile, qui sont toutes choses différentes.
Ce vers est devenu proverbe ; et on le cite souvent à l’occasion de ceux qui se sont mis dans le même cas.
Comme depuis le péché d’Adam on ne commande pas à toutes les parties de son corps comme à son bras, et qu’il y en a qui veulent quand le fils d’Adam ne veut pas, et qui ne veulent pas quand le fils d’Adam voudrait bien ; dans le cas de cet accident, je me serais rappellé le mot de Diogène au jeune lutteur : mon fils, ne crains rien, je ne suis pas si méchant que celui-là. si cette femme s’est un peu promenée au sallon, elle aura vu passer avec dédain devant des productions fort supérieures aux siennes, et pueri nasum… etc., et elle s’en retournera un peu surprise de la sévérité de nos jugemens, plus sociable, plus habile, et moins vaine.
Il n’y rien de si petit dont l’amour propre ne fasse cas quand il flatte notre vanité.
Le cas ne doit point nous troubler.
Il est évident que le juré qui ne voudra pas appliquer la peine de mort, dans les cas prévus par la loi, sera obligé de trahir sa propre conscience, de mentir à l’évidence du fait, ce qui est un très grand mal, parce que c’est une sorte d’immoralité qu’on ne se reproche point.
« Nous ne faisons pas — dit-il — plus de cas qu’Auger (voilà à quoi sert l’autorité de ce qu’on appelle un homme de goût !)
Dans ce dernier cas, et pour qu’elle le fût, il aurait fallu publier d’un seul coup toute la Correspondance dont on nous menace, et non l’égrener en plusieurs volumes, ce collier, qui n’est pas de perles !
Tel, selon moi, a été le cas pour Ranc.
Cependant le cas est moins net que pour la montagne. […] Du moins c’est comme cela que je comprends le mot quand je l’emploie dans ce cas. […] Le tenter est déjà vénérable ; y réussir, ne fût-ce qu’à moitié, est magnifique, et en tout cas l’idéal est là. […] C’est inquiétant… En tout cas, l’héroïne de M. […] Et dans ces cas, je voudrais bien savoir ce que Mlle Fidès ferait d’elle-même.
Et, en tout cas, nous sommes en plein dans la réalité que façonnent, peut-être involontairement, les bons et les mauvais maîtres. […] Par exemple, les Goncourt n’avaient pas beaucoup d’imagination : en pareil cas, l’on préconise l’excellence du réalisme. […] Du reste, le médecin, ne s’éloigne pas et, le cas échéant, vient en aide à l’historien, qui l’appelle en consultation. […] En tout cas, Germinie Lacerteux est d’une langue moins saugrenue que la Fille Élisa ou Chérie. […] En tout cas, vous êtes de mauvaise humeur et vous fermez le livre.