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395. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XLIII » pp. 173-174

suite de la polémique entre félix pyat et jules janin. — mademoiselle rachel dans bérénice.

396. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — E — Ernault, Louis (1865-19..) »

Judas ayant accompli un miracle, ayant rendu la vie à une jeune fille morte, le miracle aura sa suite logique ; il aura des conséquences impures, puisqu’il a obéi à l’incantation d’un être impur.

397. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » pp. 405-406

Il est vrai qu’un Ouvrage de cette espece n’est pas fait pour être lu de suite ; mais cette inégalité se trouve dans le même Article, parce que chaque Article n’est qu’une compilation des Jugemens de divers Journalistes.

398. (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « Stendhal, son journal, 1801-1814, publié par MM. Casimir Stryienski et François de Nion. »

Il procède en poésie, comme il a fait en amour, avec suite et méthode, tout un luxe de réflexions, de préparations et de préméditations. […] Sans doute il est de son temps ; il admire encore Crébillon ; il déclare, après une représentation de la Suite du Misanthrope, que « d’Eglantine est le plus grand génie qu’ait produit le dix-huitième siècle en littérature »  Je comprends d’ailleurs que ce jeune homme de tant d’orgueil et d’énergie place très haut Corneille et même Alfieri : je conçois moins que celui qui doit écrire le livre de l’Amour fasse si peu de cas du théâtre de Racine.

399. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125

Chapitre XIII Suite de la 6e période, de 1650 à 1660. — Sociétés d’élite qui prennent la place de l’hôtel de Rambouillet. […] On y lit aussi que l’hôtel d’Albret et l’hôtel de Richelieu « étaient une suite et une imitation de l’hôtel de Rambouillet, quoiqu’avec des correctifs, et qu’il leur manquât un Voiture pour en faire passer à la postérité les plaisirs et les amusements. » Avant les hôtels d’Albret et de Richelieu, j’aurais dû citer en première ligne les cercles de mademoiselle de Montpensier.

400. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Ch.-L. Livet »

Je défie bien de lire de suite sans être écœuré cette Guirlande de Julie que Livet a transcrite à la fin de son ouvrage, pour nous démontrer, sans nul doute, l’influence heureuse de ces affreuses fadeurs sur la langue et la littérature. […] Livet, qui veut être à la mode et, par la mode, faire son petit chemin ; Livet, qui suit ses maîtres (il est de la suite de Monseigneur, mais il ne grippe pas beaucoup de soleil !)

401. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Hoffmann »

Les Suites d’une queue de cochon (on n’est pas responsable du titre qu’on est obligé de citer), les Suites d’une queue de cochon, à part le décousu d’intelligence et le délire sans gaieté de ce cauchemar qui veut être gai, et la Fenêtre du coin de mon cousin, sont des exemples de cette manière de peindre détaillée, sans finesse et sans choix, et qui, par la vulgarité du dessin et de la couleur, arrive souvent jusqu’à la platitude.

402. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Jules Sandeau » pp. 77-90

Ce fut son mérite, et cela devint intellectuellement son honneur, de montrer, par une suite d’ouvrages, qu’après la rupture d’une collaboration éclatante, il n’était pas, du coup, entièrement brisé, — qu’il était par lui-même, — qu’il existait, — qu’il avait enfin une individualité littéraire, et que, pour la délicatesse des sentiments et l’adoucissement des touches amollies, la plus femme des deux n’était pas la femme. […] Il meurt des suites de ses blessures, et ses derniers regards, ses dernières caresses sont pour la fille que Dieu lui donne et que Renée prend en antipathie, parce que cette fille n’est pas un garçon.

403. (1929) Critique et conférences (Œuvres posthumes III)

Un homme était prévenu d‘une suite d’empoisonnements, et pas une preuve et chaque réponse du patient confondait — et de haut ! […] Un succinct avant-propos, à la suite d’une très belle préface de M.  […] Le malheur, suite de fautes — mutuelles — survint dans le ménage du poète qui, brusquement, quitta tout et vagabonda à la recherche de distractions qui ne le rassasièrent pas. […] C’était, je le sus par la suite, un vicaire de la paroisse, chanoine de Lincoln, au surplus, magistrat du comté, personnage aimable, plein de bonhomie, dont j’eus l’occasion de reconnaître, par la suite, la réelle charité. […] Son assistance avait fait de moi un passable élève, ou plutôt un lecteur d’anglais, et j’ose croire que mes leçons lui furent profitables dans la suite.

404. (1868) Cours familier de littérature. XXVI « CLIe entretien. Molière et Shakespeare »

VII Le roi Duncan entre avec sa suite, plein de joie et de confiance, il parcourt du regard le château de Macbeth, où il a pris asile. […] Entrent DUNCAN, MALCOLM, DONALBAIN, BANQUO, LENOX, MACDUFF, ROSSE, ANGUS ; suite. […] Entrent MACBETH, LADY MACBETH, ROSSE, LENOX et autres SEIGNEURS ; suite. […] (Sortent les Seigneurs et leur suite.) […] C’est alors que la conformité du goût et du talent nous unit plus intimement, que j’allai plus souvent m’asseoir à leur vie de famille, et qu’ils vinrent eux-mêmes habiter plus fréquemment ces deux asiles de Saint-Point et Monceaux que la suite des événements politiques me laissait encore libres pour moi et pour mes amis.

405. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre III. Les grands artistes classiques — Chapitre VI. Bossuet et Bourdaloue »

Bientôt, cependant, cette prudente institutrice s’inquiéta des suites effectives du pur amour, l’évêque de Chartres, Godet-Desmarais, directeur de Saint-Cyr, la fit revenir de son égarement ; et Saint-Cyr fut fermé à Mme Guyon. […] Quand il arrive à Paris, il est maître de son talent et de sa forma : cependant dans cette suite de chefs-d’œuvre qu’il accumule pendant onze ans, on peut distinguer deux manières : les sermons des premières années sont plus voisins des sermons de Metz, par la vigueur de l’appareil logique, par la chaude couleur du style. […] Elles se sont groupées en deux parties : l’une qui explique la suite de la religion, et l’autre qui traite des empires. […] Au point de vue de l’art, l’Histoire des variations est un des plus puissants chefs-d’œuvre de Bossuet : cette suite de raisonnements, de discussions, ce mélange ardu de faits historiques et de théologie dogmatique est animé d’une vie extraordinaire. […] Le prédicateur a le geste rare, un mouvement de bras égal et monotone, la voix mélodieuse et uniforme, sans autre nuance qu’un peu plus de lenteur ou de rapidité dans le débit : les yeux sont clos ; la mémoire travaille pour représenter la suite du discours appris par cœur ; et parfois l’orateur reprend quelques mots pour ressaisir le fil qui lui échappe.

406. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Riotor, Léon (1865-1946) »

Louis Denise Léon Riotor publie sous ce titre : Le Pêcheur d’anguilles, une fort belle légende hollandaise, qu’il a traitée en une suite de tableaux parfaitement adaptés à l’agencement du sujet primitif, En dehors du récit et seulement par l’allure générale de l’œuvre, cela fait penser à L’Albertus, de Théophile Gautier.

407. (1913) Le bovarysme « Avertissement »

Il semble que si telle décision était prise, que si telle mesure était exécutée, que si l’on voulait telle et telle chose, toute la suite des événements serait modifiée, et on oublie que les choses sont telles précisément parce que telle résolution ne peut plus être adoptée, parce que tel vouloir n’est plus possible.

408. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Guimberteau, Léonce »

Ainsi que le titre l’indique, les poèmes de ce recueil sont une suite de cantiques à la gloire de l’homme, de l’Homme dernier-né des dieux, qui a vénéré autrefois, dans les religions sublimes, les beautés de sa propre pensée, et rend aujourd’hui à cette pensée même l’hommage qui lui est seul dû.

409. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 431-433

Celle de Tiridate en eut vingt-cinq de suite, & s’est toujours soutenue.

410. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 52-53

L’élégance & la fidélité paroissent caractériser cet Ouvrage, & font conjecturer que la suite ne sera pas indigne de ce commencement.

411. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 401-402

On sait qu’il est devenu sou des suites d’une chute de cheval, & qu’il est mort peu de temps après, pour avoir avalé, dans sa démence, la clef de son logement.

412. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Du Plessys, Maurice (1864-1924) »

Il s’élance, à sa suite, dans les régions du pur lyrisme, et l’audace règle seule son vol aventureux.

413. (1894) Propos de littérature « Introduction » pp. 9-10

Mais, je le répète, tous les deux sont poètes, tous les deux sont artistes et, si dans la suite de cet article les mots défaillaient à ma pensée, je voudrais affirmer encore qu’ils sont égaux à mes yeux.

414. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 444-446

Même nom de baptême, nom également substitué à son vrai nom de famille ; il a fait, comme lui, époque* dans notre Littérature ; l’un & l’autre sont nés avec beaucoup d’esprit & de talent ; l’un & l’autre ont ambitionné la Monarchie Littéraire, & la manie de dominer leur a également suscité une foule d’ennemis ; tous deux ont habité successivement l’Angleterre, la Hollande, l’Allemagne & la Suisse ; tous deux ont été fêtés à la Cour des Rois, & tous deux, par la suite des événemens, ont été forcés de vivre loin de leur patrie.

415. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 513-514

Un style simple, mais énergique & correct, une érudition adroitement ménagée, de l'exactitude dans les citations, de l'honnêteté dans les critiques, de la sagacité dans les discussions, de la solidité dans les principes, de la précision & de la justesse dans les raisonnemens ; voilà ce qui caractérise cette Production, qui mérite d'être placée à la suite du Traité, pour servir de correctif à ce qu'il offre de défectueux.

416. (1923) Paul Valéry

Nous verrons ses termes sortir peu à peu de l’ombre, l’un après l’autre, en sortir pour y rentrer, dans ces jeux de lumière dont il ne faut d’abord rien faire qu’en éprouver patiemment et voluptueusement la suite. […] On pourrait faire de Semiramis la suite et l’antithèse des deux Dormeuses. […] Non qu’ils ne soient pris, eux aussi, dans une tradition, dans une communauté et une suite littéraire. Mais cette communauté et cette suite, c’est à une autre technique encore de la repérer, de la supposer, même de l’inventer : à savoir la technique propre de la critique. […] Les images se suivent avec une perfection logique et une suite musicale qui ne laissent rien à désirer.

417. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Le Chevalier de Méré ou De l’honnête homme au dix-septième siècle. »

Les dames surtout savaient vite à quoi s’en tenir, et quand on avait tout dit, tout expliqué, elles demandaient quelque chose encore ; ce quelque chose, dit Méré, « consiste en je ne sais quoi de noble qui relève toutes les bonnes qualités, et qui ne vient que du cœur et de l’esprit ; le reste n’en est que la suite et l’équipage. » Le chevalier recommande beaucoup cet entretien des dames ; c’est là seulement que l’esprit se fait et que l’honnête homme s’achève ; car, comme il le remarque très-bien, les hommes sont tout d’une pièce tant qu’ils restent entre eus. […] Je pense avoir été le premier qui vous ai donné de bonnes leçons37… Je me souviens que je vous instruisois à vous rendre aimable, et que dès lors vous ne l’étiez que trop pour moi… » On a voulu voir dans la suite de la lettre une façon détournée de demande en mariage ; c’est infiniment trop dire : le chevalier badine là-dessus et ne veut que recommander à son ancienne amie un honnête homme qui a besoin de protection. […] Je voudrois vous la pouvoir conter tout d’une suite, car je crois que vous seriez bien aise de l’apprendre ; mais, madame, outre que cela ne serait pas si tôt fait, et que je me lasse fort aisément, il me semble qu’il y a plus de huit heures que je vous écris, et je suis accablé de sommeil. » La suite de l’histoire ne vient pas et ne vint jamais, et n’est-ce point, en effet, sur ce propos brisé qu’il sied de finir ? […] Cette page du chevalier devrait s’ajouter, dans les éditions de La Rochefoucauld, à la suite des Réflexions diverses dont elle semble une application vivante. […] Nous ressemblons tous à une suite de naufragés qui essaient de se sauver les uns les autres, pour périr eux-mêmes l’instant d’après.

418. (1893) Du sens religieux de la poésie pp. -104

C’est ainsi qu’une toile de cent mètres de longueur sur un seul plan ne saurait être qu’une suite d’œuvres, puisque personne (et non plus l’auteur) ne pourrait l’embrasser d’un regard et, par conséquent, en apprécier l’harmonie. […] Quant aux grands poèmes modernes, tels que la Divine Comédie ou le Paradis perdu, ce sont d’admirables suites de petits poèmes séparés par de longs instants de remplissage sensibles dans l’œuvre surtout du poète anglais. […] Les acteurs parlent au présent et, dans sa vie vivante, c’est toujours au présent que l’œuvre se déroule sous nos yeux, suite symphonique de tableaux que la logique des péripéties et du dénouement relie avec certitude à la première scène. […] Le monde oscille entre ces deux instants de crise, qui reviennent périodiquement dans la suite de son développement. […] Il intéresse le sentiment, cette force qui, non satisfaite, se répand en violence et déprave en révolution le progrès qu’on peut espérer voir s’accomplir par la suite logique de l’évolution humaine, pourvu que tous les éléments du composé humain soient contentés et celui-là surtout, dis-je, le plus ardent, le plus insatiable de tous, le sentiment.

419. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Discours sur le système et la vie de Vico » pp. -

Mais Platon cherche dans la sagesse vulgaire d’Homère, un ornement plutôt qu’une base pour sa philosophie ; Tacite disperse la sienne à la suite des événements ; Bacon dans ce qui regarde les lois ne fait pas assez abstraction des temps et des lieux pour atteindre aux plus hautes généralités. […] Originairement la langue divine ne pouvant se parler que par actions, presque toute action était consacrée ; la vie n’était pour ainsi dire qu’une suite d’actes muets de religion. […] Chaque ouvrage était lu trois fois ; la première pour en saisir l’unité, la seconde pour en observer la suite et pour étudier l’artifice de la composition, la troisième pour en noter les expressions remarquables, ce qu’il faisait sur le livre même. […] Cette place lui donna l’occasion d’exposer partiellement, dans une suite de discours d’ouverture, les idées qu’il devait réunir dans son grand ouvrage (1699-1720). […] Il paraît que son fils Gennaro Vico rassembla les notes qu’il avait pu dicter depuis l’édition de 1730, et les intercala à la suite des passages auxquels elles se rapportaient le mieux, sans entreprendre de les fondre avec le texte auquel il n’osait toucher.

420. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « M. Charles Magnin ou un érudit écrivain. »

Magnin a défriché, l’un des premiers, avec infiniment de labeur et de patience, et avec un notable succès, des portions d’histoire littéraire ingrates et restées encore obscures ; les origines de notre comédie nationale lui doivent beaucoup ; il y a porté une curiosité d’examen, un intérêt et une finesse d’attention, un goût délié, une clarté et une élégance d’exposition qui le désignent à l’estime de quiconque reprendra la suite de ces mêmes études. […] Magnin, dans une suite d’entretiens et d’explications, les idées, les vérités nouvelles, et l’habile écrivain, l’écouteur avisé, les avait conçues, absorbées aussitôt, puis retournées et exposées à son compte avec une lucidité attrayante. […] Magnin ne sentait pas assez dans chaque branche les différences tranchées, les points de départ et les fins : ce qui lui manquait, c’était le coup d’archet, ou de le donner lui-même ou de le distinguer chez d’autres ; il était porté à voir dans les choses plus de continuité et de suite qu’elles n’en ont. […] Venu tard dans cette étude et à leur suite, je recueillais les fruits de leur labeur, et je leur en étais reconnaissant.

421. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. VILLEMAIN. » pp. 358-396

Ces libres mais fortes études prédisposaient avec bonheur l’esprit de l’enfant à ce qu’il devait être dans la suite, en lui ouvrant facilement et pour toujours les grandes et limpides sources primitives. […] Ce qui semblait tout à l’heure un gros de troupes à notre suite n’est souvent plus alors qu’une poignée. […] Villemain, dans le domaine infini de sa connaissance littéraire, mena à sa suite et à côté de lui cette rapide jeunesse, ouvrant pour elle dans la belle forêt trois ou quatre longues perspectives, là même où les routes royales des grands siècles manquaient ; mais ces perspectives, si heureusement ouvertes par lui et qui suffisent à marquer son glorieux passage, se refermeraient derrière, si de nouveaux venus ne travaillaient à les tenir libres, à les limiter et à les paver pour ainsi dire : c’est l’heure maintenant de ne plus traverser la forêt, comme Élisabeth à Windsor, comme François Ier en chasse brillante dans celle de Fontainebleau, mais de s’y établir en ingénieurs, hélas ! […] La suite n’a pas donné tort à sa justesse prudente : mais n’aurait-il pu cependant se prononcer un peu plus sans mécompte ?

422. (1824) Ébauches d’une poétique dramatique « Division dramatique. » pp. 64-109

Cette exposition du sujet ne doit point être si claire, qu’elle instruise parfaitement le spectateur de tout ce qui doit arriver dans la suite, mais le lui laisser entrevoir comme une perspective, pour le rapprocher par degrés et le développer successivement, afin de ménager toujours un nouveau plaisir partant du même principe, quoique varié par de nouveaux incidents qui piquent et réveillent la curiosité. […] Quelques auteurs confondent la catastase avec l’épitase ; ou ne les distinguent tout au plus qu’en ce que l’une est le commencement, et l’autre la suite du nœud de l’intrigue. […] Il peut bien obliger un homme à faire quelques plaintes en paroles interrompues, mais non pas un discours de suite et tout raisonné : ou bien il faudrait que le poète usât d’une telle adresse en la composition de ce monologue, que l’acteur dût élever sa voix en récitant certaines paroles seulement, et la modérer en d’autres ; et cela, afin qu’il soit vraisemblable que l’autre acteur, qui l’écoute de loin, puisse entendre les unes comme prononcées tout haut, et par l’effet d’une passion qui éclaterait à diverses reprises, mais non pas les autres, comme étant prononcées tout bas. […] Il est vrai que chaque discours fait une magnifique suite de vers, qui s’embellissent encore par la continuité.

423. (1833) De la littérature dramatique. Lettre à M. Victor Hugo pp. 5-47

Vous excuserez, Monsieur, cette sortie un peu amère sur les suites de vos doctrines. […] C’est la suite de votre système. […] Cependant au milieu de cette confusion de genres, de ces actions heurtées et sans suite, de ces personnages grotesques, rodomonts et ampoulés, de ce cliquetis de pensées hardies et tout à la fois neuves, élevées et communes, il est impossible de ne pas reconnaître dans vos productions dramatiques une imagination vive, une verve surabondante, une manière pittoresque d’exprimer une belle pensée, quelques scènes savamment creusées, et enfin, si vous voulez rétrograder vers le simple bon sens, l’espoir d’un talent vif et original. […] Et si à votre tour, en faisant des pas rétrogrades vers le bien, il vous prenait fantaisie de m’y accompagner sans suite et d’y combattre avec des armes courtoises, vaincu je m’applaudirais de ma défaite, bien certain que ce ne serait qu’à mes bons avis que vous devriez l’honneur de votre triomphe.

424. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 430-432

Ces titres ne seroient pas suffisans pour prétendre à une réputation solide, si M. l’Abbé de Gourcy n’annonçoit d’ailleurs des talens capables de se développer dans la suite d’une maniere plus avantageuse.

425. (1913) Le bovarysme « Deuxième partie : Le Bovarysme de la vérité — I »

Cette constatation doit justifier désormais à nos yeux toute la suite des phénomènes, depuis les plus généraux jusqu’aux plus particuliers, qui ont été exposés dans la première partie de cette étude et où s’est manifestée en acte, à quelque degré, la faculté de se concevoir autre.

426. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre second. Poésie dans ses rapports avec les hommes. Caractères. — Chapitre premier. Caractères naturels »

Car si elle est aussi belle que le polythéisme dans le merveilleux, ou dans les rapports des choses surnaturelles, comme nous essaierons de le montrer dans la suite, elle a de plus une partie dramatique et morale, que le polythéisme n’avait pas.

427. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Sully, ses Économies royales ou Mémoires. — I. » pp. 134-154

Celui-ci, après être resté quelque temps dans la simple infanterie, passe dans la compagnie colonelle de M. de Lavardin et y sert en qualité d’enseigne ; mais bientôt il cède cette enseigne à un de ses cousins, et, ayant fait des épargnes de son revenu durant deux ou trois ans (car il est bon ménager de bonne heure), s’étant retranché durant ce temps à vivre de ses soldes, de ses profits et butins faits à la guerre, il s’arrange si bien qu’il peut figurer désormais comme gentilhomme, ayant ses gens et son équipage à lui, à la suite du roi de Navarre. […] Les Mémoires de Sully nous le montrent au naturel dans cette première suite d’aventures, de rencontres et de petits sièges. […] Il l’épousa cette année même 1583 : L’amour et gentillesse de laquelle vous retint toute l’année 1584 en votre nouveau ménage, où vous commençâtes à témoigner, comme vous aviez déjà bien fait auparavant en toute votre vie, en la conduite de votre maison, une économie, un ordre et un ménage merveilleux, prenant la peine de voir et savoir tout ce qui concernait la recette et dépense de votre bien, écrivant tout par le menu, sans vous en remettre ni fier à vos gens, chacun s’étonnant comment sans bienfaits de votre maître, ni sans vous endetter, vous pouviez avoir tant de gentilshommes à votre suite, et si honnêtes gens qu’étaient les sieurs de Choisy, Morelly, Boisbrueil, Mallosnay, Tilly, Lafond et Maignan, et faire une si honorable dépense.

428. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Nouvelles lettres de Madame, mère du Régent, traduites par M. G. Brunet. — I. » pp. 41-61

Il faut que vous ne vous souveniez guère de moi si vous ne me rangez pas au nombre des laides ; je l’ai toujours été, et je le suis devenue encore plus des suites de la petite vérole : ma taille est monstrueuse de grosseur, je suis aussi carrée qu’un cube ; ma peau est d’un rouge tacheté de jaune ; mes cheveux deviennent tout gris ; mon nez a été tout bariolé par la petite vérole, ainsi que mes deux joues ; j’ai la bouche grande, les dents gâtées, et voilà le portrait de mon joli visage. […] Elle n’était pas si inférieure à ce roi qu’on le croirait, ou plutôt elle ne lui était inférieure qu’en politesse, en mesure, en esprit de suite et de précision : mais, à certains égards, elle le jugeait avec bien de l’intelligence et avec un bon sens plus libre et plus étendu qu’il n’osait se le permettre pour son propre compte ; elle le trouvait ignorant sur une foule de points, et elle avait raison. […] Si je n’avais eu la fièvre et de grandes vapeurs, madame, du triste emploi que j’ai eu avant-hier d’ouvrir les cassettes de Monsieur, toutes parfumées des plus violentes senteurs, vous auriez eu plus tôt de mes nouvelles, mais je ne puis me tenir de vous marquer à quel point je suis touchée des grâces que le roi a faites hier à mon fils, et de la manière qu’il en use pour lui et pour moi : comme ce sont des suites de vos bons conseils, madame, trouvez bon que je vous en marque ma sensibilité, et que je vous assure que je vous tiendrai très inviolablement l’amitié que je vous ai promise ; et je vous prie de me continuer vos conseils et avis, et de ne jamais douter de ma reconnaissance qui ne peut finir qu’avec ma vie.

429. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « William Cowper, ou de la poésie domestique (I, II et III) — III » pp. 178-197

Tout ce livre, d’une teinte morale sombre, est comme une suite d’élancements mystiques, bibliques, patriotiques, humains et fraternels : il a l’inconvénient de ressembler plus d’une fois à de la prédication en vers ; mais, par son esprit et par son ardeur, il suffirait à montrer combien Cowper s’élève au-dessus de l’ordre des poètes descriptifs et pittoresques proprement dits. […] La maladie morale de Cowper, dont j’ai parlé sans la définir, était d’une nature à part et d’une singularité extrême : il se croyait à jamais rejeté et réprouvé, et il le croyait avec une suite, une persistance et une opiniâtreté qui constituaient la manie. […] On n’a jamais lutté avec plus de constance et de suite qu’il ne l’a fait contre une folie aussi présente et persistante, « une des plus furieuses tempêtes, disait-il, qui ait été déchaînée sur une âme humaine, et qui ait jamais bouleversé la navigation d’un matelot chrétien. » Une de ses dernières pièces de vers, intitulée Le Rejeté, est la peinture d’un matelot tombé en pleine mer pendant le voyage de l’amiral Anson, et s’efforçant de suivre à la nage le vaisseau d’où ses compagnons lui tendent en vain des câbles, et qu’emporte la tempête : il y voyait une image lugubre de sa destinée.

430. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Maine de Biran. Sa vie et ses pensées, publiées par M. Ernest Naville. » pp. 304-323

Ainsi, cette malheureuse existence n’est qu’une suite de moments hétérogènes qui n’ont aucune stabilité. […] Au lieu d’appliquer ses facultés avec suite, il les laisse vaguer, tournoyer, et se dévorer sur place. […] On a l’aperçu de ce livre, qui est moins un livre de philosophie qu’une peinture morale, livre de naïveté et de bonne foi, nullement d’orgueil, d’où il résulte qu’un homme de plus, et de ceux qui sont le plus dignes de mémoire, est bien connu ; livre à mettre dans une bibliothèque intérieure à côté et à la suite des Pensées de Pascal, des Lettres spirituelles de Fénelon, de L’Homme de désir par Saint-Martin, et de quelques autres élixirs de l’âme.

431. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « La comtesse de Boufflers (suite.) »

La comtesse de Boufflers (suite.) […] La suite vous prouvera que mon cœur est fait pour l’amitié, que je n’en promets pas par-delà ce que j’en veux donner, que je ne suis point susceptible de dégoût sans cause, et que j’ai quelque discernement pour juger du mérite. […] On trouvera cette suite de lettres de Mme de Houfllers au tome II du recueil, publié depuis par MM. 

432. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « La comtesse de Boufflers (suite et fin.) »

La comtesse de Boufflers (suite et fin.) […] M. de Lévis, qui ne fit que la connaître en passant, a recueilli d’elle, pour les avoir vues encadrées dans la chambre d’une personne qui en faisait sa méditation quotidienne, une suite de Maximes qui sont tout un code de morale mondaine et de sagesse féminine, — pas trop féminine pourtant, car il y en a dans le nombre quelques-unes de viriles, et même d’un peu romaines ; voici au complet ce petit manuel de bienséance et de stoïcisme : « Dans la conduite, simplicité et raison. […] Un volume entier où l’on recueillerait la suite de ses lettres à Jean-Jacques et de Jean-Jacques à elle, où l’on mettrait la Correspondance de Hume exactement traduite, celle de Gustave III que l’on ne saurait manquer de retrouver, ce serait là, au défaut de sa tombe inconnue, son véritable tombeau, tout littéraire comme elle, et son durable monument.

433. (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Catinat (suite.). Guerre des Barbets. — Horreurs. — Iniquités. — Impuissance. »

Catinat (suite.) […] Les Vaudois en armes organisaient la défense, et quoi qu’on puisse dire de ce qui arriva dans la suite de cette atroce guerre, cette première levée de boucliers, avec les instructions à la fois militaires et morales qui y présidèrent, et dont on a tous les articles, est d’une simplicité naïve et d’une générosité exemplaire. […] Le roi connaîtra dans la suite de quel poids lui seront les conquêtes qu’il a faites… » Cette guerre de guérillas, on l’a trop su à toutes les époques, dans un pays qui la favorise et avec le ferment de la religion et du patriotisme, est indestructible et quasi-immortelle.

434. (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Mémoires de Malouet (suite.) »

Mémoires de Malouet (suite.) […] Mais « j’avais eu le tort, nous dit-il, de me séparer beaucoup trop tôt et beaucoup trop ouvertement du parti populaire, où je voyais alors un bien plus grand nombre de factieux qu’il n’y en avait réellement. » Il dut pourtant à sa bonne réputation et à son renom mérité d’honnêteté d’être, par la suite, le confident des repentirs de plus d’un de ceux qu’il avait d’abord trop absolument jugés. […] Il racontait régulièrement deux fois de suite la même anecdote qu’on savait d’ailleurs, et il ne faisait entre ces première et deuxième narrations que frapper de deux doigts bien secs sur une table, en disant : C’est joli, je ne sais pas si on en sent toute la finesse.

435. (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Œuvres inédites de F. de La Mennais »

Mais l’originalité individuelle de La Mennais s’y marque de bonne heure tout entière, et quand on a vu s’accomplir toute la destinée de l’homme, ce tableau du commencement, publié le dernier, devient comme une justification frappante et un abrégé vivant qui contenait toute la suite. […] Il y a partout du bien à faire, et ici plus que nulle part… » Et enfin il lâche le grand argument, plus vrai que lui-même ne le croyait, et que toute la suite de sa vie n’a que trop vérifié : « J’ajoute un motif d’un grand poids : j’ai besoin de quelqu’un qui me dirige, qui me soutienne, qui me relève ; de quelqu’un qui me connaisse et à qui je puisse dire absolument tout. […] Il avait ses raisons pour penser et dire, comme il fit dans la suite : « Trop de littérature effémine l’esprit, qui finit par mourir phtisique. » Il n’eut guère jamais que la littérature nécessaire, celle qui lui servait d’arme et d’argument, non pas celle qui est agrément, douceur, oubli, passe-temps et délices.

436. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Essai sur Talleyrand (suite.) »

Essai sur Talleyrand (suite.) […] C’est dans ce mémorable discours du 24 juillet 1821 qu’il rappelait dans un langage élevé de grandes vérités politiques : « Tenons pour certain que ce qui est voulu, que ce qui est proclamé bon et utile par tous les hommes éclairés d’un pays, sans variation pendant une suite d’années diversement remplies, est une nécessité du temps. […] Royer-Collard en entrant dans le salon fut : « Monsieur, vous avez des abords bien sévères… » On ne dit pas la suite ; mais interpellé de la sorte, l’homme à l’esprit de riposte ne dut pas être en reste.

437. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « QUELQUES VÉRITÉS SUR LA SITUATION EN LITTÉRATURE. » pp. 415-441

Au xviiie  siècle, bien qu’il fût plus facile, à pareille date, de prévoir ce qui ne devait être, à proprement parler, qu’une suite, une continuation, cette continuation allait dépasser les prémisses et les couronner dans des proportions tout à fait surprenantes et glorieuses. […] Et voilà que, dès 1837, le calme presque universel s’établissait ; et, pour réduire la question aux limites de notre sujet, voilà que littérairement, ce calme social d’apparence propice n’enfantait rien et ne faisait que mettre à nu le peu de courant ; que de guerre lasse, et à force de tourner sur soi-même, on se reportait d’un zèle oiseux vers le passé, non pas seulement le haut et grand passé, mais celui de toute espèce et de toute qualité, et l’on déjeunait des restes épicés de Crébillon fils comme pour mieux goûter le Racine ; voilà que les générations survenantes, d’ordinaire enthousiastes de quelque nouvelle et grande chimère et en quête d’un héroïque fantôme, entraient bonnement dans la file à l’endroit le plus proche sans s’informer ; que sans tradition ni suite, avec la facilité de l’indifférence, elles se prenaient à je ne sais quelles vieilles cocardes reblanchies, et, en morale comme dans l’art, aux premiers lambeaux de rubans ou de doctrines, aux us et coutumes de carnaval ou de carême. […] On pourrait pousser longtemps cette suite de remarques ; mais, en réunissant des traits que je crois vrais de toute vérité, je ne prétends pas former un tableau.

438. (1861) La Fontaine et ses fables « Troisième partie — Chapitre II. De l’expression »

Si les mots suivants ont la même vertu, le style est comme un flambeau qui, promené successivement devant toutes les parties d’une grande toile, fait passer devant nos yeux une suite de figures lumineuses, chacune accompagnée par le groupe vague des formes qui l’entourent et sur lesquelles la clarté principale a égaré quelques rayons. […]     Il dit que du labeur des ans Pour nous seuls il portait les soins les plus pesants Parcourant, sans cesser, ce long cercle de peines Qui, revenant sur soi, ramenait dans les plaines, Ce que Cérès nous donne et vend aux animaux :     Que cette suite de travaux Pour récompense avait de tous tant que nous sommes. […] « Il dit qu’il portait pour nous seuls les fruits les plus pesants du labeur des années ; parcourant sans s’arrêter de long cercle de peines qui ramène dans nos champs, en revenant sur soi, ce que Cérès nous donne et ce qu’elle vend aux animaux ; que cette suite de fatigues avait, de tous tant que nous sommes, pour récompense force coups, peu de gré ; puis que, quand il était vieux, on croyait l’honorer toutes les fois que les hommes achetaient l’indulgence des cieux au prix de son sang. » Il fallait faire ainsi « le peseur de syllabes et le regratteur » de consonnes, et se hasarder jusqu’à la critique de Batteux et de Denys d’Halicarnasse, pour montrer que l’instinct d’un poète, même bonhomme, est aussi savant que la réflexion d’un philosophe.

439. (1894) Propos de littérature « Chapitre II » pp. 23-49

Ici les expressions directe, allégorique et symbolique se mêlent non seulement avec grâce mais avec une certaine force victorieuse qui nie chacune d’elles pour exalter leur seule union, et, par une suite d’images et de rythmes heureusement coordonnés, le poème révèle son unité formelle en un paysage mystérieux comme une âme. […] Il a le sens des « correspondances » et tels de ses poèmes, ces Odelettes qu’il réunit dans son dernier livre, sont une suite de décors pour un palais de l’esprit où, lorsque l’auteur évite de s’adresser à son âme, cette âme est suscitée en communion avec les choses dont elle profère les secrètes paroles. […] Quelques conversations avec le compositeur Erasme Raway ont fait beaucoup pour éclaircir mes idées à ce sujet ; cette conclusion nous ayant paru certaine à tous deux à la suite d’une causerie, il me pardonnera de le citer ici.

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