Quinet, dans cette phrase que nous avons citée, « il a frappé parfois à la porte des Hymnes », il faut avouer qu’elles ne lui ont pas, à chaque fois, tiré le cordon !
Violet Le Duc cita, je crois, pour la première fois, dans son édition de Mathurin Régnier, un satyrique aussi, mais d’un autre genre que d’Aubigné.
S’il m’était permis de me citer, — et pourquoi pas, puisque je vais m’accuser d’une faute ?
Ceux des Romains qui jugeaient au lieu d’écrire, et se contentaient d’apprécier les talents sans en avoir, en classant leurs orateurs, citaient Cicéron pour l’abondance, Salluste pour la précision, Pline pour l’agrément, Fronto pour une certaine gravité austère.
On peut encore citer le tableau des guerres civiles de la minorité, et surtout un morceau sublime sur les conquêtes de Charles-Gustave, roi de Suède.
On citera toujours le tableau de la police de Paris comme un morceau très éloquent, non pas, à la vérité, de cette éloquence de l’âme qui remue, mais de celle de l’esprit, qui sait voir et présenter un grand objet sous toutes ses faces80.
Emerson cite un mot de Nelson qui fait frémir : « Le manque de fortune est un crime que je ne peux pas pardonner. » — « La pauvreté est infâme en Angleterre », disait Sidney Smith. […] Il suffit de citer des noms : Wordsworth, Coleridge, Southey, Ch. […] On peut nommer un Goldsmith, un Bernardin de Saint-Pierre, d’autres encore ; mais pour nous, si nous avions à citer un nom, c’est celui de Laurence Sterne que nous choisirions. […] Cette oie est un des beaux exemples qu’on puisse citer des particularités grotesques qui ont été l’origine première d’un nombre infini de disputes. […] Donnez-lui solidement le fouet, et puis donnez-lui une médaille d’or, il mérite l’un et l’autre. » Tel est à peu près le sens de ce jugement, que nous citons de mémoire ; c’est celui d’un maître.
Quelques-uns, plus avant dans la familiarité du maître, en avaient entendu lire des fragments dont ils avaient retenu quelques vers, qu’ils citaient et qui causaient un vif enthousiasme. […] Racine seul paraît classique aux délicats qui, au fond, n’aiment guère les mâles poètes et le vigoureux prosateur que nous venons de citer. […] Il est rare qu’on en parle ou qu’on la cite. […] Le moulin de Watelet, que nous citions tout à l’heure, semblait déjà un peu bien romantique à MM. […] Les noms qu’on cite dans ces phrases où l’on veut résumer brièvement la valeur poétique de l’époque sont toujours les mêmes, et la pléiade n’a pas augmenté le nombre de ses étoiles.
Ne vous en plaignez pas : car, même ramenée au « naturel », il y reste encore assez de mystérieux Je viens de relire des vers de Chênedollé et de Fontanes, très purs, très harmonieux, très beaux enfin, je vous le jure, et que j’aimerais à vous citer. […] On ne dira pas mieux sur ce sujet, et je ne saurais donc mieux faire que de vous citer quelques-unes des observations de l’inquiet et souffrant poète des Rêves et Pensées sur l’heureux et glorieux poète des Harmonies. […] Cela vous ennuiera-t-il beaucoup que je vous cite quelques-unes des dernières strophes, si connues ? […] Je cite un peu, pour votre plaisir et pour mon repos : Ils fendaient, engloutis, les ténèbres palpables : L’écume des brouillards ruisselait sur les câbles. […] Au surplus, un poème d’une souveraine beauté, pittoresque, morale et lyrique fort inconnu ; et que personne ne cite jamais le Désert, que vous trouverez à la suite des Recueillements, dans les Épîtres et Poésies diverses, et qui, daté de 1856, est donc la dernière grande pièce qui soit sortie de la main de Lamartine, nous offre un décisif commentaire de cette partie du Livre primitif.
On pourra donner des théories, des définitions du goût, tout le monde tombera d’accord ; mais apportez des preuves, citez des exemples, tout le monde disputera. […] Ici Ernest nous cita une belle parole de Saint Paul : La foi est la réalité des choses de l’espérance ; c’est l’argument de ce qui n’apparaît pas. […] Je cite en abrégeant pour ne pas fatiguer l’impatiente Julie. […] Ne les citons pas à la barre de notre tribunal philosophique. […] Je peux citer de M. de Latouche quelques fragments bien dignes d’être conservés.
— Satan. » Qu’on me pardonne de citer ces beaux vers. […] Citons au hasard. […] Ici il faut textuellement citer. […] Que citer parmi tant de couplets gracieux, d’un rythme si facile, d’une émotion si vraie ? […] Je citerai particulièrement L’Ascension, l’Histoire d’une âme, La Condition, La Veillée du médecin.
Bourget, qui dit citer au hasard, est obligé d’en nommer deux qui sont du théâtre, et cela me paraît assez typique. […] Ensuite (et en conséquence) c’est un fait que Colomba, Pères et enfants, Madame Bovary, les trois romans que cite M. […] L’esthétique dont il procède est celle de la phrase que j’ai citée sur le « demi-siècle de servitude ». […] Croyez bien que je ne fais pas concurrence à Monsieur Mézigue, et laissez-moi vous citer un précédent grâce auquel vous accueillerez mieux mes dires. […] Je cite de nouveau, au hasard de ma mémoire, d’autres livres de tout premier ordre également.
Et je me souviens toujours que lui-même il aimait à citer, comme exemple d’atticisme, une certaine petite phrase d’un discours de Ducos à la Convention, petite phrase qu’il fallait certes beaucoup de goût et une extrême vigilance littéraire pour avoir saisie au passage et retenue. […] On peut citer, comme échantillons les plus complets, ses articles sur la République de Cicéron traduite par M. […] Daunou conclut par une page qui est la plus éclatante manifestation en l’honneur du xviiie siècle ; il faut la citer en entier, parce qu’elle vérifie beaucoup de nos assertions précédentes sur l’auteur, et parce qu’elle résume et nous représente sous le jour le plus large et le plus lumineux toute sa doctrine. […] Lui, quand il se laissait aller à sa nature, c’est-à-dire à sa culture favorite, il citait de préférence quelque beau trait, quelque beau mot, un beau vers latin, en homme de goût et d’une suprême rhétorique, jamais de ces détails plus particuliers et plus recélés qui attirent l’attention du philologue ou du géographe, du découvreur et fureteur en quoi que ce soit.
Entre tant d’exemples, je ne citerai que celui-ci : ne devrait-on pas créer un droit de suite pour la vente des lettres autographes, droit analogue au droit de suite qui existe, depuis peu d’années il est vrai, sur les ventes de tableaux ? […] Aussi les protestations des écrivains restent vaines lorsque les marchands d’autographes citent dans un catalogue, rédigé en vue d’une vente publique, quelques phrases d’une lettre privée. […] Volontiers je réponds aux questions que vous suggèrent les quelques lignes de Valéry que vous citez. […] On cite déjà quelques hommes de lettres qui dactylographient eux-mêmes leurs ouvrages.
Ici l’on me dispensera, je crois, de citer ou de prouver davantage, et l’on comprendra les vives raisons qui m’arrêtent sur le seuil. […] Citons rapidement quelques exemples. […] Est-ce nous renseigner suffisamment à leur sujet que de nous en citer deux tirades, et n’est-ce pas une distraction bien cruelle que de nommer Corneille à propos de madame de Girardin ? […] Quoi qu’il en soit, ce qui reste de la correspondance de Voltaire avec Moultou, et ce qu’en cite M. […] Nous avons cité quelques lignes : il eût fallu citer cent pages, car le jeune historien n’avait rien écrit d’aussi grandiose, d’aussi éloquent.
Une encyclopédie, qui cite beaucoup de ses ouvrages, omet son œuvre capitale, sa Philosophia Naturalis. […] J’ai lu avec soin ses écrits que cite M. […] On citait des exemples, car on trouve des exemples de tout. […] Je pourrais citer un grand nombre d’autres petits faits analogues ; chacun en trouvera de pareils dans sa vie quotidienne. […] Mais M. de Launay, qui cite ce chiffre (Histoire de la Terre, p. 262), le lient pour fort hypothétique.
(Et l’on ne dira pas que c’est pour faire des économies, puisque Ballade dixième il cite au long, il met en épigraphe toutes les quatre strophes, tous les quatre couplets de La Chanson du Fou, venue du quatrième acte de Cromwell, où je crois que c’est Cromwell lui-même, quelle autorité ! […] Troisièmement ces deux strophes mêmes il les cite mal. […] D’abord on la cite toujours. […] — La dernière strophe que nous venons de citer est par exemple, in fine, un essai malheureux d’enfermer en une strophe, en un vers, en quelques vers, tout l’espace, toute l’étendue de la conquête napoléonienne. […] Je ne vous dirai point… Il faudrait citer tout le poème, toute la tragédie.
L’article sur Varron est un modèle parfait de ce genre d’érudition et de doctrine encore grave, et déjà ménagé à l’usage des lecteurs du monde et des gens dégoût ; l’étude sur Lucile également ; et nous pourrions citer vingt autres articles gracieux et sensés, et finement railleurs, qui attestaient une plume faite, et si nombreux que de sa part, sur la fin, on ne les comptait plus. […] Je veux citer le passage excellent où il la définit le mieux : « Cette sage honnêteté, dit-il229, cette modération dont les politiques se piquaient, remontait jusqu’à Érasme, mais à Érasme modifié par L’Hospital.
Cette justice ne périt jamais dans l’éclipse des lois et dans la ruine des empires ; seulement elle n’a pas de tribunal où elle puisse citer légalement ses accusés ; elle est la justice qui n’a ni juges institués ni lois écrites, mais qui prononce ses arrêts dans la conscience, et dont le code est l’équité. […] Si donc Louis XVI, roi trop récemment dépossédé de la toute-puissance, roi à qui toute restitution du pouvoir au peuple devait paraître déchéance, roi mal satisfait de la part de règne qui lui restait, aspirant à reconquérir l’autre part, tiraillé d’un côté par une assemblée usurpatrice, tiraillé de l’autre par une reine inquiète, par une noblesse humiliée, par un clergé qui faisait intervenir le ciel dans sa cause, par une émigration implacable, par ses frères courant en son nom par toute l’Europe pour chercher des ennemis à la Révolution ; si Louis XVI, roi, paraissait à la nation une conspiration vivante contre sa liberté, si la nation le soupçonnait de trop regretter dans son âme le pouvoir suprême, de faire trébucher volontairement la nouvelle constitution pour profiter de ses chutes, de conduire la liberté dans des pièges, de se réjouir de l’anarchie, de désarmer la patrie, de lui souhaiter secrètement des revers, de correspondre avec ses ennemis, la nation avait le droit de le citer jusque sur son trône, de l’en faire descendre, de l’appeler à sa barre et de le déposer au nom de sa propre dictature et de son propre salut.
Le fils avait un traitement fixe et cinq ducats d’or par mois, et de temps en temps des présents magnifiques, parmi lesquels Michel-Ange cite un riche manteau brodé pareil à ceux que Laurent donnait à ses propres fils. […] Nous demandons à M. de Circourt la permission de le citer.
Il écrit encore en latin scolastique, et cite abondamment Ovide : mais déjà le trio de ses auteurs favoris, de ses idoles, c’est Cicéron, Virgile et Térence : déjà sa culture est toute païenne, et jusque dans une lettre au pape sur les maux de l’Église, il ne trouve à citer que Térence, au grand scandale du pieux Gerson.
Je suis indigne. » Et Dieu reprend : « Il faut m’aimer. » Mais ici je ne puis me tenir de citer encore ; car, à mesure que le dialogue se développe, la forme en devient plus irréprochable, et je crois bien que les derniers sonnets contiennent quelques-uns des vers les plus pénétrants et les plus religieux qu’on ait écrits : — Aime. […] J’en pourrais citer beaucoup.
Brunetière, au temps où il goûtait peu Flaubert, n’a pu se tenir de citer comme un chef-d’œuvre cette page extraordinaire. […] Rosny, pour ne citer que ceux-là, ne présagent-ils point la conciliation de deux esprits qui, chez nous, furent trop souvent séparés ?
Un troisième correspondant a eu une autre idée : « … Les vers que vous citez : Ton nom… Tu sais que dans le mien le ciel daigna l’écrire, me semblent s’appliquer parfaitement à Saint-Marcellin, fils naturel de Fontanes, auteur dramatique et journaliste, et qui fut tué en duel en 1819 ou 1820. » Eh bien ! […] Il écrit dans la lettre que je citais tout à l’heure : « C’est à vous, poète et mère, qu’il appartient de recueillir et de rassembler toutes ces chères reliques, toutes ces reliques virginales, car je ne puis m’accoutumer à l’idée qu’elle ait cessé d’être ce qu’il semblait qu’un Dieu clément et sévère lui avait commandé de rester toujours. » Peut-être, parmi les raisons qui l’empêchèrent d’épouser Ondine, faut-il compter ce scrupule et ce respect devant une vierge, et la terreur d’abolir ou seulement de transformer ce par quoi elle l’avait surtout séduit : terreur d’autant plus invincible que celui qui l’éprouve est plus habitué, — et c’était le cas de Sainte-Beuve, — aux rencontres grossières.
Au théâtre, les belles pièces ne font pas recette : ai-je besoin de vous citer des exemples ? […] Voltaire et Goethe, pour ne citer que ces exemples, les conciliaient très bien.
Je ne sais qui de Somaise ou de de Pure cite une belle précieuse qui ne permet pas de dire j’aime le melon, parce que c’est prostituer le mot j’aime, et qui n’autorise pas au-delà du mot j’estime pour cet usage. […] Les changements opérés dans la langue française durant la période des précieuses ne sont pas le premier exemple qu’on puisse citer du pouvoir de la conversation.
Nous n’en citons rien ici ; à quoi bon citer ce qui est dans la mémoire de tout le monde ?
On en peut citer un exemple bien remarquable dans les belles spéculations des géomètres grecs sur les sections coniques, qui, après une longue suite de générations, ont servi, en déterminant la rénovation de l’astronomie, à conduire finalement l’art de la navigation au degré de perfectionnement qu’il a atteint dans ces derniers temps, et auquel il ne serait jamais parvenu sans les travaux si purement théoriques d’Archimède et d’Apollonius ; tellement que Condorcet a pu dire avec raison à cet égard : « Le matelot, qu’une exacte observation de la longitude préserve du naufrage, doit la vie à une théorie conçue, deux mille ans auparavant, par des hommes de génie qui avaient en vue de simples spéculations géométriques. » Il est donc évident qu’après avoir conçu d’une manière générale l’étude de la nature comme servant de base rationnelle à l’action sur la nature, l’esprit humain doit procéder aux recherches théoriques, en faisant complètement abstraction de toute considération pratique ; car nos moyens pour découvrir la vérité sont tellement faibles que, si nous ne les concentrions pas exclusivement vers ce but, et si, en cherchant la vérité, nous nous imposions en même temps la condition étrangère d’y trouver une utilité pratique immédiate, il nous serait presque toujours impossible d’y parvenir. […] C’est ainsi, pour en citer l’exemple le plus important, qu’on doit envisager la belle conception de Monge, relativement à la géométrie descriptive, qui n’est réellement autre chose qu’une théorie générale des arts de construction.
Ai-je besoin de vous citer des textes que vous avez certainement dans le souvenir, seulement, bien entendu, à l’état confus ? […] On triomphe de ceci (j’abrège un peu, je citerai un propos qui est un peu audacieux), on triomphe de ceci : La Fontaine a dit en propres termes aux Vendôme, en leur demandant de l’argent : Le reste ira, ne vous déplaise, En vin, en joie et coetera.
Mosaïste qui n’a pas oublié un seul marbre à incruster dans son œuvre, il a rapproché adroitement tous ces morceaux et tous ces témoignages d’écrivains pris partout et avec lesquels il a composé sa terrifiante mosaïque, et comme c’est le nombre des renseignements qui fait la puissance de son œuvre, on n’en peut rien citer sans affaiblir le tout. […] Je la citerai, cette dernière page, et ce sera aussi la dernière chose de ce chapitre.
Nous ne citerons pas la belle réponse de Christophe de Beaumont, archevêque de Paris, au Pape (24 avril 1774) ; nous n’aimons à citer que des exemples d’obéissance. […] L’influence du cardinal de Solis, qui n’écrivait pas, on ne la trouve attestée que dans les dépêches de sa cour, si préoccupée et si avide du résultat qu’elle poursuivait ; mais la correspondance bavarde du vaniteux Bernis, que l’auteur du Clément XIV a citée presque tout entière, ne laisse aucun doute sur le hideux fourmillement d’intrigues qu’il entremêlait.
IX Et je n’en puis pas citer davantage. […] Je n’en peux citer davantage, parce que, partout, dans cette Tentation de saint Antoine, les images lascives et les gros mots obscènes abondent, et qu’où le livre, fait pour quelques-uns, peut avoir son audace, le journal, fait pour tous, doit avoir sa pudeur.
Je ne cite presque jamais, mais, ici, il faut citer : « … Un matin… je vis arriver chez moi, pendant que je déjeunais, un vieil homme en habit râpé, cagneux, crotté, l’échine basse, grelottant sur ses longues jambes comme un échassier déplumé.
Et continuant le portrait de celui qu’il connaissait si bien pour l’avoir servi de près, d’Aubigné insiste sur ce que Henri IV, dans sa grande promptitude d’esprit, était servi par deux sens dont la nature l’avait merveilleusement doué, l’ouïe et la vue, qu’il avait perspicaces, aiguisées et sûres à un degré inimaginable : d’Aubigné en cite des exemples.
Mlle Pascal avait un certain talent, ou du moins une grande facilité pour les vers : la mère Agnès, plus rigide qu’à elle n’appartient, lui écrit : « Vous devez haïr ce génie, et les autres qui sont peut-être cause que le monde vous retient ; car il veut recueillir ce qu’il a semé » ; et elle lui cite en exemple sainte Lutgarde, « qui refusa le don que Dieu lui avait fait d’entendre le psautier ».
Je regrette de ne pouvoir citer davantage.
J’aimerais à les citer, et pourtant je passe.
Il n’y avait donc rien dans son livre, quelque excellent qu’il soit, que je pusse citer dans le mien.
Volontiers il citerait Platon et remonterait au déluge pour expliquer les faits et les gestes d’une belette, et, si l’on juge par l’issue, bien des gens trouvent qu’il n’avait pas tort.
Je citerai : Ira Odeurs de Paris (1866), 1 vol. in-12 ; Boyne pendant le concile. 2 vol. in-8 ; les Libres penseurs, 1 vol. in-12 ; Dialogues socialistes (l’Esclave Vindex, 1849), 1 vol. in-12 ; Historiettes et fantaisies, 1 vol. in-12 ; Molière et Bourdaloue (1877). in-12, etc.
Mais l’opinion finale sera de le mettre enfin au premier rang, où régnent Lamartine et Victor Hugo, qu’on cite toujours en l’omettant.
On peut citer, entre autres, ceux intitulés : Le Pédant, La Chasse, L’Arracheur de dents, etc.
Il y a des chroniqueurs qui ne peuvent citer un de ses romans sans parler de « l’ex-législateur » et de « Meurthe-et-Moselle ».
Voir sur cette anecdote une lettre de Beethoven à Bettina von Arnim citée dans le Beethoven de M.
La difficulté dont nous venons de nous occuper a été, je l’ai dit, souvent signalée ; parmi les ouvrages les plus récents où il en est question, je citerai, outre l’opuscule de M.