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3026. (1895) Histoire de la littérature française « Seconde partie. Du moyen âge à la Renaissance — Livre II. Littérature dramatique — Chapitre II. Le théâtre du quinzième siècle (1450-1550) »

On pourra, si l’on veut, lire dans les ouvrages spéciaux les analyses ou les textes de l’Assomption, de Mundus, Caro, Daemonia, de Bien advisé et Mal advisé, des Enfants de maintenant, de la Condamnation de Banquet, et autres moralités mystiques, morales, pédagogiques, qui sont toutes également traitées en lourdes allégories.

3027. (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre IV. Guerres civiles conflits d’idées et de passions (1562-1594) — Chapitre III. Montaigne »

Cependant ce gonflement maladroit a moins nui aux Essais qu’il n’aurait fait à un ouvrage mieux composé : comme rien ne se tient, chaque morceau vaut en soi, et ne saurait être affecté de son entourage ; peu importe où ni quand il vienne.

3028. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre III. Les grands artistes classiques — Chapitre I. Les mondains : La Rochefoucauld, Retz, Madame de Sévigné »

Bouhours a écrit les Entretiens d’Ariste et d’Eugène, et la Manière de bien penser sur les ouvrages de l’esprit. — A consulter : Sc.

3029. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « Francisque Sarcey »

Certaines œuvres d’exception vous plaisent infiniment, parce que vous cherchez dans un ouvrage dramatique autre chose que le drame même ; mais c’est demander des dattes à un pommier.

3030. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « Ferdinand Fabre  »

Eh bien, c’est lui qui l’a faite ; M. l’abbé Clochard me le dénonça… Pour comble de naïveté, le bon curé écrit, sur un beau cahier bien relié, une Vie de son patron, le pape Célestin : « Vie de saint Célestin, pape, par l’abbé Célestin, curé-desservant de la paroisse des Aires…, membre correspondant de la Société archéologique de Béziers, auteur d’une notice sur l’Ermitage de saint Michel archange. » Et toujours la mention de ce grand ouvrage revient, comme celle des tasses de M. l’abbé Combescure.

3031. (1921) Enquête sur la critique (Les Marges)

Il est des critiques qui feraient de bon ouvrage s’ils se passionnaient pour leur tâche, mais qui l’accomplissent avec une indifférence qui perce dans leurs articles, car ils n’ont accepté leur rubrique que pour la consécration qu’elle leur confère ou l’argent qu’elle leur procure.

3032. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre huitième »

C’est à Montesquieu que commence cette suite d’ouvrages supérieurs marqués du genre de perfection où il était permis d’atteindre après le dix-septième siècle.

3033. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. John Stuart Mill — Chapitre II : La Psychologie. »

Mill cite comme le seul ouvrage ayant paru en France, sur ce sujet, l’Étude sur l’association des idées de M. 

3034. (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Émile Augier — Chapitre Premier »

Elle fait l’ouvrage de la conspiration avortée, cette clameur terrible, elle porte le coup, elle vise au cœur, elle frappe, elle tue, on voit la victime.

3035. (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Émile Augier — Chapitre VIII »

Madame Caverlet Toute justice rendue au talent qui éclate dans quelques belles scènes de Madame Caverlet, à l’esprit un peu gros de quelques parties du dialogue, il m’est impossible de classer au rang des bons ouvrages de l’auteur cette pièce morose et inanimée.

3036. (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Alexandre Dumas fils — Chapitre XV »

Dumas, une force acquise qui lance et porte ses moins bons ouvrages ; mais l’immense crédit qu’on lui tient ouvert, risque d’être bientôt épuisé par l’abus qu’il en fait.

3037. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Chateaubriand homme d’État et politique. » pp. 539-564

M. de Chateaubriand commença sa carrière politique avec la Restauration en 1814 ; il avait quarante-cinq ans, il avait publié tous ses grands ouvrages littéraires, et il se sentait dans un certain embarras pour appliquer désormais ses hautes et vives facultés.

3038. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Bussy-Rabutin. » pp. 360-383

Il avait, a dit de Bussy sa compatriote et son émule en satire, Mme Du Deffand, il avait beaucoup d’esprit, très cultivé, le goût très juste, beaucoup de discernement sur les hommes et sur les ouvrages, raisonnait très conséquemment ; le style excellent, sans recherche, sans tortillage, sans prétention (il y aurait bien ici quelque chose à contester) ; jamais de phrases, jamais de longueurs, rendant toutes ses pensées avec une vérité infinie ; tous ses portraits sont très ressemblants et bien frappés.

3039. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1859 » pp. 265-300

Nous causons d’un projet dont il a été question, d’un grand ouvrage d’illustration sur la Cour impériale.

3040. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1861 » pp. 361-395

De cette folie générale, de cette manie partout répandue dans le bas de la société de jeter ses enfants par-dessus soi, de les porter au-dessus de son niveau, comme on porte les enfants au feu d’artifice, il s’élève une France de plumitifs, d’hommes de lettres et de bureau, une France où l’ouvrier ne sortant plus de l’ouvrier, le laboureur du laboureur, il n’y aura bientôt plus de bras pour les gros ouvrages d’une patrie.

3041. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préface des « Derniers Jours d’un condamné » (1832) »

Il n’y avait en tête des premières éditions de cet ouvrage, publié d’abord sans nom d’auteur, que les quelques lignes qu’on va lire : « Il y a deux manières de se rendre compte de l’existence de ce livre.

3042. (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre V. La parole intérieure et la pensée. — Premier problème : leurs positions respectives dans la durée. »

., dans le même ouvrage, sa Réponse à quelques objections [et voir notre chapitre I, § 4] 249.

3043. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre IX. Eugénie de Guérin »

À sept heures, elle causait en famille, mais ne laissait jamais l’ouvrage.

3044. (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « II — La solidarité des élites »

Prenons un exemple déjà produit : Supposez une chambre avec un enfant qui joue, une nourrice qui le surveille, tandis que la mère est occupée à quelque ouvrage.

3045. (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre III. De la nature du temps »

Cet ouvrage (qui tient compte de la théorie de la Relativité) est certainement un des plus profonds qu’on ait écrits sur la philosophie de la nature.

3046. (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Deuxième partie — Chapitre III. La complication des sociétés »

Cf. les ouvrages cités de Tönnies, Durkheim, Simmel, Bücher, etc.

3047. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre premier. »

Montesquieu, qui, dans ses saillies de critique et de goût, mêlées aux libres peintures des Lettres persanes, traitait assez légèrement la poésie lyrique et la nommait une harmonieuse extravagance, emprunte cependant à Pindare une définition de la loi, qu’il place dans le début de son grand ouvrage.

3048. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre III. »

Un savant ouvrage du dix-septième siècle, tout chargé de grec et d’hébreu, sous ce titre : Delphes devenue Phénicienne 35, retrouve dans Apollon une copie de Josué, dans le serpent Python un souvenir du roi Og, et dans les jeux pythiques, dans les chants qui les célèbrent, une tradition de la Judée.

3049. (1881) Le naturalisme au théatre

Mais lisez l’ouvrage si remarquable de M.  […] Tout à l’heure, j’examinerai le très remarquable ouvrage de M.  […] Je regrette beaucoup qu’un ouvrage semblable n’existe pas sur les décors. […] J’ai trouvé dans l’ouvrage de M.  […] L’ouvrage de M. 

3050. (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxiiie entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff »

On a beaucoup écrit dernièrement contre la direction littéraire que l’auteur a suivie dans cet ouvrage. […] À un tel peuple, il ne faut pas de longs ouvrages, il lui faut des scènes vives, courtes, simples et touchantes tout à la fois : les poëmes presque pastoraux de la vie russe.

3051. (1857) Cours familier de littérature. IV « XXIIe entretien. Sur le caractère et les œuvres de Béranger » pp. 253-364

Rien sur nos antécédents opposés, rien sur nos opinions, rien sur nos ouvrages : tout le passé resta sous-entendu entre nous. […] XX Cette amitié devint plus étroite et ces visites plus fréquentes à mesure que les circonstances politiques devinrent plus menaçantes pour le gouvernement de Louis-Philippe, et que les crises, dont ce gouvernement et la France étaient agités par l’ambition des orateurs et des écrivains dont ce gouvernement était l’ouvrage, se rapprochèrent davantage d’un tragique et inévitable dénouement.

3052. (1893) Alfred de Musset

Son grand ouvrage fut un poème en plusieurs chants sur les Chats. […] Après avoir constaté que « Musset a réussi à franchir les barrières de Paris », sir Francis passe ses ouvrages en revue. […] Nous convenons sans difficulté… que beaucoup des premiers poèmes de Musset, ainsi que la Confession, ne seraient pas à leur place dans un salon anglais ; que ce sont des ouvrages à réserver à ceux-là seuls qui ont assez de courage, assez d’amour de la vérité et de pureté d’âme, pour que ces tableaux des abîmes de la nature humaine profitent à la saine direction de leur vie. […] Qu’ils se nomment eux-mêmes décadents ou symbolistes, c’est le romantisme qui renaît dans leurs ouvrages, déguisé et débaptisé, reconnaissable toutefois sous le masque et malgré les changements d’étiquettes.

3053. (1890) Impressions de théâtre. Quatrième série

Poursuivons notre ouvrage. « Est-ce beau, ce Poursuivons notre ouvrage ! […] Et alors me voilà obligé de recommencer publiquement la critique du drame de Dumas, juste la veille du jour où je livre moi-même au public un ouvrage qui, selon toute probabilité, ne vaudra pas la moindre des amusettes du grand dramaturge. […] Mon excellent camarade Faguet vient d’écrire sur Mme de Staël, sur Benjamin Constant et sur Joseph de Maistre, d’admirables études, qui sont assurément les plus puissantes reconstructions d’âmes et de systèmes qu’on ait vues depuis les premiers ouvrages de M.  […] Rien ne prête à des jugements plus contraires qu’un ouvrage dramatique ; rien ne peut être considéré sous des angles plus différents, parce que la matière même d’un tel ouvrage est ce qu’il y a de plus inégalement et diversement connu et senti par les fugitives créatures que nous sommes… Bref, un chef-d’œuvre de théâtre n’est pas et ne saurait être une pièce où rien ne nous choque ni ne nous inquiète, où rien ne nous paraît invraisemblable ou faux, ou inutile, ou insignifiant, mais une pièce qui, dans son ensemble, offre, de l’aveu de tous, une somme considérable d’observation et de vérité, l’image animée et fidèle d’échantillons importants de notre espèce.

3054. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215

Je vous écris ceci étant bien triste, car j’ai peur que toutes les beautés de cet ouvrage ne disparaissent sous tant de mauvais vouloir. […] Cet Amour médecin tient donc peu de place dans la gloire et la popularité de Molière ; écoutez le poète, il vous dira lui-même « que ces sortes d’ouvrages se devraient montrer toujours avec les ornements qui les accompagnent chez le roi » ! […] « En vérité, ses sentiments ont quelque chose de si divin, que je ne puis y penser sans être en de continuelles actions de grâces, et la marque du doigt de Dieu, c’est la force et l’humilité qui accompagne toutes ses pensées, c’est l’ouvrage du Saint-Esprit.

3055. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Œuvres françaises de Joachim Du Bellay. [III] »

Il s’adresse volontiers, dans ses confidences, à Olivier de Magny, agréable poète de sa volée, en exil, comme lui, dans la Ville éternelle ; il le prend à témoin de ses peines et de ses tracas ; il les soulage, dit-il, en chantant jour et nuit : Ainsi chante l’ouvrier109 en faisant son ouvrage, Ainsi le laboureur faisant son labourage, Ainsi le pèlerin regrettant sa maison, Ainsi l’aventurier en songeant à sa dame, Ainsi le marinier en tirant à la rame, Ainsi le prisonnier maudissant sa prison.

3056. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME ROLAND — I. » pp. 166-193

Pour couronner le tableau des qualités domestiques chez Mme Roland, il ne faut plus que rappeler le début de cette autre lettre écrite à Bosc, de Villefranche : « Assise au coin du feu, mais à onze heures du matin, après une nuit paisible et les soins divers de la matinée, mon ami à son bureau, ma petite à tricoter, et moi causant avec l’un, veillant l’ouvrage de l’autre, savourant le bonheur d’être bien chaudement au sein de ma petite et chère famille, écrivant à un ami tandis que la neige tombe, etc. » A côté de ces façons d’antique aloi, de ces qualités saines et bonnement bourgeoises, osons noter l’inconvénient ; à défaut du chatouillement aristocratique, la jactance plébéienne et philosophique ne perce-t-elle pas quelquefois ?

3057. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « François Ier, poëte. Poésies et correspondance recueillies et publiées par M. Aimé Champollion-Figeac, 1 vol. in-4°, Paris, 1847. »

Je pense bien que ces mains délicates firent assez peu d’ouvrage ; mais combien elles durent exciter autour d’elles !

3058. (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXVIe entretien. Considérations sur un chef-d’œuvre, ou le danger du génie. Les Misérables, par Victor Hugo (4e partie) » pp. 81-143

Jean Valjean avait fait mettre dans la chambre de Cosette un lit à baldaquin d’ancien damas à trois couleurs, et un vieux et beau tapis de Perse acheté rue du Figuier-Saint-Paul chez la mère Gaucher, et, pour corriger la sévérité de ces vieilleries magnifiques, il avait amalgamé à ce bric-à-brac tous les petits meubles gais et gracieux des jeunes filles, l’étagère, la bibliothèque et les livres dorés, la papeterie, le buvard, la table à ouvrage incrustée de nacre, le nécessaire de vermeil, la toilette en porcelaine du Japon.

3059. (1889) Les premières armes du symbolisme pp. 5-50

Scène II Érato (invisible) Votre Petit traité de poésie française est un ouvrage délicieux, maître Banville.

3060. (1888) Revue wagnérienne. Tome III « II »

Ces recherches ne peuvent donner des certitudes : les anecdotes, les citations d’entretiens ou d’ouvrages sont insuffisantes, contradictoires souvent. » M. 

3061. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Sieyès. Étude sur Sieyès, par M. Edmond de Beauverger. 1851. » pp. 189-216

Sieyès était un esprit né maître, si on peut ainsi parler ; et il refaisait la plume à la main chacun des ouvrages de métaphysique ou d’économie politique qu’il lisait.

3062. (1899) Esthétique de la langue française « La métaphore  »

Antoine Thomas, ouvrage cité, p. 27.

3063. (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre deuxième. Le génie, comme puissance de sociabilité et création d’un nouveau milieu social »

Sainte-Beuve ensuite, déclarant « qu’il ne peut juger une œuvre indépendamment de l’homme même qui l’a écrite », fit des recherches biographiques sur l’enfance de l’écrivain, son éducation, les groupes littéraires dont il avait fait partie. « Chaque ouvrage d’un auteur, vu, examiné de la sorte, à son point, après qu’on l’a replacé dans son cadre et entouré de toutes les circonstances qui l’ont vu naître, acquiert tout son sens, son sens historique, son sens littéraire.

3064. (1902) Les œuvres et les hommes. Le roman contemporain. XVIII « Octave Feuillet »

Jusque-là il n’était dans son livre qu’un homme de son livre, et cela donnait à son livre une perfection de vulgarité sous élégance commune qui ne laissait rien à désirer, mais il va nous fausser son ouvrage, vrai parce qu’il n’y invente rien, et faux dès qu’il veut s’y montrer inventeur.

3065. (1897) Un peintre écrivain : Fromentin pp. 1-37

L’ouvrage est parfait dans son genre.

3066. (1911) Lyrisme, épopée, drame. Une loi de l’histoire littéraire expliquée par l’évolution générale « Chapitre IV. Conclusions » pp. 183-231

Le problème de la liberté est à la base de toute réflexion philosophique ; il n’y a qu’à feuilleter les ouvrages les plus récents pour s’en convaincre.

3067. (1926) La poésie de Stéphane Mallarmé. Étude littéraire

» Et Mallarmé, mentalement, adresse ce discours à quelque travailleur manuel : « La page, écrite tantôt, va s’évanouir, selon — n’envie pas, camarade — qu’en moi un patron refuse de l’ouvrage, quand la clientèle n’y voit de tare16 ». […] « J’ai souvent pensé qu’on pourrait entreprendre un ouvrage d’une incroyable puissance, qui serait un Dictionnaire des Analogies. Un tel ouvrage serait pour ainsi dire le résultat de la vision des poètes devant le à divers règnes que nous avons établis dans la nature pour mettre de l’ordre dans nos recherches, et il participerait des sciences autant que des arts. […] Même principale, la niveler aux classes de l’Institut, montre une main politique et sacrilège126. » Seulement, cette Académie réelle n’est qu’un symbole, une figure qui mime une Académie idéale, et qui aurait tort de se confondre avec elle, autant que le prêtre de prendre pour lui la flexion de genoux et de tête qui salue l’Élévation, « tout le mal se réduisant à ce quiproquo : on les veut immortels en place que ce soit les ouvrages ».

3068. (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre quatrième. Les conditions physiques des événements moraux — Chapitre premier. Les fonctions des centres nerveux » pp. 239-315

Vulpian, ouvrage cité, 496, 510. […] Vulpian, ouvrage cité, 541.

3069. (1892) Portraits d’écrivains. Première série pp. -328

Son premier ouvrage : la Taverne des étudiants, était tombé à plat (1854). […] Entre-temps il sème sur sa route de moindres ouvrages, de simples bouffonneries : les Pommes du voisin ; des mélodrames, les Diables noirs ; des féeries, Don Quichotte, le Crocodile ; des pièces à costumes, les Merveilleuses. […] Pour ce qui est de la substance même de l’ouvrage : idées, caractères, mœurs, Scribe pouvait tout juste lui apprendre à s’en passer. — Cet enseignement qu’il tirait du théâtre de Scribe, M.  […] Le premier ouvrage de quelque importance qu’il signa de son nom, une nouvelle intitulée Onesta (1848), est d’un écolier docile. […] Gervaise, de son côté, ne manquait ni de cœur à l’ouvrage ni d’honnêteté.

3070. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « M. Charles Magnin ou un érudit écrivain. »

Il lui était plus aisé assurément de parler à loisir et à tête reposée, comme il l’aimait, d’ouvrages de littérature érudite, et par exemple du roman chinois traduit par M. 

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