Il restreint son étude à quelques questions, toutes relatives aux rapports de l’homme et de la femme, à l’amour ou à ses contrefaçons. […] Que pense-t-il des rapports de l’homme et de la femme ? […] L’honneur, qui est comme la plus haute expression des rapports sociaux, ne pourrait-il être la religion d’une société irréligieuse ? […] Zola suppose résolue la question des rapports du physique et du moral. […] C’est le succès qui commence. » — Il est vrai d’autre part, qu’il y a, sous ce rapport, une sorte de progression dans les livres de M.
. — Rapport du duc de Broglie sur la loi de l’enseignement secondaire. — Lettre de M.
On démêla d’une manière générale le sujet du Cours qu’il venait ouvrir ; il se proposait de parler de la société civile, des lois de la civilisation et de la perfectibilité, du rapport qui existe entre les lumières et le bonheur des nations ; c’était un publiciste qui aspirait à remanier le grand problème du xviiie siècle et à se frayer une voie entre Montesquieu et Rousseau.
Qualités et défauts, tout lui vient d’elle : forte et complexe, féconde en rapports nombreux qu’elle embrasse dans une merveilleuse symétrie, il la représente et la peint aux yeux par l’ordonnance sévère de ses formes et le mécanisme régulier de ses balancements.
En examinant sous le rapport du style ce premier livre des Histoires, traduit par l’illustre auteur, nous l’avons trouvé plus digne qu’on ne croit de Tacite et de lui, par le ton libre et ferme qui y respire, et je ne sais quelle séve de grand écrivain qui y circule ; on sent qu’il y traite son émule d’égal à égal, et que même, au besoin, il s’inquiète assez peu de le brusquer.
Nous n’avons rien ici à objecter à ces doctrines inégalement évidentes pour nous, sinon cette inégalité même et les rapports peu nécessaires, à ce qu’il semble, qu’elles ont réciproquement entre elles : on s’en aperçoit à l’espèce de fatigue qu’éprouvent par moments les écrivains à les préciser et à les lier.
Ce n’est selon moi que l’expression d’un rapport.
Aussi, jamais chez aucun écrivain les rapports entre la nature et l’art n’ont-ils paru si harmoniques et fonciers.
Il semble en effet difficile de faire honneur à l’antiquité, si pauvre sous ce rapport, de l’étonnant essor de l’esprit scientifique et il paraît plus équitable de voir, en cette manifestation de l’esprit où excellera l’humanité moderne, le fruit venu à maturité de la discipline et de l’ardeur intellectuelle du moyen âge.
D’ailleurs, il ne lui semblait pas, à vrai dire, que les marquises et les capucins eussent un rapport très direct avec l’ouvrage qu’il publie.
« Cet écrivain, jaloux de tout, disoit Bayle, n’a pu me le pardonner. » Ces paroles paroissent décider la question ; mais elles ne sont fondées que sur le rapport d’un anonyme, qui assure qu’on avoit souvent mis Bayle sur le chapitre des démêlés éclatans des deux plus célèbres refugiés François, qui s’étoient donnés auparavant des louanges réciproques dans leurs ouvrages.
Il y a de très bonnes choses dans la partie mathématique, & dans la partie physique de cet ouvrage, lorsque les points qu’on y traite n’ont aucun rapport direct ou indirect avec la religion & les bonnes mœurs.
Il est donc à propos que l’enseignement de ses sujets se conforme à sa façon de penser et qu’on leur démontre la distinction des deux substances, l’existence de Dieu, l’immortalité de l’âme et la certitude d’une vie à venir, comme les préliminaires de la morale ou de la science qui fait découler de l’idée du vrai bonheur, et des rapports actuels de l’homme avec ses semblables, ses devoirs et toutes les lois justes ; car on ne peut, sans atrocité, m’ordonner ce qui est contraire à mon vrai bonheur, et on me l’ordonnerait inutilement.
Ce fut son talent qui fit sa vie ; et cette vie toujours calme, aisée, honorée, et qui monta sans luttes et sans obstacles jusqu’à cette dignité de rang qui est la dernière caresse de la fortune à ceux qui pourraient s’en passer, puisqu’ils ne vivent que pour les jouissances de l’esprit, a plus d’un rapport avec l’existence d’un homme heureux aussi parmi les poètes, mais qui, à son déclin, sentit dans le fond de son cœur le souci cruel de la confiance trahie et sur son front la sueur de sang du travail forcé.
À ce nom, tous les rapports surgissent entre l’animal royal, sultanesque (Sultan Léopard, dit La Fontaine), tout-puissant, magnifique, cruel et gracieux, que ce nom exprime, et le génie du poète à qui le Hasard l’a donné, le Hasard, cet imbécille, qui n’en fait jamais d’autres, qui appelle Renard le franc, le joyeux, le généreux Fox, l’homme le moins vulpin qui ait certainement jamais existé !
Quoique, sous une infinité de rapports, ce livre laisse beaucoup à désirer, Walter Scott y essaie pourtant de ces explications qui sont à la taille de son génie impartial et si grandement observateur, et les faits qui s’y trouvent y sont rapportés avec cet intérêt de récit qui double leur puissance.
La plupart des hommes, faibles par leur nature, faibles par le peu de rapport qu’il y a entre leur esprit et leur caractère, plus faibles encore par les exemples qui les assiègent, par le prix que les circonstances mettent trop souvent à la bassesse et au crime, n’ayant ni assez de courage pour être toujours bons, ni assez de courage pour être toujours méchants, embrassant tour à tour et le bien et le mal, sans pouvoir se fixer ni à l’un ni à l’autre, sentent la vertu par le remords, et ne sont avertis de leur force que par le reproche secret qu’ils se font de leur faiblesse.
Il ajoute au mal, mais il ne l’invente jamais ; aussi je crois que l’on perd sa réputation par sa faute. » Cette circonstance établit entre Juliette et M. de Chateaubriand des rapports de société ; ces rapports devinrent promptement passion dans l’âme passionnée du poète, goût et orgueil dans l’âme platonique de madame Récamier. […] XXV L’intérêt des rapports entre madame Récamier et M. de Chateaubriand devient, à dater de 1820, le seul intérêt de ces Mémoires.
Il distingua, le premier, la géographie en générale et spéciale, subdivisant celle-là en partie absolue, c’est-à-dire proprement terrestre, et en partie relative ou planétaire, selon qu’on envisage la surface de la terre dans ses différentes zones, ou bien les rapports de notre planète avec le soleil et la lune. […] C’est par ces secrets rapports que le problème si obscur et si controversé de la possibilité d’une origine commune pour différentes races humaines, rentre dans la sphère d’idées qu’embrasse la description physique du monde. […] Sans doute la richesse et la grâce dans la structure d’une langue sont l’œuvre de la pensée, dont elles naissent comme de la fleur la plus délicate de l’esprit ; mais les deux sphères de la nature physique et de l’intelligence ou du sentiment n’en sont pas moins étroitement unies l’une à l’autre ; et c’est ce qui fait que nous n’avons pas voulu ôter à notre tableau du monde ce que pouvaient lui communiquer de coloris et de lumière ces considérations, toutes rapides qu’elles sont, sur les rapports des races et des langues.
Ainsi le rapport nécessaire est renversé chez nous entre les deux éloquences, judiciaire et politique : au lieu de celle-ci, c’est celle-là qui donne le ton428. […] Bossuet : l’homme et l’écrivain L’œuvre de Bossuet est immense et variée431 : elle trouve son unité dans son rapport à la vie et au caractère de l’homme. […] Mais, malgré tout, les chapitres de la Grèce et de Borne sont remarquables : Bossuet a mis en lumière la force de quelques causes morales, amour de la patrie, respect de la loi ; il a saisi le rapport des faits à certaines institutions ou traditions ; il a expliqué la lente et sûre formation de la grandeur romaine par les qualités d’endurance et de discipline de la race, par l’organisation militaire, par l’esprit conservateur du sénat qui, dans la politique étrangère, met la continuité ; la moitié des Considérations de Montesquieu vient de Bossuet.
Il reste à la science un moyen plus direct encore pour se mettre en rapport avec ces temps reculés : ce sont les produits mêmes de l’esprit humain à ses différents âges, les monuments où il s’est exprimé lui-même, et qu’il a laissés derrière lui comme pour mar-quer la trace de ses pas. […] La faculté d’interprétation, qui n’est qu’une sagacité extrême à saisir les rapports, était en eux plus développée ; ils voyaient mille choses à la fois. […] Voir le rapport de M.
Je me rappelle simplement qu’elle retarda mes débuts de quelques jours et me donna ma première notion des rapports de la finance et de la littérature. […] Je ne vous donne pas un rapport entre le Chat Noir et Claude Bernard comme absolument nécessaire. […] Les origines littéraires de son talent n’importent guère, non plus que les mystérieux rapports qui existent entre le talent et le succès ; c’est le succès seul qui excitera la curiosité, le succès avec ce qu’il a de sportif et de pittoresque, avec ses bénéfices, ses rivalités, sa bataille, le déchaînement des jalousies, les applaudissements frénétiques, le dénigrement forcené, cet aspect de lutte et de course que nous voulons à tous les spectacles.
Dès qu’on avoit vuidé ces questions épineuses, qui n’avoient souvent aucun rapport avec le sujet principal, & qui, avec l’exorde, remplissoient les deux tiers du sermon, l’Orateur venoit à la division générale. […] Ce qu’on observoit avec soin dans la plûpart des sermons, c’est que la premiere partie eût du rapport avec la matiere générale que le Prédicateur avoit eu dessein de traiter ou pendant l’Avent, ou durant le Carême. […] J’ai trouvé des rapports entre M.
Les privations, mieux que les jouissances, m’ont fait comprendre ce que donnent de plaisir les amitiés, les habitudes de société, les rapports de voisinage et de clientèle, les pompes de nos jeux et la magnificence de nos fêtes. […] Si vous suivez la doctrine du plaisir ou de l’égoïsme, bien des choses périssent, et d’abord ces beaux rapports qui nous unissent à nos semblables, l’amour des hommes, l’amitié, la justice et les autres vertus ; car, sans le désintéressement, ce ne sont plus que des chimères ; lorsque nous sommes portés à remplir nos devoirs par l’attrait du plaisir et par l’appât des récompenses, ce n’est pas la vertu, c’est le faux semblant et comme un plagiat de la vertu ». […] Il n’y a rien dans l’eau, dans l’air, dans le feu, dans ce que les éléments offrent de plus subtil et de plus délié, qui présente l’idée du moindre rapport quelconque avec la faculté que nous avons de percevoir les idées du passé, du présent et de l’avenir. […] Certes, s’il appartenait à quelqu’un au monde d’estimer qu’il n’y a de bien que dans la vertu, c’était à vous. » XXIX Cicéron démontre ensuite, avec une évidence véritablement révélatrice, que l’honnête, ou le souverain bien, est un instinct de notre nature intellectuelle aussi irréfutable que le bien-être physique est un instinct de nos sens matériels ; de là, dit-il, ces législations, aussi divines qu’humaines, qui établissent les rapports des hommes entre eux sur les bases d’une équité sociale, qui est la conscience publique du genre humain.
Je ne vous en dirai donc point : je ne ferai que vous répéter à ma manière ce que j’ai lu dans le simple et éloquent rapport de M. […] Quand vous avez trouvé vos pauvres, une seconde difficulté se présente : c’est d’établir entre eux et vous des rapports vraiment affectueux et qui leur semblent, à eux comme à vous, « naturels ». […] À considérer dans quel rapport numérique sont les œuvres significatives et durables avec celles (souvent charmantes) que négligeront les historiens de la littérature, on voit que cette critique écrite sur le sable ne convient pas mal à des comédies dont si peu paraîtront un jour gravées sur l’airain. […] Joignez-y un renversement presque continuel des rapports normaux entre les personnages, — lesquels sont tous de joyeux « hors-la-loi », et dont la psychologie fait exprès d’être souvent à rebours de toutes les prévisions des psychologues assermentés. — La jeune fille de bonne bourgeoisie que Paul Costard se décide subitement à épouser, c’est aux Folies-Bergère qu’il l’a rencontrée.
L’esthétique de la nature n’est pas dans telle ou telle figure particulière, dans tel ou tel dessin particulier, mais dans le rapport de tous les dessins et de toutes les figures des choses, et c’est pour cela que telle correction de détail peut être une déformation monstrueuse à l’égard du tout ; il ne faut pas ressembler à un dessinateur qui voudrait rectifier et simplifier les ramifications sans nombre du cerveau d’un Cuvier, afin de produire un meilleur effet pour l’œil. […] Sous ce rapport l’art devient de plus en plus réaliste au grand sens du mot ; c’est-à-dire que l’émotion esthétique causée par les phénomènes d’induction morale et sociale de sympathie y tient une place, toujours plus importante, à côté de l’émotion esthétique directement obtenue par la sensation ou par le sentiment élémentaire. […] La vie telle que nous la connaissons, en solidarité avec toutes les autres vies, en rapport direct ou indirect avec des maux sans nombre, exclut absolument le parfait et l’absolu. […] Sous ce rapport, l’art suit nécessairement le développement de la science, pour laquelle il n’y a rien de petit, de négligeable, et qui étend sur toute la nature l’immense nivellement de ses lois.
On ne saurait guère imaginer de génie plus différent de celui de Molière que le génie de Racine, à moins peut-être que les rapports ne soient plus difficiles encore à préciser entre la nonchalance épicurienne de La Fontaine et la sévérité bourgeoise de Boileau. […] Il a des vues d’homme d’État, et elles peuvent bien être « chimériques », mais le rapport en est étroit avec l’état de la France de son temps. […] D’où que l’on vienne, dans quelque condition déjà que l’on soit né, quelque idée que l’on ait de son fonds, l’apprentissage de l’écrivain est d’en chercher le rapport ou l’accord avec les idées de son temps. […] IV et V : Philosophie moderne, Paris, 1845 ; — Francisque Bouillier, Histoire de la philosophie cartésienne, Paris, 1854 ; — Ravaisson, Rapport sur le prix Victor Cousin, 1884 ; — G. […] Mme Périer, Vie de Pascal] ; — premiers rapports avec Port-Royal. — La vie mondaine de Pascal, 1649-1653 ; — sa liaison avec le chevalier de Méré et le duc de Roannez
En un mot, on peut soutenir, sans crainte de calomnier son temps, qu’il y a un rapport assez exact entre l’état des mœurs littéraires et le taux des profits qu’on tire des lettres ; les plus grandes fortunes correspondent à des époques de décadence.
. — On serait tenté aujourd’hui, en le relisant tout entier (et en particulier ce qui a rapport à Lessing), d’en rapprocher, en guise d’opposition et de contraste, — en une sorte de tête à deux faces à la manière antique, telle que M.
Le courage, qui fait braver la mort, n’a point de rapport avec la disposition qui décide à se la donner : les grands criminels peuvent être intrépides dans le danger, c’est une suite de l’enivrement, c’est une émotion, c’est un moyen, c’est un espoir, c’est une action ; mais ces mêmes hommes, quoique les plus malheureux des êtres, ne se tuent presque jamais, soit que la Providence n’ait pas voulu leur laisser cette sublime ressource, soit qu’il y ait dans le crime une ardente personnalité qui, sans donner aucune jouissance, exclut les sentiments élevés avec lesquels on renonce à la vie.
Les travaux physiques apportent à une certaine classe de la société, par des moyens absolument contraires, des avantages à peu près pareils dans leurs rapports avec le bonheur.
[Rapport sur le progrès des lettres, par MM.
Une analyse succincte fera ressortir les rapports et les différences qui existent entre les deux œuvres.
Si Francis avait procédé avec la petite Adèle, etc. » Le prototype de ces phrases (un de mes amis prétend l’avoir découvert dans un roman de Bourget) serait : « Si quelqu’un avait voulu se rendre compte des étroits rapports qui lient le physique et le moral, il n’eût eu qu’à entrer, au five o’clock, dans le grand home de la petite Madame de… » Il est certain que ces préceptes tour à tour évangéliques et darwiniens étiquetant immanquablement l’anecdote à venir sont d’un comique à la longue irrésistible.
La perception étant un rapport, rien d’étonnant qu’elle varie avec les deux termes et comme eux : c’est là un fait tout naturel, et il n’y a pas ombre de scepticisme à le soutenir.
Leur admiration & leur suffrage ne se reglent que sur les rapports qu’on a avec leur façon de penser.
Comme ces reproches ont rapport à plusieurs objets intéressans pour la Littérature, nous nous étendrons un peu plus dans cet article.
L’oraison que Ciceron prononça pour ce même Roscius justifie bien le rapport de Pline et celui de Macrobe.
Il vit que cette nature si riche avait des rapports avec lui ; les astres lui prêtaient leur lumière ; des fruits naissaient sous ses pas, ou se détachaient des branches pour le nourrir ; les arbres le protégeaient de leur ombre et offraient un asile à son repos ; les cieux, pendant son sommeil, semblaient se couvrit d’un voile, et n’envoyaient à son séjour qu’une lumière douce et tranquille.
Ainsi se trouve supprimée du coup la facilité insouciante et heureuse des rapports. […] Le pouvoir de manier le rythme s’expliquerait sans doute par une analyse de physiologie, comme l’aptitude de l’œil du peintre à saisir des rapports de couleurs et celle de l’oreille du musicien à mesurer des rapports de sons. […] Aussi dans tous ses livres ne trouverez-vous jamais l’évocation d’un individu qui ne soit lui, ou qui n’ait des rapports avec lui. […] Apercevez-vous la diversité de ces deux notions, et combien les sentiments qu’elles évoquent ont peu de rapports entre eux. […] De même, le moment n’est que le rapport entre des générations successives, toutes composées d’individus, le moment n’est que le rapport entre des générales doivent être montrées par un très grand nombre de faits particuliers.
Elle en est le commencement, car les rapports, de père, de mère et d’enfant sont primordiaux. […] La famille est un de ces rapports. […] Elles coexistent II y a des rapports nécessaires entre elles. L’expression de ces rapports n’est autre chose que la législation primitive. […] Quant aux Commissions scolaires, un rapport de M.
Sur bien des choses, qui n’ont d’ailleurs avec Pascal et ses œuvres que des rapports assez lointains, M. […] Pareillement, la question des rapports de Descartes avec Pascal. […] Le second de ces épisodes, c’est l’histoire des rapports de Gil Blas avec le comte duc d’Olivarès. Imitée en plus d’un point du récit que fait Gonzalez de ses rapports avec le duc d’Ossone, elle a de plus le malheur de n’être guère qu’une répétition du récit des rapports de Gil Blas avec le duc de Lerme. […] Le goût de la géographie était aussi naturel à ce romancier que celui de l’histoire, et peu de romans, sous ce rapport, sont aussi curieux que les siens.
trompette, sonne-nous l’aubade ; le maréchal des logis nous présente son rapport. » Parfois Boris essayait de l’accompagner, mais sa voix n’était ni très juste ni très harmonieuse. […] Entre elle et lui, il s’était établi des rapports affectueux ; seulement il la trouvait trop réservée et trop raisonnable. […] Pendant ce mois d’attente, Boris avait été chaque jour chez son beau-père, mais ces fréquentes visites n’avaient point modifié ses rapports avec Viéra. […] Entre lui et Viéra, il y avait, trop peu de rapports intellectuels. […] Enfin, on apprit par un rapport du staroste que Guérassime était rentré dans son village.
Du symbole à l’allégorie il y a un peu ce rapport et cette différence de la musique à l’arithmétique. […] Giraudoux a une vision originale des choses et surtout des rapports entre les choses. Et comme les choses ne sont que dans leurs rapports réciproques, cela revient au même. […] (Sinon à celle des femmes : le rapport est inverse, et maintenant les lionnes savent peindre.) […] Le hasard a fait que le deuxième ami, puis le troisième, ont été plus ou moins en rapport avec les personnages qui font le sujet du premier récit.
Nul n’aurait compris que la musique de la garde républicaine se dérangeât pour cela, ni que M. le Président de la République ou M. le Président du Conseil y prissent part personnellement. « Centenaire du romantisme » viole quelque peu la bonne langue et le rapport exact des idées. […] Jacques Boulenger nous proposera-t-il comme un modèle de stabilité sous ce rapport l’écrivain qui a commencé par l’optimisme inouï de l’Avenir de la Science, pour finir par le pessimisme presque nihiliste des merveilleux Drames philosophiques ? […] Ces variétés demandent, une considération attentive dans l’étude de nos rapports littéraires avec les autres nations. […] Seulement l’image, chez Marchangy, est en l’air ; elle n’a aucun rapport raisonnable avec l’objet auquel elle s’applique ; aucune idée ne la soutient. […] L’Etat est, par vocation, le protecteur, l’ami de toutes les forces, de toutes les influences morales susceptibles de fonder ou de favoriser la moralité de l’individu, l’ordre de la famille, les rapports de justice, d’équité et de bienveillance entre les citoyens.