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1474. (1860) Ceci n’est pas un livre « Une préface abandonnée » pp. 31-76

Au lieu de tirer, Murger songe que le lapereau a peut-être une Mimi qui occupe les attentes du rendez-vous à se lustrer le museau de sa patte — au bord du clapier. […] ils tireront pudiquement le rideau devant leurs fenêtres quand MM. 

1475. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « Saint-Bonnet » pp. 1-28

Chacun en effet, depuis saint Cyprien jusqu’à Malebranche, a tiré la flèche de sa raison particulière, de son argument à soi, pris dans le carquois du genre d’esprit qu’on avait, et l’a planté à sa façon plus ou moins avant dans cette vaste cible où il semblait qu’il n’y eût pas maintenant de place pour une flèche de plus. […] Mais le penseur qui l’y a mis l’en tire, et avec quelle puissance !!

1476. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « M. Jean Richepin »

Mais je ne sache pas que d’être monocorde soit, pour un poète, une infériorité ou une diminution de puissance, quand il tire d’une idée ou d’un sentiment unique la plus étonnante diversité, et l’abondance, de la profondeur. Pour rester dans la vieille image de la lyre, l’auteur des Blasphèmes a sur la sienne une seule corde qui vaut les sept… et cette corde, qui n’est ni la corde d’or, ni la corde d’argent, ni la corde d’airain, ni la corde de soie, c’est la corde humaine, tirée de nos entrailles, et qu’on lui a niée.

1477. (1900) La province dans le roman pp. 113-140

Nos petites paysannes elles-mêmes ne se sont-elles pas imaginé d’orner leurs cheveux, bien tirés sur les tempes et lissés à l’eau claire, de fleurs artificielles montées sur des fils de laiton, de chapeaux à cinq ou dix francs, jardins affreux, macarons déplorables et d’un bon marché trompeur ! […] Elles deviennent négligeables, tant à cause de ce que j’appellerai l’usure littéraire d’un pareil moyen, que pour cette autre raison qu’il est tiré de l’histoire ancienne plus que de la réalité présente.

1478. (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre III : M. Maine de Biran »

Lorsqu’on a de l’imagination comme M. de Biran et les scolastiques, on suppose que cette force est quelque chose « d’ineffable, d’immatériel, d’hyperorganique, qui sort du premier fait, ainsi qu’un fluide subtil, et va s’infiltrer dans le second, s’y appliquer, le tirer, le pousser », y créer des modifications et des formes nouvelles. […] Alors seulement le cerveau agit, la moelle communique l’action, le nerf la transmet, le muscle se contracte, le tendon tire, l’os se déplace, le membre se meut, et la pression des chairs vous donne la sensation commandée.

1479. (1854) Nouveaux portraits littéraires. Tome II pp. 1-419

Bientôt Alice tire parti de ses talents, et donne des leçons de musique. […] Bulwer, s’il eût tiré parti de cette transposition ; mais il a violé l’histoire très inutilement. […] Il ne fallait pas les tirer de l’oubli, car elles ne servent qu’à montrer l’inaptitude de M.  […] Augier l’a bien prouvé par l’excellent parti qu’il en a su tirer. […] Aux prises avec un homme qui rirait de la passion, Rose ne s’en tirerait pas à si bon marché. !

1480. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Appendice. — [M. de Latena, Étude de l’homme.] » pp. 523-526

Pourtant, comme la diversité des esprits jusque dans les mêmes genres est infinie, comme la bonne foi et la sincérité en chacun est le grand secret pour tirer de sa nature tout ce qu’elle renferme, il y a moyen toujours, en ne disant que ce qu’on a senti, en n’écrivant que ce qu’on a observé, d’ajouter quelque chose peut-être à ce que les maîtres lumineux et perçants de la vie humaine ont déjà embrassé, ou du moins de faire en sorte que le lecteur soit ramené sur les mêmes chemins et vers les mêmes vues sans fatigue et sans ennui.

1481. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « I » pp. 1-8

L'auteur paraît ne pas se douter que lui-même touche à la vieillesse, et que l’injure tirée des années et des rides va se poser à lui-même sur son front.

1482. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XI » pp. 39-46

On se l’arrache, il dîne en ville, n’y arrive qu’à huit heures du soir, et il s’en tire… M.

1483. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XXXIII » pp. 133-140

Un vieux vaudevilliste royaliste, qui n’a pas le sol, va à Londres tout exprès pour lire au prince je ne sais quelle pièce de poésie à son éloge et en tirer une gratification comme dans le bon temps.

1484. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « Mme DESBORDES-VALMORE. (Pauvres Fleurs, poésies.) » pp. 115-123

Je voudrais qu’un jour on tirât de ce volume, qu’on dégageât cette suite d’élégies-romances dont la forme est si assortie à la manière de Mme Valmore, et dans lesquelles son sentiment soutenu se produit quelquefois jusqu’au bout avec un parfait bonheur, sans les tourments plus ordinaires à l’alexandrin : Croyance, la Femme aimée, Aveu d’une Femme, Ne fuis pas encore, la Double Image, Fleur d’Enfance.

1485. (1874) Premiers lundis. Tome I « Deux révolutions — I. L’Angleterre en 1688 et la France en 1830 »

En France, depuis 89, nous n’avons cessé de marcher (qu’on fasse bien attention à ceci) ; nous n’avons cessé, sur un point ou sur un autre, de tirer les conséquences de notre première Révolution.

1486. (1874) Premiers lundis. Tome II « Poésie — Le Comte Walewski. L’École du Monde »

Ce retard admis, la scène dans laquelle le fat se démasque, l’impudence qui lui fait tirer argument de son tort même et de son manège prolongé près de la femme compromise, pour en arracher un succès, la menace misérable qui termine, tout cela est vrai, bien vu, animé : « C’est la seule scène de la pièce », disait à côté de moi une femme.

1487. (1875) Premiers lundis. Tome III « Le roi Jérôme »

En 1812, Napoléon songea à tirer parti de son zèle, de son dévouement, et à mettre ses talents de chef à l’épreuve, en lui confiant le commandement de toute l’aile droite de la grande Armée qui allait franchir le Niémen.

1488. (1875) Premiers lundis. Tome III «  La Diana  »

Il importe de tirer de leurs griffes ce qu’ils retiennent comme secrets d’État.

1489. (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « André Theuriet »

Alors on tirait de l’armoire une bouteille de fignolette, liqueur fabriquée avec des vins doux et des épices, et l’on mangeait des marrons rôtis sous la cendre.

1490. (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « Une âme en péril »

Il faisait des « portraits » comme La Bruyère, avec des noms tirés du grec.

1491. (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « Les snobs » pp. 95-102

L’homme est ainsi fait qu’il tire vanité de ses admirations : il se pique d’admirer pour des raisons qui lui appartiennent, et il s’admire alors lui même d’admirer avec tant d’originalité.

1492. (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « Bilan des dernières divulgations littéraires. » pp. 191-199

Cela nous rassure, en outre, sur le cas de ceux qui, ayant eu cette aventure, en ont su tirer à mesure cette prose et ces vers.

1493. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Maeterlinck, Maurice (1862-1949) »

On retrouverait chez les Grecs, dans Shakespeare et encore dans Ibsen, les indications théoriques ou des réalisations qui furent peut-être l’origine et la cause de cette particulière et désormais triomphante formule esthétique qui est celle de ses drames ; mais n’eut-ce été que de les coordonner et d’en tirer tous les effets virtuels, la gloire de M. 

1494. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Merrill, Stuart (1863-1915) »

Mais les souffles courts peuvent plaire, si l’on sait en tirer parti.

1495. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Silvestre, Armand (1837-1901) »

C’est le miracle de ce poète : il fait subir aux corps une sorte de transsubstantiation et tire de la volupté physique un mysticisme exalté.

1496. (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -

Remis de leur émotion, selon la coutume des gens de théâtre qui tirent profit de toute chose, ils pensèrent faire une bonne affaire s’ils engageaient dans leur compagnie ce contadino qu’ils avaient trouvé si facétieux et si spirituel ; ils lui firent des propositions et il les accepta.

1497. (1911) La valeur de la science « Introduction »

Et déjà il est nécessaire de modifier sur quelques points le tableau que je traçais en 1900 et dont j’ai tiré deux chapitres de Science et Hypothèse.

1498. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. James Mill — Chapitre II : Termes abstraits »

L’un de ses principaux mérites, à nos yeux, c’est d’avoir essayé de montrer que certains termes abstraits ne paraissent inexplicables que parce qu’ils sont trop éloignés des concrets d’où ils sont tirés.

1499. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337

Saint-Simon remarque, à cette occasion, que ces enfants, qui, dit-il, furent tirés du profond non-étre des doubles adultérins, furent enrichis de tous les droits des légitimes dans la société, décorés du surnom de la maison régnante, et de noms de provinces que les princes du sang même ne portaient pas97.

1500. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 439-450

C’est à ceux qui connoissent les droits de la Muse comique, à décider s’il a outrepassé les bornes prescrites : nous nous contenterons de dire qu’il nous semble, au contraire ; n’avoir pas tiré un assez grand parti de son sujet.

1501. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des recueils poétiques — Préfaces des « Orientales » (1829) — Préface de l’édition originale »

Parlez-moi d’une belle littérature tirée au cordeau !

1502. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Démosthéne, et Eschine. » pp. 42-52

Alexandre demandoit aux Athéniens qu’ils lui livrassent un certain Harpalus, dont il vouloit tirer quelque vengeance.

1503. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Jean-Baptiste Rousseau et M. de Voltaire. » pp. 47-58

Tout le fruit que le jeune Arrouet avoit espéré d’en tirer s’évanouit.

1504. (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre quatrième. »

Cette petite pièce n’est point une fable ; c’est une aventure très-bien contée, dont La Fontaine tire une moralité contre les avares.

1505. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre second. Philosophie. — Chapitre II. Chimie et Histoire naturelle. »

Rien n’est plus admirable, disent-ils, que les découvertes de Spallanzani, de Lavoisier, de Lagrange ; mais ce qui perd tout, ce sont les conséquences que des esprits faux prétendent en tirer.

1506. (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — Lettre, à Madame la comtesse de Forbach, sur l’Éducation des enfants. » pp. 544-544

Je m’en suis félicité ; et j’ai pensé que je pourrais bien avoir de la raison et du goût, puisque de moi-même j’avais tiré les vraies conséquences des principes que mon aimable et belle comtesse avait posés.

1507. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 27, que les sujets ne sont pas épuisez pour les poëtes, qu’on peut encore trouver de nouveaux caracteres dans la comedie » pp. 227-236

Pour parler figuremment, leurs devanciers ont encore laissé plus de marbre dans les carrieres qu’ils n’en ont tiré pour le mettre en oeuvre.

1508. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 41, de la simple récitation et de la déclamation » pp. 406-416

Dès que la simple récitation ajoûte tant d’énergie au poëme, il est facile de concevoir quel avantage les pieces qui se déclament sur un théatre, tirent de la représentation.

1509. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 2, du génie qui fait les peintres et les poëtes » pp. 14-24

Voilà pourquoi leur esprit semble les abandonner quelquefois, et quelquefois les tirer par l’oreille, suivant la phrase d’Horace, pour les obliger d’écrire ou de peindre.

1510. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 7, que les genies sont limitez » pp. 67-77

Nos hollandois, au nombre desquels on voit bien que je ne comprens pas ici les peintres de l’école d’Anvers, ont bien connu la valeur des couleurs locales, mais ils n’en ont pas sçû tirer le même avantage que les peintres de l’école venitienne.

1511. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « XVI »

Quand on voit ces grands artistes, entre trois ou quatre expressions, se décider presque toujours pour la plus forte, n’a-t-on pas le droit de traduire ce fait en formule et de tirer un conseil de ce procédé ?‌

1512. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Les dîners littéraires »

… La postérité n’eût rien su de ces repas friands et voilés, entre quelques grands et charmants esprits, si la main toute-puissante et indiscrète de la gloire n’avait écarté le discret rideau qu’ils avaient su tirer sur eux.

1513. (1915) La philosophie française « II »

Si, pour mesurer la profondeur de leur pensée et pour la comprendre pleinement, il faut être philosophe et savant, néanmoins il n’est pas d’homme cultivé qui ne soit en état de lire leurs principales œuvres et d’en tirer quelque profit.

1514. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXXII. Des éloges des hommes illustres du dix-septième siècle, par Charles Perrault. »

Mais nos richesses nous rendent ingrats ; nous oublions les hommes laborieux qui se sont ensevelis dans la mine pour nous tirer de l’or, et nous ne louons que l’artiste qui l’emploie.

1515. (1891) Impressions de théâtre. Cinquième série

Corneille s’en est tiré comme il a pu. […] J’en ai encore pris trois pour ce tirage-ci ; les voilà (il tire un billet de loterie) : 7, 19, 48. […] » Mais il saura bien tirer parti de sa maladresse. […] » et le tirent par les basques, et lui passent entre les jambes. […] Et voyez l’ingénieux parti que le poète a tiré de ce jeu des vertus.

1516. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

Il suffirait, pour appuyer notre opinion, de comparer L’Étourdi, par exemple, à la fantaisie italienne d’où Molière a tiré ce pimpant chef-d’œuvre. […] Jaulnay, doyen et chantre de l’église de Saint-Roulé, à Senlis, publia une longue pièce de vers, L’Enfer burlesque, tiré, dit le titre, des visions de Dom F. de Quevedo. […] J’eus à peine achevé de parler du mérite de cet auteur, qu’une Personne de la Compagnie tira quelques pièces de vers qui regardaient cet illustre défunt. […] Gay et fils, 1872. — Tiré à 204 exemplaires. […] Tiré du Mercure galant.

1517. (1894) La bataille littéraire. Septième série (1893) pp. -307

On goûte le vin avant de l’acheter, et même tiré, on n’est pas forcé de le boire. […] mais vingt-quatre pièces de campagne feront douze décharges successives ; puis les bataillons feront feu l’un après l’autre et l’artillerie tirera de nouveau. […] De là à expliquer son rapprochement vers nous, il n’y a que des conclusions logiques à tirer. […] Chacun tira de sa gibecière la viande qu’il avait apportée et tous se mirent à manger en silence, repaissant leur vue de la contemplation de leurs chers défunts. […] À Nogent, un marchand de drap, tiré aux quatre membres par une dizaine de Prussiens, fut quasi écartelé ; une balle mit fin à son supplice.

1518. (1809) Tableau de la littérature française au dix-huitième siècle

Pour les en tirer, on essaierait vainement de changer l’ordre des choses. […] Ainsi donc les déductions tirées des vérités déposées dans l’âme ont une bien autre autorité sur nous. […] Les questions de liberté, la limite des autorités, la constitution de la république chrétienne, tout cela fut débattu, soit avec les armes de l’érudition, soit par des raisonnements tirés de la nature des choses. […] Enfin nous apprendrons à tirer honneur d’un moment dont quelques personnes aveugles ou de mauvaise foi voudraient faire rougir la nation. […] On tira de la souveraineté du peuple, et de la suprême loi du salut de l’État, une dérogation avouée aux lois d’éternelle justice.

1519. (1908) Après le naturalisme

Il l’en tire. […] Rousseau a tiré son Éducation s’avèrent à l’expérience, comme au raisonnement, parfaitement fausses. […] S’appliquant aux pires sujets, il en tirait le plus grand avantage. […] Alors, il pourra donner toute sa mesure, et mettre en œuvre, mieux que jamais, les ressources dont il tire sa supériorité. […] Plus rien n’est à tirer de la théorie de l’art pour l’art.

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