Chapitre VIII.
Chapitre VII.
Chapitre XXIV.
Chapitre II.
Chapitre XIX.
À travers le factice et le faux que je crois avoir assez indiqués, on noterait (gardons-nous de l’oublier), dans presque tous les chapitres ou couplets dont se compose le récit, des accents vrais, des touches heureuses et fines, inexplicable mélange qui déconcerte, et qui est plus fait pour attrister le lecteur déjà mûr que pour le consoler.
On ferait un piquant chapitre de mœurs sur les personnes de bel air, les enthousiastes à la suite, qui l’ont adopté avec engouement, les mêmes qui auraient admiré, il y a vingt-cinq ans, des vers alexandrins, parce qu’ils les auraient crus jetés dans le moule de ceux de Racine, et qui exaltent aujourd’hui les moindres bagatelles du brillant poète, à l’égal de ce qu’il a fait de mieux et de réellement bon.
Leur premier chapitre est de prouver la Divinité par les ouvrages de la nature. » Et continuant de développer sa pensée, il prétend que ces discours, qui tendent à démontrer Dieu dans ses œuvres naturelles, n’ont véritablement leur effet que sur les fidèles et ceux qui adorent déjà.
Ier, chap.
Chapitre troisième L’idée-force du moi et son influence I.
Chapitre III Le cerveau chez l’homme Si maintenant, au lieu de suivre la série animale en général, nous nous renfermons dans l’espèce humaine, nous trouverons encore, comme tout à l’heure, un certain nombre de faits qui accusent une corrélation incontestable entre le cerveau et la pensée, mais aussi beaucoup de faits contradictoires et embarrassants.
Chapitre premier.
Chapitre XXXIII.
Chapitre XXXVIII et dernier.
Chapitre XIV.
Chapitre XVI.
Chapitre V. […] Tâchez, pour comprendre ce grand changement, de vous représenter ces yeomen, ces boutiquiers qui, le soir, étalent cette Bible sur leur table, et la tête nue, avec vénération, écoutent ou lisent un de ses chapitres. […] Froude, III, chap. xii. […] IV, chap. 3.) […] Holy dying, chap.
Il fait revivre un grand apôtre ; trace, à propos de lui, un chapitre de l’histoire morale de l’Angleterre. […] C’est une ironie très voilée, très dispersée aussi, qui est répandue comme un parfum subtil dans tout un chapitre, sans qu’on puisse la saisir ici ou là avec sûreté, mais qui n’en est pas moins, et qui en est davantage, pour le lecteur, régal de haut goût. […] Jules Legras, ne me contestera l’utilité de ce chapitre. […] Et c’est pour cela que la biologie reçoit plus de clartés de la sociologie que la sociologie de la biologie ; et j’en ai trouvé une preuve, avec beaucoup de plaisir, dans un des chapitres du livre de M. […] De même, tout le chapitre sur la « contrefaçon d’art », c’est-à-dire sur l’art artificiel, sur l’art qui n’existerait pas si un autre art n’était venu avant lui pour lui servir de modèle, tout ce chapitre est bien pénétrant et à méditer de très près.
Paul Albert lui a consacré tout un chapitre de sa Littérature française au xviie siècle : l’un et l’autre avait ses raisons, dont la principale était de déprécier la littérature du xviie siècle, M. […] Or, en littérature, l’universel diffère du général exactement dans la mesure où le chapitre de Théophraste sur l’Épargne sordide diffère du portrait que Boileau lui-même nous a laissé du lieutenant criminel Tardieu. […] Tel chapitre — sur les causes de la disgrâce du comte duc d’Olivarès, par exemple, ou sur la guerre de Portugal — est un résumé d’événements qui ne serait pas mal à sa place dans quelque endroit de l’Essai sur les mœurs. […] Nous mêlerons à ce chapitre d’histoire littéraire un peu plus de biographie que nous n’avons cru le devoir faire pour Marivaux et pour Le Sage. […] On pourra lire à ce sujet quelques-uns des meilleurs chapitres du livre de M.
Chapitre II. […] Chapitre deux : Pendennis, père du jeune homme, était de son temps apothicaire, mais d’une bonne famille, et désolé d’être descendu jusqu’à ce métier. […] Plusieurs chapitres dans le Livre des Snobs 1350, par exemple celui des snobs littéraires, sont dignes de Gulliver.
Zola considère le roman comme un chapitre d’histoire naturelle. […] L’auteur n’apparaît pas au détour d’une phrase ou à la péroraison d’un chapitre pour confier son sentiment, comme il est de coutume dans les contes romanesques ou le roman à thèse. […] Dans un explicite et merveilleux chapitre de la « Vie Héroïque », Le Carnaval des Destins, Saint-Georges de Bouhélier s’est efforcé à montrer l’opposition de l’existence actuelle et de vie véridique : « L’existence quotidienne parodie la Vie Éternelle, nous dit-il. » La doctrine naturiste est la doctrine des rapports.
Un Donneur d’Illusions « Plantin »bd Christian Chapitre II Les manuscrits Toute l’intimité du moyen-âge a vécu dans les mortes clartés claustrales discrètement relevées parfois par les ors de croce, les violets épiscopaux et les pourpres cardinalices ou royales impartis aux vitraux de chapelle. […] « La dernière soirée des amis », qui précède leur départ pour l’armée, est le chapitre IX de la Première partie (Le Mal. 1914-1917, La-Chaux-de-fonds, Éditions d’Action sociale, 1918, p. 34-42). […] p. 62-75, Deuxième partie, chapitre II).
On aurait fait un intéressant chapitre, indépendamment de tout système et de tout lien, des cas psychologiques singuliers et des véritables découvertes de détail dont il semait ses leçons. […] Roulin n’ait pas fait alors ce chapitre de miscellanées psychologiques, comme il en a fait un sur des singularités d’histoire naturelle.
Ce chapitre en offre d’éclatants exemples : écoutez le sublime du vrai mêlé à l’excès du faux. […] « Observez de plus que cette loi, déjà si terrible, de la guerre, n’est cependant qu’un chapitre de la loi générale qui pèse sur l’univers.
Nous allons donc discuter en quelques mots, avec nos lecteurs, ces deux chapitres de l’histoire de M. […] Ces pages sont des chapitres du livre du Prince ; elles enseignent aux fondateurs de dynasties nouvelles comment, pour caresser les habitudes d’esprit d’un peuple, ces princes doivent, sous le masque d’une religion qu’ils ne professent pas eux-mêmes de cœur, se jouer de la religion véritable, inséparable de sincérité et de foi, en rendant au peuple une religion d’État avec ses privilèges et ses appareils exclusifs comme un spectacle pour les yeux au lieu d’un aliment de l’âme.
« Je n’ai pas su, dit-il dans le premier chapitre de sa Vie, comment mon père supporta cette perte de ma mère ; mais je sais qu’il ne s’en consola jamais : il croyait la revoir en moi sans pouvoir oublier que ma naissance lui avait coûté la vie. […] Une seule page de ce livre est d’un philosophe, d’un poète et d’un sage ; c’est celle où, au commencement d’un chapitre, véritable vestibule d’un panthéon moderne, Rousseau décrit l’horizon, la vie, la pensée d’un pauvre prêtre chrétien enseignant à un village, où il est exilé, le culte et la charité d’une communion universelle.
J’en relis souvent quelques chapitres, surtout ceux où le philosophe inconnu, qui a écrit ces pages avec ses larmes, se dépouille du cilice monacal qui isole et qui dessèche sa doctrine, oublie qu’il est moine et redevient humain en redevenant homme. […] Voyez comme il développe cette maxime dans les chapitres suivants : XVI Manger, boire, veiller, dormir, se reposer, travailler, être assujetti à toutes les nécessités de la nature, c’est vraiment une grande misère et une grande affliction pour l’homme pieux, qui voudrait être dégagé de ses liens terrestres, et délivré de tout péché.
Chapitre neuvième § I. […] Peut-être Nicole, dans son Traité des moyens de conserver la paix, etc., etc., se rappelait-il Alceste, quand il écrivait cette suite de chapitres charmants sur l’obligation que l’on a de ménager les hommes.
Je trouve, moi, que les religions valent la peine qu’on en parle et qu’il y a dans leur étude autant de philosophie que dans quelques chapitres de sèche et insipide philosophie morale. […] Voir l’admirable peinture de la réaction dévote du commencement du XVIIe siècle, dans Michelet, Du prêtre, de la femme, de la famille, chap. 1, et en général tout ce livre, peinture si vive et si originale des faits les plus délicats et les plus indescriptibles.
Chapitre VIII. […] Chapitre premier, p. 14.
Ce premier volume comprend les chapitres suivants : Avant-propos ; introduction (esthétique) ; 1° Education anarchique ; 2° Wagner devient artiste (les Fées, la Défense d’aimer) ; 3° Wagner chef d’orchestre en province (Rienzi) ; 4° Paris — lutte pour l’existence ; — 5° Révolte — Wagner critique ; 6° le Vaisseau Fantôme — Manfred ou Tànnhaeuser ; 7° Wagner chef d’orchestre à Dresde — Tannhaeuser ; 8° Première idée des Maîtres Chanteurs — Lohengrin ; 9° Dernière crise — Projet de réforme du théâtre ; 10° Dernier conflit — Formation de l’idéal ; 11° Forme du drame de Wagner — Révolution et exil, la Mort de Siegfried. Critique d’Avant-Garde, par Théodore Duret, (I vol. in-18 3 fr. 50) Un des chapitres de ce livre, qui est un recueil d’articles de critique artistique, est consacré à Richard Wagner.
Le Moyen Âge (842-1498) [Discours] I « J’ai eu l’occasion — a dit quelque part un historien philosophe — d’étudier les institutions politiques du Moyen Âge en France, en Angleterre et en Allemagne ; et, à mesure que j’avançais dans ce travail, j’étais rempli d’étonnement en voyant la prodigieuse similitude qui se rencontre en toutes ces lois ; et j’admirais comment des peuples si différents et si peu mêlés entre eux avaient pu s’en donner de si semblables. » [Tocqueville, L’Ancien Régime et la Révolution, livre I, chap. […] Comme nous ne suivons pas, — et pour cause, — dans les notes de ce premier chapitre, l’ordre chronologique, mais plutôt un ordre systématique, c’est cet ordre aussi que nous observons dans l’énumération des Sources, et nous avons moins d’égard à la date de publication des ouvrages qu’à la nature de leur contenu.
Mais prenez chaque chapitre en lui-même, ici tout change : cet ordre en petit que doit renfermer un chapitre, n’y est point ; chaque idée est toujours exprimée avec la dernière précision, mais elle n’est pas toujours à la place où elle devrait être pour entrer aisément dans l’esprit du lecteur.
Ainsi, comme on le voit, par de telles paroles que nous avons voulu citer, nous n’avions rien exagéré au commencement de ce chapitre. […] Il y a un chapitre du livre, intitulé : « Chaque parti périt par les femmes » ; un autre : « La réaction par les femmes dans le demi-siècle qui suit la Révolution ».
Ce chapitre est composé de quatre parties, écrites successivement de 1853 à 1883. […] Le chapitre sur Hoffmann ne parut que trois ans plus tard.
Un chapitre particulier y traite du Roman de Renart, une des plus curieuses et des plus spirituelles productions du génie satirique du Moyen Âge.
Dans le dernier discours sur Jouffroy, il me semble avoir sacrifié plus que d’ordinaire à la mise en scène ; il y a mêlé un but étranger au sujet même qu’il étudiait ; il a voilé en un sens et drapé son personnage ; il a pris parti, plus finement qu’il ne convient, pour la malice et la rancune des grands sophistes et des grands rhéteurs dont l’histoire sera un jour l’un des curieux chapitres de notre temps, intolérants et ligués comme les encyclopédistes, jaloux de dominer partout où ils sont, et qui, depuis que l’influence décidément leur échappe, s’agitent en tous sens pour prouver que le monde ne peut qu’aller de mal en pis.
Quant à l’idée que j’ai eue dans ce petit chapitre de vieille littérature, elle pourrait se résumer en ces mots ; le Roman de Renart et son correctif46.
On s’entremit surtout auprès de M. de Maurepas, alors ministre de Paris (c’était le terme), de qui dépendait l’affaire et qui devait être moins difficile qu’un autre, ce semble, sur ce chapitre de la légèreté médisante et de la satire.
On ne s’attendrait pas à voir Marivaux faisant la réprimande à Montesquieu, et la faisant sur un chapitre sérieux dans lequel il a pour lui convenance et raison : Je juge, disait-il donc à propos des Lettres persanes, que l’auteur est un homme de beaucoup d’esprit ; mais, entre les sujets hardis qu’il se choisit et sur lesquels il me paraît le plus briller, le sujet qui réussit le mieux à l’ingénieuse vivacité de ses idées, c’est celui de la religion et des choses qui ont rapport à elle.
. — Un jour qu’il y avait eu une indiscrétion commise sur quelque matière d’État, il prenait Jeannin par la main, en disant aux autres membres du Conseil : « Messieurs, c’est à vous de vous examiner ; pour moi, je réponds du bonhomme. » La carrière du président Jeannin semble remplie et comblée dans sa mesure, et pourtant il resterait encore tout un chapitre à y ajouter.
On aura remarqué comme il s’approprie aisément ce dont il parle et ce sur quoi il s’appuie : mon Évangile, mon texte, mon vingt-huitième chapitre du Deutéronome, mon maître, mon pontife, etc.
Il vécut donc avec les bergers, avec les paysans ; et lorsque les Esquisses de l’état naturel, civil et politique de la Suisse, présentées dans une suite de lettres, par William Coxe, parurent en anglais et obtinrent du succès, Ramond se trouva en mesure à l’instant de les traduire en les perfectionnant, en y ajoutant nombre de chapitres originaux qui les complétaient et en faisaient un ouvrage tout nouveau.
Saint-Évremond l’a très bien jugé quand il a dit : Que peut-on penser sur le chapitre de M. de Bussy, que ce que tout le monde a déjà pensé ?
Sur le chapitre de la politique, sur celui de l’éducation et de la morale, l’opposition entre leur principe d’inspiration et leur humeur se marque très bien, et Rousseau ne paraît pas trop sacrifié.
Il faut convenir que, sur ce chapitre délicat, elle ne s’abaisse point aux menteries de son sexe et qu’elle y met la franchise d’un gentilhomme.
Ce beau volume, chef-d’œuvre de typographie, qui s’offre à nous encadré, illustré d’ornements en tête et à la fin des chapitres, parsemé d’images sur bois figurant les Évangélistes ou les scènes des Évangiles, a cela de remarquable qu’il a été composé et imprimé en très peu de temps ; on avait dit qu’on n’irait pas à l’Exposition de Londres, que l’Imprimerie Impériale n’y serait pas représentée cette fois.
Voltaire termine les deux beaux chapitres, où il a si vivement raconté les exploits et les malheurs de ce prince, par l’éclat de son arrestation ignominieuse à Paris, à l’Opéra, lorsque le faible gouvernement d’alors crut devoir à l’Angleterre cette satisfaction d’expulser le Prétendant du sol français.
Edouard Lefebvre de Behaine, premier secrétaire d’ambassade à Berlin, en a disposé une seconde édition qui doit prochainement paraître, et il y a joint divers morceaux ou chapitres très-développés qui avaient été publiés par l’auteur dans la Revue des Deux Mondes ; le tout formera une Histoire diplomatique du Consulat et de l’Empire presque sans interruption et sans lacune, depuis 1800 jusqu’en 1814.
Son intimité avec Berthaud et surtout avec Hégésippe Moreau, avec qui il vécut quelque temps, je l’ai dit, rue des Beaux-Arts, et à qui même il prêta plus d’une fois sa grande redingote verte d’un vert clair, pourra devenir l’objet d’un chapitre intéressant.
Chapitre II La clinique objective En toute conscience, les naturalistes devaient donc s’abstraire de leurs œuvres, réduire leur vision des choses à la constatation strictement objective.
Chapitre VIII.
Chapitre premier.
Chapitre III.
Chapitre III.
Chapitre II Les tempéraments 1.
Chapitre 2 La littérature militante 1.
Chapitre III Trois ouvriers du classicisme 1.
Chapitre onzième.
Qu’on en ouvre la première édition, celle de 1681, avant la division par chapitres qui a été introduite depuis, et qui a passé de la marge dans le texte en le coupant : tout s’y déroule d’une seule suite et presque d’une haleine, et l’on dirait que l’orateur a fait ici comme la nature dont parle Buffon, qu’il a travaillé sur un plan éternel, dont il ne s’est nulle part écarté, tant il semble être entré avant dans les familiarités et dans les conseils de la Providence.
La Révolution, en approchant, le prit dans son mouvement et lui souffla de son ardeur ; il était très lancé à certains égards, bien qu’il restât inébranlable sur le chapitre de la foi religieuse et de l’orthodoxie.
Chapitre I : Principe de la métaphysique spiritualiste De toutes les doctrines philosophiques qui se partagent les esprits au temps où nous sommes, la moins étudiée est peut-être la doctrine spiritualiste.
III Il nous reste à dire quelques mots de la définition que nous avons donnée des faits sociaux dans notre premier chapitre.
Je l’ai dit dès les premiers mots de ce chapitre, M.
Je connais, vous connaissez tous, de détestables livres, qui ont un excellent chapitre trentième.
Chapitre VII.
Chapitre IV : M.
Chapitre V : M.
Chapitre XXII.
Ces six chapitres datent déjà de huit ans. […] Je relis un Lundi de Sainte-Beuve et un chapitre de Brunetière, je parcours le Fontenelle de M. […] Voyez, au huitième chapitre du troisième livre, la page sur Tacite. Lisez, au trente-septième chapitre du premier livre, cet étonnant morceau de critique qu’est la comparaison des traits de cinq poètes latins sur Caton, la manière délicate dont ils sont classés, rendus en formes et en mouvements de plaisir. […] Le chapitre sur Montaigne n’y figure pas inutilement.
Que ce soit sous la forme de pré-publications, de comptes rendus, d’entretiens — « Une heure avec… » —, de portraits, voire d’« Instantanés », dessins à l’appui, les romanciers, poètes, dramaturges, essayistes, débutants ou confirmés, de l’entre-deux-guerres eurent voix au chapitre. […] Dans un chapitre suivant, à propos de J. […] Tout ce chapitre, hélas ! […] Des jeux de mots dont un chapitre de son livre les Pas perdus 87 nous révèle l’extraordinaire vertu. […] Émile-Paul, 1923 ; devenu le chapitre 6 du roman.
Quand je dis que j’aurais désiré trouver un tel portrait idéal, je ne suis pas juste, car il y est, bien qu’un peu trop dispersé ; les chapitres xiii et xiv de l’Introduction, qui ont pour titre : Exposé sommaire de la doctrine médicale d’Hippocrate ; Remarques sur le caractère médical et le style d’Hippocrate ; ces chapitres ne sont autre chose que la description exacte, précise, définitive, de la forme de science et du genre de talent de l’Homère médical.
Il n’aurait supporté de la part de personne qu’on lui fît sa leçon sur ce chapitre, et M. de Vigny, par trop d’insistance, put bien commencer dès lors à l’agacer un peu. […] J’y voudrais un chapitre qui aurait pour titre : Des effets d’audience, et ceci en ferait partie.
Mais, revenant à l’idée première de cette Étude, à ces sortes d’amitiés d’esprit à esprit, à ces intimités d’intelligence et de sentiment, où il y a le plus souvent un sous-entendu d’amour qui ne sort jamais ; où il se mêle du moins, de femme à auteur, une affection plus tendre que d’homme à homme, n’ai-je pas raison de conclure en disant : Évidemment, la morale sociale a fait un pas ; un nouveau chapitre inconnu aux anciens, trop oublié même des modernes, est à ajouter désormais dans tous les traités de l’Amitié ? — J’aime à rattacher ce chapitre au nom de Mme de Verdelin : elle est pour nous une conquête ; nous venons lui payer la dette de Rousseau.
. — Dans l’Histoire de la vie et des travaux politiques du comte d’Hauterive, par M. le chevalier Artaud, au chapitre III, on peut lire une agréable anecdote ; L’abbé Delille et le Janissaire. […] Un jour (à Londres, je crois), dans un dîner où était l’abbé Dillon, il avait jasé sur ce chapitre à tort et à travers.
Pierre Relisez donc le premier chapitre de Quelques témoignages. […] Et au début du chapitre suivant, Bourget flétrit encore « les papotages d’office et d’alcôve ».
Nous nous souvenons, en effet, et bien d’autres se souviennent avec nous, de lectures semi-confidentielles de chapitres de ses Mémoires, lectures faites avec un certain apparat aux bougies chez madame Récamier. L’ambassadeur, à peine de retour à Paris, révélait dans ces chapitres des nullités ou des ridicules de princes qui ressemblaient moins à des hommages de chevalier qu’à des stigmates de satiriste.
Cousin, dans une visite qu’il lui fit à Weimar, ayant voulu le mettre sur le chapitre de la littérature en France, ne put l’amener bien loin sur ce terrain encore trop neuf. […] Tout le monde se souvient des chapitres délicieux dans les premiers livres des Confessions de saint Augustin, de J.
Chapitre V Jean-Jacques Rousseau Rousseau philosophe et ennemi des philosophes. — 1. […] I, chap.
Chapitre sixième Suite de l’histoire des pertes. — La comédie après Molière. — § I. […] Comme je l’ai dit au chapitre précédent, la scène pouvait être plus animée, l’action plus rapide, la représentation plus semblable à la réalité.
Chapitre onzième Jean-Jacques Rousseau. — § I. […] (Confessions, livre IV, chap. 6.)
Schuré, sans embarrasser ses pages de citations, se laisse souvent pendant des chapitres entiers inspirer ligne par ligne par les écrits de Wagner. […] Alfred Ernst est un des hommes qui connaît le mieux en France certains côtés de l’œuvre de Wagner ; son livre Richard Wagner et le Drame contemporain en témoigne suffisamment dans plusieurs chapitres, et j’en recommande vivement la lecture.
Chapitre VII,seconde guerre médique. […] Si on ne lisait l’histoire de Sophane dans un chapitre d’Hérodote, on la croirait tirée d’un poème de l’Edda.
Kahn énonçait que le Vers-Libre « doit exister en lui-même par des allitérations de voyelles et de consonnes parentes » : ce qui dérive de mes valeurs de timbres-vocaux. « L’évolution de l’idée génératrice de la strophe crée le poème particulier ou chapitre en vers d’un poème en vers », disait-il encore. […] Il est à regretter seulement que la mauvaise place d’un petit chapitre et une inattention, laissent croire que l’auteur conçoive comme « décadents » les poètes venus autour de Mallarmé.
Des considérations analogues ont été émises dans L’Euphorion de Vernon Lee au chapitre « Portraits Painters. […] Voir Fechner Vurschule der Aesthetik, chapitre du Goût.
Son poëme, dont le texte arabe est perdu, était écrit en vers ; cela du moins est certain à partir du verset 3 du chapitre ni jusqu’à la fin. […] On n’a pas assez remarqué que le septième chapitre de Daniel contient en germe l’Apocalypse.
Un abrégé en deux volumes, épuré d’Atala, de René et de plusieurs autres chapitres trop remuants pour des âmes déjà émues, furent mis par eux dans les mains de leurs maîtres d’étude. […] Je me souviens qu’un jour, assis avec quatre de ces condisciples sur un tronc d’arbre au bord du Rhône, nous lûmes pendant toute la récréation quelques chapitres du Génie du Christianisme et que nous en fûmes émus jusqu’aux larmes d’admiration.
Selon nous, même au point de vue le plus général, ceci valait bien les petits chapitres de Montesquieu, facettes qui ne sont pas toujours de diamant. […] Nous avons dû lui consacrer un chapitre plus long qu’à personne, car il s’agissait, non d’un livre, mais des œuvres complètes de toute une vie, et d’une vie méconnue par la Gloire, cette vieille aveugle, comme la Fortune et comme l’Amour !
La littérature même du prince y trouve son compte ; lorsqu’il lira plus tard le Cours de La Harpe et qu’il y fera des annotations, souvent très fines et très justes, il reprendra le célèbre professeur sur le chapitre des Grecs : Si vous aviez vu, monsieur de La Harpe, et étudié les Grecs d’aujourd’hui comme moi, qui ai eu des affaires de politique à traiter avec eux, vous sauriez qu’ils ressemblent aux anciens.
Ses chapitres m’inspirent plus d’enthousiasme que la poésie elle-même.
J’ai quelquefois pensé qu’il y aurait un joli chapitre à faire : La Motte et Condillac.
Henri Martin a donné sur Buffon un chapitre ferme, étudié, fort bon autant que j’en puis juger, s’il ne s’y mêlait un peu trop de cette dernière manière fougueuse de concevoir Buffon : Quelles prodigieuses visions durent l’assaillir, s’écrie l’historien, quand la nature se présenta à lui comme un seul être dont il avait à décrire les formes et à raconter les vicissitudes !
Cette méfiance de la comtesse nous revient dans presque toutes les lettres du roi, qui est surtout occupé à la rassurer sur le chapitre de la fidélité : (1er mars 1588) J’ai reçu une lettre de vous, ma maîtresse, par laquelle vous me mandez que ne me voulez mal, mais que vous ne vous pouvez assurer en chose si mobile que moi.
Je voudrais que vous eussiez assisté à la description d’un chapitre que tinrent ses confrères, pour délibérer s’ils chanteraient ses hymnes dans leur congrégation.
C’est un chapitre, mais un peu languissant, des Métamorphoses.
(Bayle, Réponse aux questions d’un provincial, chap.
Dans cette extrémité, tandis que Frédéric raisonnait de sa situation en homme qui avait lu et médité le chapitre XIIe De la grandeur et de la décadence des Romains, et qu’il prétendait usurper le droit le plus ambitieux pour un mortel, celui de finir la pièce où il était acteur en ce monde à l’endroit où il le voulait, les choses subitement changèrent, et un souffle léger de la fortune vint rendre vaines ces altières réminiscences de Caton.
Il n’est pas un point de l’histoire de Mme des Ursins, et pouvant de près ou de loin s’y rapporter, qui n’ait été l’objet, de sa part, d’un examen approfondi, et qui ne lui ait fourni la matière d’un chapitre ou plutôt d’une sorte de mémoire raisonné et de dissertation.
Je ne suis pas de ceux qui, par une estime exagérée, mettent les pièces et les matériaux au-dessus de l’œuvre définitive ; mais comme les monuments historiques vraiment dignes de ce nom sont rares, comme ils se font longtemps attendre, et comme d’ailleurs ils ne sont possibles et durables qu’à la condition de combiner et de fondre dans leur ciment toutes les matières premières, de longue main produites et préparées, il n’est pas mauvais que celles-ci se produisent auparavant et soient mises en pleine lumière ; ceux qui aiment à réfléchir peuvent, en les parcourant, s’y tailler çà et là des chapitres d’histoire provisoire à leur usage ; ce ne sont pas les moins instructifs et les moins vrais.
Seulement, à un moment de l’impression, un passage du chapitre XXXIII, où est décrite une vision, me parut passer toute mesure en ce qui était du Pape en particulier et du catholicisme.
Il y aura lieu pour la critique, dans quelques années, d’en faire un agréable chapitre d’histoire littéraire.
Il a écrit sur Baour-Lormian un agréable article (25 janvier 1855), mais qui n’est pas du tout exact et juste comme chapitre d’histoire littéraire.
Et quand même, après examen et franche discussion, « il ne sortirait pas de résultat bien différent de celui qu’on peut attendre du monde d’aujourd’hui, ce serait du moins une satisfaction accordée à la minorité de l’Académie ; car voir surgir sans cesse des candidats imprévus, qui ne relèvent que de leur caprice et du bon plaisir d’une majorité qui les suscite ou qui les adopte sans jamais donner de raisons ni d’explication ; subir ces choix de confrères nouveaux, sans avoir eu soi-même voix au chapitre (car un vote muet n’est pas une voix), sans avoir été mis préalablement à même de parler et de répondre, de dire ce qu’on pense et de faire dire aux autres ce qu’ils pensent aussi, sans avoir été bien et dûment vaincu ou (qui sait ?)
Mme Lenormant, si ce chapitre est d’elle (et elle a bien assez d’esprit, — assez de finesse et de précision dans l’esprit, — pour avoir mené cette discussion comme on l’a fait), l’a pris vraiment sur un ton un peu trop haut.
Dans tous les cas, et pour revenir à une image plus honorable, ne comparons jamais une suite de sculptures en bois, régnant autour des murs d’un chapitre ou d’un réfectoire, au groupe du Laocoon.
Lisez dans ce volume qu’il vient de publier le beau chapitre sur la musique religieuse, qui remonte à 1832.
Les chapitres principaux de ce livre, qui n’est qu’une première partie, roulent sur les problèmes naturels, c’est-à-dire sur les questions inévitables et troublantes que se posent à eux-mêmes les hommes, à la différence des autres animaux ; questions instinctives, opiniâtres, toujours renaissantes, qu’on ne saurait éluder ni supprimer : la négation n’en est pas possible, quoique l’école positiviste, du moins une certaine branche de cette école, la proclame et l’établisse au point de départ et qu’elle interdise à l’esprit de vaquer inutilement de ce côté.
Et revenant au personnel de la Cour, le maréchal de Saxe aborde le chapitre des conseils : « Je dirai encore un mot sur la princesse.
Premier chapitre d’un ouvrage sur les causes et les effets de la perfection et de la décadence des lettres.
Ce que cette découverte excita de curiosité, ce que cette querelle enfanta de brochures, d’explications, de révélations pour et contre, ne saurait se comprendre que lorsqu’on a parcouru le dossier désormais enseveli ; on en ferait un joli chapitre qui s’intitulerait bien : Un épisode littéraire sous l’Empire.
Chapitre V.
Chapitre II.
Chapitre VI « Le Mariage de Figaro » 1.
Chapitre II L’éloquence politique L’éloquence au xviiie siècle : écrite, plutôt que parlée. — 1.
» (Livre II, chap.
Chapitre quatrième § I.
Chapitre premier.
Chapitre XI.
Chapitre V.
Chapitre XXXVI Suite de 1677 et 1678 (continuation de la huitième période). — Notions sur les rapports de la littérature avec les mœurs de la cour en 1677 et 1678. — Boileau en 1677. — Racine. — Incidents relatifs à Phèdre. — Méprise des écrivains qui imputent les critiques de Phèdre a la société de Rambouillet. — Autre méprise sur la satire de Boileau à l’occasion de Phèdre. — Fausseté de l’assertion que madame de Sévigné protégeait Pradon et n’aimait pas Racine. — Relations de madame de Sévigné avec Molière, La Fontaine, Boileau et Racine.
Chapitre XIII I.
À tel chapitre vanté d’un roman moderne, on opposerait un récit de Xavier de Maistre.
Au chapitre sur les météores et les principaux souffles des vents, il faut l’entendre parler des anciens observateurs grecs et de leur supériorité relative : Mon étonnement est extrême, dit-il, quand je vois que dans le monde, autrefois si plein de discordes et divisé en royaumes comme en autant de membres, un aussi grand nombre d’hommes s’est livré à la recherche de choses si difficiles à trouver, et cela sans en être empêchés par les guerres, par les hospitalités infidèles, par les pirates ennemis de tous, et interceptant presque les passages ; et cela avec un tel succès, que, pour des lieux où ils ne sont jamais allés, on en apprend plus sur certains points, à faire de leurs livres, que par toutes les connaissances des habitants.
Dans un chapitre du Génie du christianisme, où il examine pourquoi les Français ont tant de bons mémoires et si peu de bonnes histoires, M. de Chateaubriand, touchant à un défaut qu’il sentait mieux que personne, a dit : Le Français a été dans tous les temps, même lorsqu’il était barbare, vain, léger et sociable.
Reçue à six ans chanoinesse au chapitre noble d’Alix près de Lyon, on l’appelait Mme la comtesse de Lancy, du nom de la ville de Bourbon-Lancy dont son père était seigneur.
M. de La Chambre lit un chapitre de son Traité de la douleur ; l’abbé Cotin débite deux morceaux en vers, traduits de Lucrèce ; l’abbé Tallemant, deux sonnets ; Boisrobert, des madrigaux.
Par exemple, le paragraphe sur la Terreur que j’ai cité précédemment, et qu’on lit d’abord dans sa brochure de La Révision des jugements (1795), se retrouve textuellement au dernier chapitre de son livre sur L’Usage et l’Abus de l’esprit philosophique.
Nous n’en indiquerons que quelques têtes de chapitres.
Sparks a fait avec soin cette analyse, qui exigerait un long chapitre.
Chapitre V Le génie et la folie Quelque obscur que soit par lui-même le phénomène de la folie, quelques médecins ont cru que ce fait pouvait servir à nous faire comprendre un autre état d’esprit non moins obscur et non moins étonnant, à savoir le génie.
Chapitre II : Philosophie politique de Tocqueville Lorsque M. de Tocqueville aborda la science politique, un très-grand nombre d’écoles ou plutôt de partis contraires et hostiles se partageaient, comme nous venons de le voir, l’empire des esprits.
Son livre écrit de ce style diapré, qui rend la lecture de Banville si charmante à tout poète garde pour nous en dehors de sa séduction de forme une haute valeur ; pour deux raisons : d’abord pour cette affirmation de liberté, qu’il faut qu’un nouveau poète détruise des barrières que Victor Hugo a laissées debout et par un conseil vrai inclus dans son chapitre l’Inversion et ainsi lapidaire : il n’en faut jamais.
Chapitre III.
Chapitre V.
Lisez dans Bachaumont les chapitres intitulés : Les Dernières Grandes Dames, Les Femmes à l’Assemblée nationale, devant l’autel, en carême, en religion, et vous serez édifié suffisamment sur les chinoiseries, à la portée de tout le monde, qui ont remplacé la vie, la passion, la conviction, l’esprit, les fiertés de la race, dans ce monde qui n’est plus qu’un monde de fantômes, jouant à la vie !
II, chap.
Chapitre IX : M.
Chapitre XII : Pourquoi l’éclectisme a-t-il réussi ?
Chapitre XIV : De la méthode (Suite) M.
Chapitre V. […] Par exemple, l’Art de mentir en politique est un traité didactique dont le plan pourrait servir de modèle. « Dans le premier chapitre de cet excellent traité, l’auteur examine philosophiquement la nature de l’âme humaine et les qualités qui la rendent capable de mensonge. […] Dans le second chapitre, il traite de la nature du mensonge politique ; dans le troisième, de la légitimité du mensonge politique.
L’essentiel en ceci est donc l’impression ; or, cette impression pouvant être obtenue également par les contraires, il en résulte que la peinture du mal et même du laid a parfaitement le droit de réclamer aussi sa voix au chapitre. […] C’est une série de scènes qui se succèdent sans s’engendrer, et tel chapitre pourrait être déplacé ou même supprimé sans altérer l’ensemble général de l’œuvre. — Que reste-t-il donc à M. […] Sur ce chapitre, ce n’est pas la multiplicité des ressources, ni l’éclat des moyens qui fait ; au contraire, car rien de tout cela ne peut suppléer à cette petite chose si importante : l’ingénuité sincère. […] Je ne prétends convertir personne, mais seulement exhiber les motifs actuels de ma conviction, dans l’espoir d’amener peut-être sur ce chapitre, à quelques réflexions nouvelles, les intelligences impartiales que les théories officielles ne satisferaient point tout à fait.
Un des chapitres auxquelles l’intelligence et la nature canine se montrent plus volontiers rétives, est celui qui concerne l’observation de certaines convenances qu’on pourrait appeler digestives. […] Il y a surtout un chapitre magnifique sur ceci, un passage admirable sur cela. […] Assister à la conception et confection du roman, drame ou feuilleton du maître ; entendre chapitre par chapitre, scène par scène, phrase par phrase, les vagissements de l’œuvre nouvelle, la caresser au berceau du manuscrit, lui faire des risettes, lui offrir des morceaux de sucre ou des bonbons, et avoir pour elle tous les soins que demande un nouveau-né qui pousse sa première dent. […] *** Je viens de rencontrer Lherminier, qui m’a conseillé d’acheter un dictionnaire de conversation franco-anglaise. — C’est un recueil de dialogues par demandes et par réponses, dans lequel, dit la préface, toutes les circonstances de la vie sont prévues, depuis les plus solennelles jusqu’aux plus familières. — Je remarque, en effet, des chapitres intitulés : — Réception à la cour, — Audience du ministre, — Demande en mariage. […] Mais il arrive quelquefois aux voyageurs, ignorant les usages, de se présenter au théâtre comme ils iraient à l’estaminet, et de se heurter à un refus d’entrée. — Le cas a été prévu, — et dans presque toutes les boutiques qui avoisinent Her Majesty’s-Theatre, — on loue des costumes d’opéra. — Les petits industriels vagues, qui rôdent sous le péristyle, font même concurrence aux vestiaires officiels, en abaissant à la portées des petites bourses la location de leurs propres habits noirs et de leurs propres cravates blanches. — Ils ne demandent d’autre gage que le vêtement qu’on dépouille pour mettre le leur. — Mais il y a quelqu’imprudence à les honorer de sa confiance, car pendant que l’on conduit leur habit noir à l’Opéra, il peut arriver qu’un policeman les emmène prendre le thé dans une maison où ils sont reçus même en paletot. — Une fois la saison terminée, l’entrée du théâtre de la Reine est abordable à toutes les classes de la société. — Outre que le prix des places est diminué de moitié, le contrôle se montre moins sévère sur le chapitre du costume— une mise décente est seulement de rigueur, et on serait reçu même avec l’arc-en-ciel autour du cou, — mais il n’en reste plus pour se faire une cravate— Léo Lespès a acheté le dernier coupon.
Après Louis XIV, l’Étiquette devint ce que devient ordinairement toute grande Règle monastique après la mort de son fondateur, une lettre majuscule en tête de tous les chapitres de la médiocrité ; une lettre dont l’esprit s’efface, indéchiffrable à force d’être surchargée. […] Il fait avec les entrailles maternelles ce que Rabelais conseille de faire avec plusieurs autres choses dans un chapitre fort célèbre. […] Au chapitre XVIII, il donne une liste malheureusement incomplète de trente ouvrages allemands sur la Vie de Jésus et il fait suivre cette énumération d’un intéressant énoncé des cours de philosophie de l’Université de Berlin pendant le semestre d’été de 1882, cours suivis par lui vraisemblablement. […] Voir plus loin le chapitre intitulé : Le Dixième Cercle de l’Enfer. […] Mais il a jugé convenable de faire de ce panégyrique, du ton le plus exalté, le dernier chapitre et comme la conclusion d’un livre où la louange n’a certes pas été prodiguée.
Des gravures représentant quelques-unes des demeures seigneuriales que lord Herbert a habitées ou traversées, Strawberry Hill, Chantilly, Mello, l’hôtel de Luynes, etc., ornent les têtes de chapitre du livre, et un frontispice charmant, qui fait honneur à l’artiste qui l’a trouvé, résume avec grâce et poésie l’esprit de ces mémoires et de leur auteur. […] Au lieu de nous raconter comment il a été élevé, il s’est plu à nous tracer l’idéal d’éducation qui convient selon lui à un jeune gentilhomme, dans le second chapitre de ses mémoires. […] Dans le chapitre où il trace son idéal d’éducation pour un jeune gentilhomme, il a écrit de belles pages sur les vertus morales qu’il convient d’imprimer dans l’âme qu’on veut rendre noble ; mais il n’y en a pas de plus belle, de plus judicieuse et de plus sensée que celle qu’il a consacrée à la clémence. […] Sterne écrivait le Tristram Shandy pendant qu’il était amoureux de miss Kitty, et c’est à elle qu’il fait allusion dans le dix-huitième chapitre de son second livre et dans d’autres encore sous le nom de Jenny. J’ouvre ce dix-huitième chapitre, et j’y trouve ce détail, qui indique des relations d’une nature si étroite que j’avais toujours cru qu’il était une manière de compliment payé par le sentimental Sterne, dans un jour de regain de tendresse conjugale, à l’économie bien entendue de sa femme.
Duclos, sur le chap. v. […] Duclos (Remarq. sur le v. chap. de la I. part. de la Grammaire générale.), l’orthographe ait été parfaite. […] chap. xij.) cite la même phrase comme un exemple de l’énallage ; & d’autres l’ont rapportée à l’hyperbate, Méth. lat. de P. […] I. chap. […] Rem. sur les verbes, chap. ij. art. 5.
Sur le chapitre des finances, il s’était laissé aller à son antipathie naturelle et avait trop oublié qu’il n’écrivait plus en temps de Fronde.
Si vous n’êtes pas riche vous aurez tout ce qu’il vous faut, avec une maison à un étage, simple, propre, un toit caché, un enduit de couleur, quelques bas-reliefs en plâtre, ou un encadrement rustique, un ruisseau large et rapide, s’échappant d’un vrai rocher, un pont tremblant comme celui d’Aline, quelques bancs, peut-être une table de pierre ; une cabane de berger, salon ambulant, monté sur quatre roues ; quelques pins, fiers sans orgueil, quelques peupliers d’Italie, élevés, sans faste, lestes et obligeants ; un saule pleureur, un arbre de Judée, un acacia, un platane, trois plates-bandes de fleurs jetées au hasard, des marguerites sur une partie de votre pelouse, un petit champ de coquelicots et de bluets… Je supprime ici le chapitre des allégories, inscriptions, hiéroglyphes, dont il ne veut pas qu’on abuse, mais que toutefois il accorde, tribut payé au goût du temps : Avec tout cela, dit-il, et un haha 36 environnant et ignoré, qui fait jouir des coteaux, des plaines, des bois, des prairies, des villages et des vieux châteaux des environs, je surpasserais et Kent et Le Nôtre, et, avec vingt mille francs pour tout l’ouvrage et deux cents francs d’entretien, je détournerais de dix lieues tous les voyageurs.
[NdA] La popularité de l’expression, c’est assez l’éloge aussi que Cicéron dans son Orateur (chap.
La Bruyère a très finement touché ce coin singulier, et ce travers d’être en tout l’opposé du commun des mortels, dans le portrait qu’il a donné de Tréville sous le nom d’Arsène (chapitre « Des ouvrages de l’esprit ») : Arsène, du plus haut de son esprit, contemple les hommes, et, dans l’éloignement d’où il les voit, il est comme effrayé de leur petitesse : loué, exalté et porté jusqu’aux cieux par de certaines gens qui se sont promis de s’admirer réciproquement, il croit, avec quelque mérite qu’il a, posséder tout celui qu’on peut avoir, et qu’il n’aura jamais : occupé et rempli de ses sublimes idées, il se donne à peine le loisir de prononcer quelques oracles : élevé par son caractère au-dessus des jugements humains, il abandonne aux âmes communes le mérite d’une vie suivie et uniforme, et il n’est responsable de ses inconstances qu’à ce cercle d’amis qui les idolâtrent ; eux seuls savent juger, savent penser, savent écrire, doivent écrire… À l’heure dont nous parlons, Tréville n’avait point encore eu d’inconstance proprement dite, mais une simple conversion ; seulement il l’avait faite avec plus d’éclat et de singularité peut-être qu’il n’eût fallu et qu’il ne put le soutenir : il avait couru se loger avec ses amis du faubourg Saint-Jacques, il avait rompu avec tous ses autres amis ; il allait refuser de faire la campagne suivante sous les ordres de Louis XIV : « Je trouve que Tréville a eu raison de ne pas faire la campagne, écrivait un peu ironiquement Bussy : après le pas qu’il a fait du côté de la dévotion, il ne faut plus s’armer que pour les croisades. » Et il ajoutait malignement : « Je l’attends à la persévérance. » Tel était l’homme dont la retraite occupait fort alors le beau monde, lorsque Bourdaloue monta en chaire un dimanche de décembre 1671 et se mit à prêcher Sur la sévérité évangélique : il posait en principe qu’il faut être sévère, mais que la sévérité véritablement chrétienne doit consister, 1º dans un plein désintéressement, un désintéressement même spirituel et pur de toute ambition, de toute affectation même désintéressée ; — 2º qu’elle doit consister dans une sincère humilité, et 3º dans une charité patiente et compatissante.
Une fois sur le chapitre du pittoresque, songeant surtout aux jardins anglais, Beyle le fait venir d’Angleterre comme les bonnes diligences et les bateaux à vapeur : le pittoresque littéraire, il l’oublie, nous est surtout venu de Suisse et de Rousseau ; mais ce qui est joli et fin littérairement, c’est la remarque qui suit : « La première trace d’attention aux choses de la nature que j’aie trouvée dans les livres qu’on lit, c’est cette rangée de saules sous laquelle se réfugie le duc de Nemours, réduit au désespoir par la belle défense de la princesse de Clèves. » Même en rectifiant et en contredisant ces manières de dire trop exclusives, on arrive à des idées qu’on n’aurait pas eues autrement et en suivant le grand chemin battu des écrivains ordinaires.
Il établit bien d’abord qu’il n’aspire point à améliorer la condition de l’homme ou la morale de la vie ; il estime que chacun a en soi, c’est-à-dire dans son tempérament, les principes du bien et du mal qu’il fait, et que les conseils de la philosophie servent de peu : « Celui-là seul est capable d’en profiter, dit-il, dont les dispositions se trouvent heureusement conformes à ces préceptes ; et l’homme qui a des dispositions contraires agit contre la raison avec plus de plaisir que l’autre n’en a de lui obéir. » Ce qu’il veut faire, c’est donc de présenter un tableau de la vie telle qu’elle est, telle qu’il l’a vue et observée : « Tous les livres ne sont que trop pleins d’idées ; il est question de présenter des objets réels, où chacun puisse se reconnaître et reconnaître les autres. » Les premiers chapitres des Mémoires de La Fare, et qui semblent ne s’y rattacher qu’à peine, tant il prend les choses de loin et dans leurs principes, sont toute sa philosophie et sa théorie physique et morale.
Et elle entre dans l’explication sur le chapitre de Mlle de Marwitz et sur les sujets de plainte qu’elle a contre elle.
Je signalerai encore dans ce volume les chapitres où sont décrites les trois régions de hauteurs par les végétaux qui y régnent, les hêtres, les pins, les mousses, et l’on a ensuite, en passant aux animaux et d’une manière plus ou moins correspondante, le gracieux, l’incomparable défilé des chèvres (objet d’une lutte restée indécise entre Doré et M.
Il se trouve du premier jour, à cette Cour de Henri IV, placé entre l’enclume et le marteau, comme on dit ; entre du Perron qui le convie, qui le presse, qui le travaille, et le ministre Du Moulin qui le chapitre, qui le remonte et le semonce.
Si elle lit un jour le bon vieux saint de ses amis, saint François de Sales, au chapitre des Amitiés : « C’est bien le mien, remarque-t-elle, le cœur cherche toujours sa pâture.
On peut voir, dans un chapitre de M.
Mais il est beau que sa fortune fasse la fortune publique. » Et songeant moi-même à Villars, à Masséna, à ces grands hommes de guerre qui ont eu des vices, mais qui peuvent aussi montrer dans leur vie ces nobles pages, Rivoli, Essling et Zurich, ou bien Friedlingen, Hochstett et Denain, je dirai qu’il convient de leur appliquer les paroles de Périclès dans l’Éloge funèbre des guerriers morts pour Athènes : « A ceux qui ont de moins bonnes parties il est juste que la valeur déployée contre les ennemis de la patrie soit comptée en première ligne ; car le mal disparaît dans le bien, et ils ont été plus utiles en un seul jour par ce service public, qu’ils n’ont pu nuire dans toute leur vie parleurs inconvénients particuliers. » C’est la conclusion qui me paraît la plus digne pour ce chapitre d’histoire.
Camille Rousset, sont l’objet de chapitres aussi intéressants que solides, et d’un judicieux qui emporte avec soi la conviction.
Antoine de Latour, dans un chapitre sur Cervantes, nous a fait assister à la messe qui se célèbre chaque année pour le repos de son âme.
L’Histoire de la Littérature anglaise est un livre qui se tient d’un bout à l’autre : il a été conçu, construit, exécuté d’ensemble ; les premiers et les derniers chapitres se répondent.
Daunou a essayé dans ce style une Histoire de la Convention, et il n’est pas allé au-delà du premier chapitre.
Tout d’un coup il se réveille en disant : « Il faut assembler le Chapitre. » Il était question de tout autre chose.
Voir surtout, dans le IIIe et le IVe volume, les chapitres qui traitent des affaires du Piémont.
Lemontey, au chapitre II de son Histoire de la Régence, a dit : « Le duc de Noailles, en dirigeant les finances, était de fait un premier ministre, et l’on pouvait également tout craindre ou tout espérer de ce choix hasardeux.
Il s’était bien assez creusé la tête pour mourir un matin d’apoplexie : sans compter qu’à cinquante ans il n’avait peut-être pas encore enrayé sur le chapitre du cœur.
Après le travail, la conversation fut aisément amenée sur le chapitre des vers, que Louis XVIII aimait, comme on sait, et dont il se piquait fort.
Mme de Sévigné loue continuellement sa fille sur ce chapitre des lettres : « Vous avez des pensées et des tirades incomparables. » Et elle raconte qu’elle en lit par-ci par-là certains endroits choisis aux gens qui en sont dignes : « quelquefois j’en donne aussi une petite part à Mme de Villars, mais elle s’attache aux tendresses, et les larmes lui en viennent aux yeux. » Si on a contesté à Mme de Sévigné la naïveté de ses lettres, on ne lui a pas moins contesté la sincérité de son amour pour sa fille ; et en cela on a encore oublié le temps où elle vivait, et combien dans cette vie de luxe et de désœuvrement les passions peuvent ressembler à des fantaisies, de même que les manies y deviennent souvent des passions.
Chapitre premier.
Fior d’Aliza (suite) Chapitre IX (suite) CCLI J’entrai dans le préau et je courus dans la loge d’Hyeronimo ; le père Hilario y était déjà, il était venu lui annoncer que tout espoir de grâce était perdu par l’absence du prince qui voulait chasser le faisan en Bohême, et que le jour de la mort était fixé à trois jours de là pour le condamné ; il recevait sa dernière confession et la promesse de lui apporter le sacrement du mariage et le sacrement de l’eucharistie avec celui de l’extrême-onction, la veille de sa mort.
Chapitre VI.
Chapitre IV.
Chapitre I Le théâtre avant le quinzième siècle 1.
Chapitre I La tragédie de Jodelle à Corneille Continuité de l’évolution du genre tragique. — 1.
Chapitre III Comédie et drame 1.
Chapitre IV L’Histoire Le romantisme suscite un grand mouvement d’études historiques. — 1.
Chapitre III La poésie : V.
(Et je profite de l’occasion pour rappeler aux profanes qu’il y a des chapitres pleins de grâce dans la Vie de saint Dominique et un grand charme de poésie, de tendresse, de piété un tant soit peu rêveuse et romanesque, dans la Vie de Marie Madeleine, dont les religieuses interdisent la lecture aux petites couventines et que M.
Chapitre XI.
Chapitre IV.
Chapitre IV.
Chapitre X.
Chapitre V I.
Sur ce chapitre des vers, finissons-en avec Frédéric.
Il faut voir, dans les Instructions qu’à son tour il adressa plus tard à son fils, avec quelle affection et quelle tendresse il aborde ce chapitre intéressant.
Le maréchal de Berwick, qui se tient au-dessus de toutes ces tracasseries odieuses, rend plus de justice à Orry, et tout porte le lecteur impartial à penser que Mme des Ursins était encore plus nette sur ce chapitre, et qu’elle se sentait, comme elle le dit, très dégagée dans sa taille : « Je suis gueuse, il est vrai, écrivait-elle à la maréchale de Noailles en entrant en Espagne, mais je suis encore plus fière. » Racontant plus tard à Mme de Maintenon les indignités de ce genre dont on les chargeait toutes deux, elle en parle avec un ton de haute ironie et de souverain mépris qui semble exclure toute feinte.
Quelqu’un qui entendait lire ce chapitre à haute voix (ce qui en rend plus sensibles les chimères), disait que cela lui faisait l’effet d’une orgie fénelonienne au clair de lune.
Cet épisode mérite un chapitre à part ; la conséquence fut que de Brosses ne put jamais être de l’Académie française.
Ce superbe morceau est une espece de carte géographique de l’égypte, et, à ce qu’on prétend, le même pavé que Sylla avoit fait placer dans le temple de la fortune Prénestine, et dont il est parlé dans le vingt-cinquiéme chapitre du trente-sixiéme livre de l’histoire de Pline.
Qu’ils se souviennent encore, ils paroissent l’avoir oublié, de ce que les anciens ont dit sur l’étude de la geométrie, et que Quintilien a fait un chapitre exprès sur l’utilité que les orateurs mêmes pouvoient tirer de l’étude de cette science.
., ne sont que les chapitres du même livre, les développements épisodiques de la même idée.
Chapitre III.
Chapitre VI.
Nous l’avons dit au commencement de ce chapitre, malgré l’amour vrai de son pays, dont il eut encore plus pourtant la coquetterie que l’amour, Brizeux, le Breton, n’a pas été assez Breton.
Chapitre II : M.
Chapitre III : M.
Chapitre XXVI.
Chapitre XV.
Chapitre XXIII.
Et ce serait une série de chapitres sur Dieu, sur le gouvernement, sur le cerveau, etc., etc. […] Le docteur Robin, qui pendant ses vacances, s’amuse à créer dans une grande propriété qu’il possède à Dijon, des fraises monstres et des melons noirs, parle d’une vigne possédée par un de ses voisins, vigne appelée : Le clos du Chapitre, et où l’on exploitait encore une mine de fer au milieu du xve siècle. […] Malheureusement ce fameux clos du Chapitre ne produit que quatre ou cinq pièces de vin.
Ainsi, dans le chapitre Du chemin royal de la sainte croix : La croix donc en tous lieux est toujours préparée ; La croix t’attend partout et partout suit tes pas : Fuis-la de tous côtés, et cours où tu voudras, Tu n’éviteras point sa rencontre assurée. […] Paul Verlaine eut un jour avec le Crucifié. — Et voici maintenant quelques strophes, où sont amplifiés trois versets du chapitre De l’amour de la solitude et du silence, de ce chapitre que j’aime tant et qui est un si grand chef-d’œuvre de sagesse et de suavité. […] , « mais justice, lois et besoins à part, ce m’est une chose toujours nouvelle de contempler avec quelle férocité les hommes traitent d’autres hommes. » Et encore : « Il y a une espèce de honte d’être heureux à la vue de certaines misères. » (Chapitre De l’homme. […] Vous rappelez-vous le premier chapitre de la Confession d’un enfant du siècle ? Ce chapitre, nous l’avons tous dans les moelles.
Les vrais commencements de cette histoire, on le sent à n’en pouvoir douter, c’est saint Géryon et la légion thébaine, c’est Ursule et les onze mille vierges ; comme son dernier chapitre est la légende de la cathédrale. […] Pour prendre un exemple, beaucoup de nos lecteurs connaissent certainement Mlle de Klettenberg, cette pieuse amie de Goethe, dont le grand poète a tracé le portrait moral dans le célèbre chapitre de Wilhelm Meister, intitulé : La Confession d’une belle sainte. […] Du reste, écoutons-le parler lui-même ; les pages qu’on va lire sont extraites d’un chapitre intitulé Après une lecture de Sterne. […] J’ai donc lancé ce fragment comme préface ou pour mieux dire comme prospectus de chapitres que j’aimerais à détacher successivement, si mon audace pouvait être excusée. […] Une autre partie de l’œuvre qu’il faut louer encore, ce sont les petits dessins qui ornent les têtes et les fins de chapitres, et qui en résument allégoriquement d’ordinaire les aventures et le sens.
Je passe rapidement sur des chapitres épisodiques qui sont autant de délicates études. […] Un chapitre fort intéressant est celui où l’auteur aborde la question de moralité des candidats. […] Je saute bien des pages, bien des chapitres où figurent des personnages, des individualités très heureusement étudiées, et j’arrive au dénouement. […] Ici commence le second chapitre et le plus dramatique des amours de Philippe. […] Je commence mes extraits au chapitre III ; le roi Charles X est à Rambouillet, attendant le résultat de son abdication et de la désignation qu’il avait faite du duc d’Orléans, comme lieutenant général du royaume.
Pour comprendre à quel point cela est vrai, il faudrait citer ici tout le chapitre de l’Esthétique de Hegel sur le rapport des moyens d’expression musicale avec le sujet exprimé 19. […] Cette indifférence à tout ce qui n’est pas action est le trait saillant du livre de Garibaldi : elle frappe jusque dans les divisions des chapitres, dont chacun presque porte pour titre un nom de bataille. […] Il choisit de très petits sujets attendrissants, puis il les divise méthodiquement en très petits chapitres, et il les traite avec un luxe inouï de détails sur un ton de perpétuelle émotion. […] Après avoir lu les Souvenirs de Paris, qui sont divisés en grands chapitres, et où M. de Amicis semble avoir imité les procédés de nos romanciers contemporains, on n’a de la ville qu’une impression vague et même fausse en bien des endroits. […] Et, pour se rendre compte de la patience et de la sagacité du voyageur italien, il faut lire dans Constantinople le chapitre plein d’observations curieuses qu’il consacre aux chiens errants.
Les chapitres sur Marseille sont à la fois plein d’amour et de réflexion : on n’a jamais mieux rendu, ni d’un trait plus approprié, la beauté de ligne et de lumière de ce golfe de Marseille, cette végétation rare et pâle, si odorante de près, la silhouette et les échancrures des rivages, la Tour Saint-Jean qui les termine, « au couchant, enfin, la Méditerranée qui pousse dans les terres des lames argentées ; la Méditerranée avec les îles de Pomègue et de Ratoneau, avec le château d’If, avec ses flots tantôt calmes ou agités, éclatants ou sombres, et son horizon immense où l’œil revient et erre sans cesse en décrivant des arcs de cercle éternels. » L’histoire civile de Marseille, avec ses vicissitudes et ses revirements, s’y résume très à fond ; son génie s’y révèle à nu, raconté avec feu par le plus avisé de ses enfants. […] Horace Vernet : que ce soit l’idée de la perfection…. » Tout ce chapitre VIII est d’une critique chaude, cordiale et franche ; c’est du Diderot simple.
Ampère, a touché, comme il sait faire, le ton juste de ce même paysage et de la teinte morale qu’on se plaît à y répandre, dans un chapitre de son Voyage dantesque : « “Tout est virgilien à Mantoue, dit-il ; on y trouve la topographie virgilienne et la place virgilienne ; aimable lieu qui fut dédié au poète de la cour d’Auguste par un décret de Napoléon. […] Dans un chapitre du Génie du Christianisme, où il compare Virgile et Racine, M. de Chateaubriand a trop bien parlé de l’un et de l’autre, et avec trop de goût, pour que je n’y relève pourtant pas un passage hasardé qui n’irait à rien moins qu’à fausser, selon moi, l’idée qu’on peut se faire de la personne de Virgile : « “Nous avons déjà remarqué, dit M. de Chateaubriand, qu’une des premières causes de la mélancolie de Virgile fut sans doute le sentiment des malheurs qu’il éprouva dans sa jeunesse.
C’est à qui d’entre eux entassera dans une série de chapitres le plus d’horreurs2. […] Elle vogua longtemps. » Elle vogua, pendant tout un chapitre et l’abonné candide, sans presque s’en apercevoir, avait franchi le pas du réabonnement.
Nous serions vraiment en peine de signaler aux lecteurs de la Revue Wagnérienne un chapitre particulier du livre de M. […] Weber, sérieux, juste et avisé critique, a-t-il traduit ces essais de plaisanteries, bons mots délaissés par le Tam-Tam ; pas une observation : louanges et blâmes de collégien ; nulle intelligence de l’œuvre, ni des sujets, ni de la musique, ni des vers, ni de la représentation… L’auteur est, surtout en les derniers chapitres, favorable à Richard Wagner ; les articles sur Parsifal et la mort de Wagner laissent voir une admiration que l’auteur tâche à dissimuler par un ton badin ; il faut donc mettre son livre au rang des ouvrages pour Richard Wagner : cela importe peu.
Il n’est pas un romancier comme Richardson, par exemple, quoique Richardson ait été le premier ou l’un des premiers feuilletonistes de l’Angleterre, et que Clarisse ait été publiée par chapitres dans un journal, ni plus ni moins que Le Fils du diable ou Le Capitaine fantôme. […] Les chapitres du livre, qui ressemblent à des fermoirs d’or s’ouvrant et se refermant sur le récit, donnent une idée de ce qu’il y a ici d’intéressant et de grandiose.
Le premier chapitre de l’ouvrage remarquable de Weiss70 nous renseigne à cet égard. « La bourgeoisie protestante des villes, écrit-il, se livra à l’industrie et au commerce, et déploya une activité, une intelligence, et, en même temps, une intégrité qui n’ont peut être jamais été surpassées dans aucun pays… Perdus, pour ainsi dire, au milieu d’un peuple qui les observait avec défiance, sans cesse en but à la calomnie, soumis à des lois sévères qui leur commandaient impérieusement une perpétuelle attention sur eux-mêmes, ils forçaient l’estime publique par l’austérité de leurs mœurs et par leur irréprochable loyauté. » Énergiques et obstinés, robustes et endurants, nos Réformés de France, depuis la paix d’Alais jusqu’aux premières années du règne de Louis XIV, firent preuve de la plus extraordinaire, de la plus féconde activité. […] Lorsqu’on parcourt soit telle oraison funèbre, soit tel chapitre de la Politique tirée de l’Écriture sainte, en tenant compte même des mœurs de la monarchie absolue, il est impossible de ne pas être frappé de la platitude des épithètes dont l’évêque accable le roi.
Chapitre I. […] Dans le chapitre qui va suivre, nous ne considérerons plus les états de conscience isolément les uns des autres, mais dans leur multiplicité concrète, en tant qu’ils se déroulent dans la pure durée.
Son malheureux fils, l’âme navrée, s’adressa au chapitre de l’église métropolitaine, et le fit enterrer enfin dans l’église des pères de l’Oratoire (detta de’ Gerolamini), qu’il fréquentait de son vivant, et qu’il avait choisie lui-même pour le lieu de sa sépulture. […] On estime le dernier chapitre, Considérations sur les sciences et les arts). — Traité des sciences métaphysiques, 1764 (divisé en cosmologie, théologie, anthropologie). — Dicéosine, ou science des droits et des devoirs de l’homme, 1767 ; ouvrage inachevé.
On le voit successivement chanoine et comte de Brioude, chanoine et comte de Lyon, c’est-à-dire membre de chapitres pour lesquels il fallait faire preuve de très ancienne noblesse : tout cela n’était pour lui qu’honorifique.
Je demande ici à faire un court chapitre épisodique, à remettre à la prochaine fois ce que je devais dire aujourd’hui de Bernis comme cardinal et ambassadeur à Rome, et à profiter d’un document imprévu dont je dois la communication à la bienveillance de M. le duc Pasquier, ancien chancelier de France.
[NdA] J’ai cherché le passage cité dans Hobbes ; j’en ai trouvé quelque chose dans le De Cive, section Imperium, chap.
Ces essais, dont aucun n’a eu l’excellence ni la popularité de La Tâche, demanderaient un examen attentif et un chapitre développé.
Sur le chapitre des mathématiques, et sur cette géométrie de complaisance dont le goût prit subitement à Voltaire, le nouveau recueil nous fournit quelques lettres qui sont de celles que le commun des lecteurs se contente de parcourir et d’effleurer du regard : un habile homme m’avertit d’y prendre garde, et il me fait lire, en me le commentant, ce passage : Puisque me voilà en train, dit Voltaire en écrivant à un M.
Il indique quelque part un chapitre à faire, de l’influence des femmes sur les élections de l’Académie (Mme de Lambert, Mme de Tencin, Mme Geoffrin, Mlle de Lespinasse, etc.) ; il y en aurait un aussi à écrire sur l’influence dirigeante insensible des secrétaires perpétuels.
Carnot sur son père58 et qui attendent une suite ; et j’en viens au livre dans lequel j’ai à signaler un curieux chapitre que peut-être on n’irait pas y chercher, si l’on n’était averti.
Dans le chapitre intitulé la Critique et les Honnêtes Gens, titre qui rappelle à dessein l’épigraphe de l’ancien recueil périodique le Conservateur et sa célèbre devise : le Roi, la Charte et les Honnêtes Gens, M. de Pontmartin expose ses principes et plante son drapeau.
Mais vous ne pouvez certainement vous attendre qu’un si grand événement se passe sans critique : il conviendrait mal à mon amitié de vous flatter sur ce chapitre.
Il était souverainement injuste de dire que le prince de Conti ne pouvait plus souffrir Mme de Boufflers qui était comme sa femme de la main gauche, et qui faisait si bien les honneurs du Temple et de l’Ile-Adam ; mais il est très-vrai que la passion, des deux côtés, était depuis longtemps bien amortie ; ; le prince avait, depuis dix ans au moins, d’autres maîtresses déclarées, et il ne se contraignait en rien sur ce chapitre.
Les deux premiers chapitres servent d’introduction et de préambule au récit, et y préparent.
Mais c’est là un sujet qui sortirait par trop de notre cadre, déjà tant élargi ; c’est un chapitre qu’il faut laisser à traiter aux historiens littéraires.
Le Chapitre m’a dit des choses qui m’auraient fait pleurer.
Bayle, dans sa Réponse aux questions d’un Provincial (1703), a tout un chapitre là-dessus ; son doute n’existait qu’avant d’avoir lu les lettres ; dès qu’il les a vues, il n’hésite pas à exprimer son sentiment ; les faussaires n’ont pas de ces accents-là : « J’y trouvai, dit-il, tant de caractères d’ingénuité et la nature si parlante, qu’il me sembla qu’un imposteur n’aurait jamais pu déguiser si heureusement son artifice.
Je vous embrasse tendrement ; ne me croyez pas fâchée, mais touchée et occupée de votre bien-être. (30 septembre 1774.) » A un moment elle ne craint pas, elle, l’illustre Marie-Thérèse, de se comparer a ce triste et médiocre trio de Mesdames qui, avec leur vertu, jouaient un si pauvre rôle, et dont elle craignait la mauvaise influence sur sa fille : « Ce qui m’a fait de la peine et m’a convaincue de votre peu de volonté de vous corriger, c’est le silence entier sur le chapitre de vos tantes, ce qui était pourtant le point essentiel de ma lettre, et ce qui est cause de tous vos faux pas… Est-ce que mes conseils, ma tendresse, méritent moins de retour que la leur ?
Le lendemain j’avais précisément rendez-vous le soir chez George Sand pour lui lire quelques chapitres du roman que je faisais alors (Volupté) : elle devait elle-même me lire des pages de Lélia qu’elle écrivait dans le même temps.
Chapitre de la Ville.
La jeunesse ne saurait être trop à cheval sur ce chapitre de la dignité ; il est trop aisé, plus tard, d’en rabattre.
Ce beau chef-d’œuvre terminé, ces messieurs se félicitent et s’applaudissent : je me sauve au jardin, j’y cueille la rose ou le persil ; je tourne dans la basse-cour où les couveuses m’intéressent et les poussins m’amusent ; je ramasse dans ma tête tout ce qui peut se dire en nouvelles, en histoires, pour ravigoter les imaginations engourdies, et détourner les conversations de chapitre qui m’endorment parfois : voilà ma vie. » Et un peu plus loin : « J’aime cette tranquillité qui n’est interrompue que par le chant des coqs ; il me semble que je palpe mon existence ; je sens un bien-être analogue à celui d’un arbre tiré de sa caisse et replanté en plein champ. » Dans tout ceci le style est autre, ou mieux il n’est plus question de style, il n’y a plus d’écolière ; elle cause : sa leçon de rhétorique est finie.
Chapitre V.
Chapitre III I.
Chapitre II.
Chapitre XX.
Chapitre IX,les mythes de Prométhée I. — L’homme avant le feu. — Découverte du feu, ses créations et ses œuvres.
Chapitre XI,les Suppliantes.
Chapitre IV I.
Chapitre XII I.
On a fait sur ce chapitre bien des suppositions et des romans ; rien de plus simple et de plus net que la conduite de Barnave.
À propos de ce chapitre de la santé, la soi-disant Claire écrira à Jean-Jacques : « Avez-vous pu croire que nous en ignorassions le déplorable état ?
Elle a imité Sterne dans deux chapitres, qui sont peu de chose.
Dans l’admirable chapitre de saint Paul sur la Charité, on lit, entre autres caractères de cette vertu divine : « Charitas non quaerit quae sua sunt… Non cogitat malum… La Charité ne recherche point ce qui lui est propre.
La vérité, s’écrie-t-il, il l’a eue en vue jusqu’à lui sacrifier toutes choses : « C’est même cet amour de la vérité qui a le plus nui à ma fortune ; je l’ai senti souvent, mais j’ai préféré la vérité à tout, et je n’ai pu me ployer à aucun déguisement ; je puis dire encore que je l’ai chérie jusque contre moi-même. » Pourtant, s’il redresse si haut la tête sur ce chapitre de la vérité, il convient que l’impartialité n’a pas été son fait ; il sent trop vivement pour cela : On est charmé, dit-il, des gens droits et vrais ; on est irrité contre les fripons dont les cours fourmillent ; on l’est encore plus contre ceux dont on a reçu du mal.
Dans sa Digression sur les anciens et les modernes (1688), il a raison sur presque tous les points, excepté sur le chapitre de la poésie et de l’éloquence, surtout de la poésie, qu’il ne sent pas et qu’il croit posséder et pratiquer.
Quand il composera des ouvrages en prose, tels que son Histoire du droit municipal en France (1829), il ne fera guère autre chose que de mettre en ordre et de classer chronologiquement les notes recueillies dans ses recherches, que de vider ses sacs et de ranger ses matériaux par chapitres avec aussi peu de lien que possible.
Elle conclurait volontiers sur le chapitre de la Cour comme a fait La Bruyère : « Un esprit sain puise à la Cour le goût de la solitude et de la retraite. » Elle aime dans ses Mémoires à moraliser, à donner des réflexions sérieuses qu’elle relève de citations agréables ; elle cite volontiers les poètes espagnols ou italiens, quelquefois Sénèque, plus souvent l’Écriture.
Sur ce chapitre du ridicule il a des observations fines et qui sont d’un vrai moraliste.
Un ambassadeur de Perse en Moscovie écrira à Usbek sur les Tartares une demi-page, qui serait aussi bien un chapitre de L’Esprit des lois (lettre lxxxi) ; Rica, tout à côté, fera la critique la plus fine du babillage des Français et des diseurs de riens en société : puis Usbek dissertera sur Dieu et sur la justice dans une lettre fort belle et qui porte loin.
Pendant qu’il goûtait la douceur de ce travail, ses maladies et la faiblesse de sa complexion encore plus que les affaires l’avaient forcé de s’interrompre, et il y avait suppléé alors par la Succincte narration qui forme le premier chapitre ou plutôt l’introduction du Testament politique ; cette narration est un tableau raccourci, comme il l’appelle, un beau et noble discours abrégé, dans lequel il raconte au roi toutes les grandes actions de ce même roi depuis sa seconde entrée au ministère en 1624 jusqu’en 1641.
Il s’étonne quelque part que Voltaire ait si mal parlé d’Homère dans un chapitre de son Essai sur les mœurs, où tous les honneurs de l’épopée sont décernés aux modernes : « Si cet arrêt, dit Grimm, eût été prononcé par M. de Fontenelle, on n’en parlerait point ; il aurait été sans conséquence : mais que ce soit M. de Voltaire qui porte ce jugement, c’est une chose réellement inconcevable. » Et il donne ses raisons victorieuses tout à l’avantage de l’antique poète.
Si j’avais suivi toute ma pensée, j’aurais intitulé ce chapitre : « Frédéric ou l’amitié d’un roi ».
Chapitre sixième Genèse et action des idées de réalité en soi, d’absolu, d’infini et de perfection I.
Chapitre quatrième L’expression de la vie individuelle et sociale dans l’art.
Coupeau, gouailleur, bon enfant les yeux gais et le nez camus, un peu niais en plusieurs occasions, se trouve montré tel dans sa cour auprès de Gervaise, et résumé de même par ces mots : « avec sa face de chien joyeux » ; aux premiers chapitres du Ventre de Paris est décrite la beauté calme de Lisa, puis des actes, de raisonnable placidité, double trait que condense encore cette apposition répétée « avec sa face tranquille de vache sacrée » : Saccard, brûlé de toutes les lièvres et de toutes les cupidités, est sans cesse suivi des adjectifs « grêle, rusé, noirâtre », comme Renée, possède cette « beauté turbulente » qui concentre la physionomie ardemment avide de joie, et les passions à subites sautes, de celle dont les faits d’égarement tiennent tout le volume.
Il y voyait et traitait familièrement deux assidus de son théâtre, Decker, auteur du Guis Hornbook, où un chapitre spécial est consacré à « la façon dont un homme du bel air doit se comporter au spectacle », et le docteur Symon Forman qui a laissé un journal manuscrit contenant des comptes rendus des premières représentations du Marchand de Venise et du Conte d’hiver.
Ouvrez Samuel, chapitre VIII.
Chapitre II : Rapports de l’histoire de la philosophie avec la philosophie même Après avoir considéré l’histoire de la philosophie dans ses rapports avec l’histoire, il faut maintenant l’observer dans ses rapports avec la philosophie elle-même : c’est le second point de cette étude.
Il faut s’attacher à la date de ce chapitre en le lisant.
Impossible, dans un seul chapitre, de suivre l’auteur des Études dans les discussions auxquelles il se livre sur les quatre sujets que nous avons signalés.
Chapitre I.
Chapitre III.
Chapitre XI : M.
Chapitre X.
Chapitre XX.
De même le Naturalisme, si on veut y comprendre Flaubert et Daudet et Duranty, ne sera pas un bloc et même, si on le restreint à Émile Zola, on est forcé de voir que ceux qui n’ont pas attendu les Trois Villes pour le caractériser, seront forcés d’ajouter un chapitre à leurs travaux pour y étudier la troisième manière de Zola. […] Dupret me proposa d’en éditer les derniers chapitres (nous raisonnions sur plan) ceux qui auraient trait à l’époque que nous traversions, c’eût été une petite grammaire et rythmique symboliste. […] qui m’ôtera cette âme de ce corps » dont l’incantation s’étend en longues et lentes musiques captivantes dans les chapitres Par un soir d’éclipse, l’Androsphynge, l’Auxiliatrice, Incantation, Idylle nocturne, Penseroso. […] On pourrait induire l’antériorité des Illuminations, et, au premier aspect, d’une façon irréfutable, de ce qu’un chapitre d’Une Saison en Enfer, « Alchimie du Verbe », traite d’une méthode littéraire appliquée en quelques poèmes et pages en prose des Illuminations. […] Hugo écrit certains chapitres des Misérables, qui ne paraîtront que plus tard, mais ses poésies et ses discours indiquent son mouvement.
Enfin, qu’on ne cesse de se rappeler que chacun de ces chapitres parut d’abord sous forme d’articles4. […] Ce serait un curieux chapitre de dynamique sociale que celui où seraient inscrites les courbes de l’âme française depuis la fin du xvie siècle jusqu’à nos jours. […] On retrouve dans les Travailleurs de la mer, dans un chapitre intitulé : À maison hantée habitant visionnaire, de curieux renseignements sur la nature d’imagination que Hugo savait être la sienne. […] Ce premier chapitre qui donne son titre à l’ouvrage de M. […] Chantefable est un poème philosophique divisé en chapitres.
C’est sur ce chapitre que le scrupule est le plus vif chez Benjamin Constant. […] Simon et il suffira, pour s’en convaincre, de lire dans la Réforme sociale le chapitre intitulé : l’Agriculture par la famille-souche. […] Ici s’intercale un bien curieux chapitre sur les amis de jeunesse, ces amis que subit et domine tour à tour une intelligence supérieure, les premiers jansénistes, Duvergier de Hauranne et l’abbé de la Cochère, Bérulle, enfin cet énigmatique père Joseph qui fut l’imagination ardente au perpétuel service d’un ambitieux froid. […] Le chapitre qui concerne les ouvriers tire un intérêt capital des préoccupations actuelles. […] Je défie qu’on lise ce chapitre d’un œil sec.
Le lecteur qui voudra bien tourner jusqu’au bout les pages de ce volume remarquera peut-être le lien de continuité qui unit les chapitres du commencement à ceux du milieu et à ceux de la fin. […] Le membre de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres qui rédigera, dans l’Histoire littéraire de la France, le chapitre relatif à M. […] Les chapitres relatifs à l’organisation de l’Université de France sont peut-être, de tous les coins du livre, celui où le lecteur se heurte le plus à des affirmations trop tranchantes et trop dures. […] Le chapitre XXXI, où l’on voit des politiciens former un ministère, est une excellente caricature. […] Ce premier chapitre, un peu long, bariolé de locutions cocasses et drôles, tout constellé et bruissant de joailleries raffinées et dures, expose comment l’âme de Durtal rôda autour de l’Église catholique romaine, sans avoir le courage d’entrer.
Ce point seul pourrait faire tout un chapitre : Lavater et M. […] Sainte-Beuve, dans ses Causeries du lundi, disait : « La physiologie et l’hygiène d’un écrivain sont devenues un des chapitres indispensables dans l’analyse qu’on fait de son talent24. » M. […] Mais cette complexion prodigieusement riche, virile et féminine en même temps, demanderait tout un chapitre. […] — Rien que sur ces deux derniers mots, il y aurait tout un chapitre. […] « Il y aurait tout un chapitre à faire sur l’Esthétique des Yankees.
Il y a des chapitres et il y a des volumes de Jean-Christophe qui interviennent sans qu’on sache (ou bien sans que je devine) leur opportunité. Il y a des chapitres qu’on ôterait sans que la valeur démonstrative de l’ouvrage en fut diminuée ; et l’on présume que l’auteur pouvait, à cet ensemble énorme, ajouter des volumes. […] Il intitulait bien ses chapitres « les armes des Parthes », « la tactique de Jules César », « une coutume de l’île de Céa », « la bataille de Dreux ». […] Les chapitres où M. […] Sauf les chapitres où l’auteur étudie les doctrines des théosophes et spirites, l’ouvrage aurait assez bien l’aspect d’un poème antique, mis en notre langue avec talent.
Il suffirait de nous faire pénétrer un peu plus « dans ce monde de douleurs secrètes, dans cette existence pleine d’amertume et de mécomptes » dont parle l’auteur dans son chapitre préliminaire. […] Alphonse Daudet, mieux avisé, selon nous, a préféré débuter par un chapitre dans lequel sont présentés à la fois le mari, la femme et le futur amant, et qui a pour titre Une noce chez Véfour. […] Le chapitre premier du livre IV est tout entier à biffer. […] Les misères qui peuvent atteindre l’ouvrier honnête et le conduire au bord de l’abîme sont décrites dans les premiers chapitres du livre avec une éloquence mâle et vigoureuse. […] Le premier chapitre de ce roman est admirable et peut être placé à côté des plus belles scènes de Walter Scott.
Les lectrices de Monsieur Bois s’arrêteront longuement à certains chapitres. […] Pour quiconque est de chez nous, le patriotisme, c’est, avant tout, un chapitre de la politesse. […] Et, de ce monument, on devra graver l’image à la fin d’un des plus mauvais chapitres de notre littérature, le chapitre où l’on ne trouve que des « artistes », au lieu d’hommes. […] Lucien Corpechot a écrit un bon chapitre de la philosophie de l’art en France.
Montaigne, en ses Essais, au chapitre xxxive , qui a pour titre : « D’un défaut de nos polices », avait dit : Feu mon père, homme, pour n’être aidé que de l’expérience et du naturel, d’un jugement bien net, m’a dit autrefois qu’il avait désiré mettre en train qu’il veut ès villes certain lieu désigné auquel ceux qui auraient besoin de quelque chose se pussent rendre et faire enregistrer leur affaire à un officier établi pour cet effet : comme « Je cherche à vendre des perles ; Je cherche des perles à vendre ; Tel veut compagnie pour aller à Paris ; Tel s’enquiert d’un serviteur de telle qualité ; Tel, d’un maître ; Tel demande un ouvrier ; Qui ceci, qui cela, chacun selon son besoin ».
Les chapitres en sont fort inégaux.
Sur le côté moral et le chapitre de l’intégrité.
Dans une visite que tous deux font à Iéna, il lui parle longuement (18 septembre 1823) de ses idées en poésie, et cet entretien qui nous est conservé forme un des chapitres principaux de la poétique de Gœthe : « Il me demanda si j’avais, cet été, écrit des poésies : c’est ainsi que l’entretien commença.
Notre ami et voisin Nestor Roqueplan aurait là tout un spirituel chapitre de mœurs à écrire ; je ne l’entrevois que de loin et fort en raccourci.
Mais, même en tenant compte de la fantaisie qui évidemment y a eu très grande part et qui s’y donne toute carrière, le comte Vitzthum croit avoir trouvé le sens et le but de l’ouvrage : selon lui, lorsqu’il le composa, Maurice, qui avait l’œil sur le Nord et qui était dans le secret de certains projets menaçants, songeait surtout à une guerre éventuelle en Pologne et à la manière de l’y conduire : Mes Rêveries seraient donc moins un traité théorique qu’un mémoire ad hoc pour un but spécial déterminé, un ensemble de notes et d’instructions adressées au roi Auguste, son père, et qui reviendraient à cette conclusion : « Si vous voulez faire la conquête de la Pologne, voici comment il faut organiser votre armée : donnez-moi carte blanche et quarante-cinq mille hommes, en deux campagnes, sans livrer une seule bataille, je vous rendrai maître de la république ; cela ne vous coûtera pas un sou. » — Ce point de vue ingénieux et nouveau, qui donnerait une clef à une production un peu bizarre, me paraît exagéré et ne saurait guère s’appliquer qu’à deux ou trois chapitres du livre : l’exemple de la Pologne et les plans de guerre qui s’y rapportent ne viennent à l’auteur que chemin faisant.
» — En est-ce assez pour édifier messieurs les puritains sur le chapitre de la vertu et de la sainteté de Mme Favart ?
Au tome III (page 393 et suivantes) de son grand Traité, il rapprochait cette bataille de celle de Torgau, livrée par Frédéric en 1760, faisant remarquer toutefois que « s’il y avait de la ressemblance dans les résultats des deux affaires, il y avait une grande différence dans les dispositions antérieures et dans l’ordonnance du combat. » Il s’attachait à faire ressortir ce qu’il y avait de grand dans la combinaison première de Napoléon, « indépendamment de ce qu’il avait pu y avoir de fautif dans l’exécution. » Au sujet du retard de Ney, il l’attribuait à ce que l’aide de camp s’était « égaré en chemin », et, supposant les ordres donnés à temps, il concluait que « ce sont de ces choses qu’un général peut ordonner, mais qu’il ne peut pas forcer. » Il est à remarquer que cette phrase d’excuse et apologétique a disparu depuis dans l’édition définitive du Traité (chapitre xxvi), et qu’un paragraphe a été ajouté pour dire au contraire, par manière de critique, que « ces deux sanglantes journées prouvent également combien le succès d’une attaque est douteux, lorsqu’elle est dirigée sur le front et le centre d’un ennemi bien concentré ; en supposant même qu’on remporte la victoire, on l’achète toujours trop cher pour en profiter.
En conscience, on ne saurait demander aux hommes d’avoir des horizons historiques tout à fait hors de leur temps, de savoir ce que nul alors ne savait, de deviner ce qui était caché et ce qui s’était perdu ou altéré au point d’être méconnaissable ; je reviendrai, à l’occasion d’un chapitre de Du Bellay, sur cet article des romans de chevalerie sons lesquels on aurait voulu qu’il retrouvât les chansons de geste.
La description du Bocage, dans le troisième chapitre, était toute de lui ; la préface en prévenait le lecteur, sans quoi on n’eût point songé à isoler le morceau, tant le tout se fondait avec goût et courait avec une grâce sévère.
Chapitre III L’Histoire Origine de l’histoire en langue vulgaire. — 1.
Chapitre I Roman de Renart et Fabliaux Ancienneté de la littérature bourgeoise. — 1.
Chapitre II Clément Marot Les premières années du xvie siècle : les poètes d’Anne de Bretagne. — 1.
Chapitre II Corneille Caractère de Corneille. — 1.
Chapitre II Boileau Despréaux365 1.
Chapitre IV Le patriarche de Ferney Voltaire en sûreté. — 1.
Chapitre V Le roman 1.
Et d’autre part, après avoir ainsi escamoté Gassion, M. le duc d’Aumale nous dit, dans les réflexions qui terminent son chapitre : « Ainsi que Sirot, Gassion sut presque deviner la pensée de son chef et lui donner le concours le plus intelligent et le plus énergique. » Qu’est-ce à dire : « sut presque deviner » ?
Chapitre XIII.
Chapitre premier § I.
Chapitre quatrième Les gains et les pertes de la littérature française au dix-huitième siècle.
Chapitre VIII.
Chapitre X.
On peut, avec Robert Owen, appeler tout ce qui précède période irrationnelle de l’existence humaine, et un jour cette période ne comptera dans l’histoire de l’humanité, et dans celle de notre nation en particulier, que comme une curieuse préface, à peu près ce qu’est à l’histoire de France ce chapitre dont on la fait d’ordinaire précéder sur l’histoire des Gaules.
Nos Mérovingiens, entre autres, embrassèrent la vie romaine avec une naïveté tout à fait aimable, et quant aux deux civilisations ostrogothe et visigothe, elles sont si bien la prolongation immédiate de la civilisation romaine qu’elles ajoutèrent un chapitre important, quoique peu original, à l’histoire des littératures classiques.
Madame Gros fait à ce sujet une réflexion que nous recommandons à ceux qui s’occupent, dans la philosophie de l’histoire, du chapitre important : « Comment le brigand devient gendarme. » « En général, dit madame Gros, ils se communiquent leurs qualités nouvelles, au besoin par des voies de fait, en faveur du bon ordre. » Walch est évidemment un des naufragés dont le sauvetage a laissé le plus profond souvenir dans le cœur de madame Gros, « Il avait quinze ans ; carrure, tournure, visage, crinière, regard, caractère, le tout représentant à merveille le lion du désert dans sa force sauvage. » Quatre années l’avaient à peine apprivoisé, lorsqu’un jour une dame vient à l’école avec une rose rouge jetée coquettement sur un chapeau de velours noir. — Voyez, Mesdames, comme il faut peu de chose pour ramener l’homme à la vertu !
Chapitre XI.
Chapitre IV,Eschyle.
Chapitre II I.
CHAPITRE VII I.
CHAPITRE XIV I.
on peut voir ce petit chapitre imprévu au tome premier de l’ancienne Revue rétrospective de 1833.
Ainsi, dans l’article si distingué sur Othello et sur l’art dramatique, il y a comme plusieurs chapitres qui sont offerts tout d’une pièce, qui ne sont pas détachés et découpés à temps.
Dans un dernier chapitre qui termine le poème, Mme de Girardin dégage cette idée à nu et donne elle-même la clef à qui ne l’aurait pas saisie.
Mais, à ce dîner, la première impression passée, il fut charmant, séduisant, traitant les plus vastes sujets avec une énergie brillante ; et, sur le chapitre de l’Allemagne en particulier auquel M. de La Marck l’amena, il parla encore mieux qu’il n’en avait écrit.
malgré la réserve sur le chapitre religieux, les libres penseurs tels que Diderot se trouvaient encore plus à l’aise chez Mme Necker que chez Mme Geoffrin.
Le sentiment qui anime les derniers chapitres, et qui fait que cet homme au cœur trop desséché par l’air des salons se relève et surnage, par l’intelligence, du milieu de la catastrophe universelle, me rappelle quelque chose du mouvement d’un naufragé qui s’attache au mât du navire, et qui tend les bras vers le rivage.
Ce serait aujourd’hui la matière d’un chapitre assez piquant par le contraste, et qu’on pourrait intituler : « Comment il faut s’y prendre quand on veut mai faire un coup d’État.
Ce qui caractérise bien l’époque, ce sont ces espèces de chapitres de Sterne, ces actes de bienfaisance sentimentale à la Geoffrin, qui servaient comme d’intermède au Mariage de Figaro, et qui en accompagnaient le succès.
Il y a là un chapitre bien délicat à écrire, et dont Cosnac fournirait les principaux traits.
Le Voyage de Volney s’ouvre par la description de l’Égypte et d’Alexandrie, et, dans une suite de chapitres aussi pleins que précis, il va rassembler tout ce qui tient à l’état physique, puis à l’état politique de l’Égypte : ainsi fera-t-il pour la Syrie.
J’ignorais, en rédigeant ce chapitre, le livre de M.
C’est ainsi que, peu à peu, en élargissant sans cesse ses relations, « l’art en est venu à nous mettre en société avec tels et tels héros de Zola. » La cité aristocratique de L’art, au dix-huitième siècle, admettait à peine dans son sein les animaux ; elle en excluait presque la nature, les montagnes, la mer. « L’art, de nos jours, est devenu de plus en plus démocratique, et a fini même par préférer la société des vicieux à celle des honnêtes gens. » Tout dépend donc, conclut Guyau, du type de société avec lequel l’artiste a choisi de nous faire sympathiser : « Il n’est nullement indifférent que ce soit la société passée, ou la société présente, ou la société à venir, et, dans ces diverses sociétés, tel groupe social plutôt que tel autre. » Il est même des littératures, — Guyau le montre dans un chapitre spécial, — qui prennent pour objectif « de nous faire sympathiser avec les insociables, avec les déséquilibrés, les névropathes, les fous, les délinquants » ; c’est ici que « l’excès de sociabilité artistique aboutit à l’affaiblissement même du lien social et moral ».
Chapitre premier La solidarité sociale, principe de l’émotion esthétique la plus complexe I.
. — Le labeur qu’esquissent les chapitres précédents de ce volume paraîtra excessif ; mais les résultats qu’il nous paraît promettre sont dignes de celle peine.
Des visions l’obsèdent, de faibles rappels sonnent dans son souvenir ; un vague fantôme de femme reparaît ainsi, en quelques phrases obscures, à la fin de plusieurs chapitres des Reisebilder ; cette « Maria la morte », dont il croit entendre la « voix soyeuse » dans un vieux palais de Vérone, dont il retrouve le vague visage dans une galerie de très anciens portraits à Gênes : « Dans mon cœur vibrait le souvenir de Maria la morte.
A toutes un fil de fer perce et coud les paupières, comme on fait à l’épervier sauvage, lorsqu’il ne demeure pas tranquille. » Le Purgatoire, chapitre xiii — Nous citons l’excellente traduction de M.
Chapitre II : De la méthode expérimentale en physiologie Quelque justes et lumineux que soient les principes exposés par M.
Tout au plus, pourra-t-il trouver des thèmes à méditations ; or, un roman ne fut et ne sera jamais, que je sache, une suite de méditations présentées en chapitres et groupées selon un certain plan d’unité dans leur ensemble. » En réalité c’était une révolte de la sensibilité contre la discipline8.
Chapitre X Des Livres nécessaires pour l’étude de la Langue Françoise.
Chapitre X.
Et pourquoi, moi qui vais écrire ce chapitre pour la diminuer, et, si je le pouvais, pour la détruire, l’ai-je partagée si longtemps ?
c’était une bonne occasion (à ce qu’il semblait) pour se dégager des derniers empâtements de cette manière, l’esclavage de beaucoup d’esprits, et que nous avons appelée au commencement de ce chapitre : Le bourgeoisisme dans l’histoire, M.
La Critique ne pouvait pas refaire, dans un seul chapitre, un livre en deux volumes comme le livre de M.
L’espace d’un chapitre n’y suffirait pas.
Mais, plus intéressants encore sont les chapitres qui suivent et où l’auteur, après avoir exposé les avantages théoriques de la continence, s’efforce de nous en démontrer les avantages pratiques, « Certes, dit-il, c’est un grand sacrifice que de renoncer aux joies de la paternité.
Chapitre XXVIII.
Chapitre XXIV.
Il ne s’agit que de l’homme ici, et voici le chapitre de la poésie. […] Il y a cependant, dans ses cahiers, un chapitre bien remarquable et où il contredit Aristote lui-même, celui des Fossiles. […] Quant aux naturalistes et à ceux qui s’occupent de l’origine des espèces animales, s’il est parmi eux des chrétiens convaincus, et respectueux du chapitre premier de la Bible, leurs convictions religieuses commencent à se trouver soumises à une épreuve assez rude. […] J’aime aussi les chapitres où il est parlé des relations de Tybert avec « son père et sa mère », mais il y avait là moins de choses nouvelles à dire. […] Le chapitre est beau et des plus émouvants.
Autant de chapitres, autant de documents d’un état intellectuel en mal de croissance, en pleine crise de développement. […] C’est ce que le romancier nous laisse entrevoir dès le premier chapitre de la première partie. […] Réflexions fines, vues ingénieuses, qui sont bien à lui et de lui, sont à noter dans chaque chapitre. […] Tel est dans sa brutalité voulue, et en quelque sorte dicté par la férocité de la logique, ce dénoûment dont, on a écrit — et l’auteur de l’Arlésienne est compétent sur ce chapitre, — qu’il aurait mis en fuite tous les directeurs de Paris. […] Le romancier, semble-t-il, n’a pas assez révélé Clara, — caractère d’exception, — à ses lecteurs, pour que le chapitre xxxi ne les surprenne point par sa rapidité : le fait brutal de la chute de cette femme pouvait être indiqué d’une manière aussi chaste, quoique moins imprévue.
Voici par exemple le chapitre sur la Mémoire affective ou mémoire des émotions. […] C’est avoir de bons yeux que de voir tout cela ; mais encore est-il qu’il y a dans tous ces chapitres de saint Augustin sur la genèse une tendance, (un nisus aussi), pour établir une théorie toute particulière de la création. […] À examiner les choses en conscience, Lamarck et Goethe, voilà les précurseurs ; Darwin et Spencer, voilà les inventeurs, et il ne faut pas étendre Plus loin le chapitre, du moins dans le passé. […] Les titres de chapitres ne seraient pas et ne pourraient pas être : Rose et Blanche ; — Indiana ; — Valentine ; — Les Mauprat, mais bien : Aurélien de Sèze ; — Jules Sandeau ; — Prosper Mérimée ; — Alfred de Musset ; — Pagello ; — Rentrée d’Alfred de Musset ; — Michel de Bourges ; — Chopin, etc. — Je ne sais pas s’il y a un moyen plus sûr de diminuer un poète, un écrivain, et même un homme quelconque. […] Andler se demande dans son dernier chapitre, et c’est à quoi il se garde bien de répondre avec assurance.
Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. […] Madame de Staël (De l’Allemagne, chap.
Chapitre IV. […] Voir, par exemple, son chapitre sur la République de Saint-Marin.
Chapitre I. […] Rien de plus accablant que ces longs chapitres d’ironie soutenue où le sarcasme s’enfonce à chaque ligne plus sanglant et plus perçant dans l’adversaire qu’il s’est choisi.
Chapitre huitième § I. […] J’ai indiqué, au chapitre sur Corneille, quels étaient, au temps de ses premiers ouvrages, les modèles de la tragédie.
Relisez tout le chapitre duquel sont tirés ces passages : vous verrez que ce n’est pas une description aride et sèche, comme on reproche à l’auteur d’en farcir ses romans, mais que c’est toute une page de la vie de son héros. […] Dans ce premier numéro, se trouvaient les premiers chapitres de L’Assommoir, ceux qui avaient déjà paru dans le Bien public et dont les réclamations des abonnés avaient interrompu la publication.
Chapitre VI. […] Tous les matins il se faisait lire en hébreu un chapitre de la Bible, et demeurait quelque temps en silence, grave, afin de méditer sur ce qu’il avait entendu. […] La Restauration refusa de lui payer 2000 liv. sterl. qu’il avait placées sur l’Excise-Office, et lui reprit une terre de 50 liv. par an, achetée par lui sur les biens du chapitre de Westminster.
Chapitre I. […] Matière et Mémoire, Paris, 1896, chap. […] Voir, à ce sujet, Matière et Mémoire, chap. 1.
Chapitre premier. […] où ne pas courir, et par quel chapitre allais-je commencer ? […] Alors on se retrouve avec joie, et l’on s’embrasse, et l’on se dit, en fin de compte, que l’on a encore de longs jours à vivre pour s’aimer… Telle est, ou peu s’en faut, l’émotion de l’écrivain qui retrouve, après tant d’années, les premiers chapitres lombes de sa plume novice ; il hésite, il s’inquiète, il se demande si véritablement il est fâché ou s’il est joyeux de sa découverte ? […] Un peu plus loin, à deux chapitres d’ici, vous retrouverez Marivaux ; il a été pour le feuilleton un texte inépuisable et le sujet d’une profonde étude.
Chapitre V. […] J’ai donc voulu, puisqu’il était question de la comédie et de ses alentours dans les chapitres de ce livre, raconter, par des exemples, les derniers moments de mademoiselle Mars ; j’ai voulu rattacher son souvenir au souvenir de toutes les œuvres qui l’entouraient, et conduire avec tant de soin cette barque funèbre, à travers tant d’écueils, ou pour mieux dire à travers tant de comédies oubliées, que tout parût s’arrêter un instant à la retraite et à la mort de mademoiselle Mars. […] Plusieurs lecteurs curieux qui lisent un livre, uniquement pour apprendre quelque chose, qui font peu de cas de la forme, et qui ne tiennent nul compte de la recherche et des efforts du langage, vont demander à quoi bon ces passages qui ne sont que des longueurs ; pourquoi, par exemple, quatre longs chapitres à propos de Don Juan et pas un mot de L’Avocat Patelin ? […] Ôtez ce passage hardi de monsieur Diderot, effacez quelques vifs chapitres du Gil Blas, et n’allez pas jusqu’à la comédie intitulée : Les Comédiens, de M. […] La Malade i maginaire Il faut cependant que nous nous décidions à quitter Molière et à revenir à mademoiselle Mars, qui nous appelle et qui bientôt va disparaître à jamais de ce théâtre dont elle était l’ornement et la gloire. — À ces causes, vous n’aurez plus que ce petit chapitre qui est la suite du Malade imaginaire, et le chapitre suivant où l’on voit Molière qui préside aux fêtes de la cour.
Tous ces chapitres, voisins en apparence, mais véritablement isolés, se succèdent à l’infini, pareils aux maisonnettes de cantonniers qui bordent les chemins de fer et qui ne sont reliées que par leurs numéros d’ordre. […] Voici un chapitre intitulé M. […] Tout un chapitre pour un parapluie, c’est beaucoup ; mais le pis est que le parapluie se retrouve. […] Qu’un dramaturge (j’y reviens), en dépit de la raison publique et de la logique de la pièce, jette brusquement dans les bras de son père un fils disparu depuis vingt ans ; — qu’un orateur de budget, empêtré dans les chapitres, la tête perdue, et ne sachant plus comment retrouver sa discussion, agite tout à coup devant l’assemblée le drapeau tricolore : tous les deux, orateur et dramaturge, triompheront de leur auditoire. […] (Voir le précédent chapitre.)
Sur ce chapitre de Jules César, Gui Patin, après la Fronde, bien que si peu guéri, eût sans doute pensé différemment : On a imprimé en Hollande, écrivait-il en 1659, un livret intitulé : Traité politique, etc., que tuer un tyran n’est pas un meurtre ; on dit qu’il est traduit de l’anglais ; mais le livre a premièrement été fait en français par un gentilhomme de Nevers, nommé M. de Marigny, qui est un bel esprit.
Il a lui-même de ces distractions qui trahissent la race et l’origine ; il vous dira dès son quatrième chapitre : « Or, dit le conte, que le beau roi Philippe de France (Philippe le Bel) eut trois fils, etc. » ; absolument comme le ferait un romancier.
— La Bruyère avait dit plus brièvement en concluant son chapitre « De la Cour » : « Un esprit sain puise à la Cour le goût de la solitude et de la retraite. » 56.
On peut voir le reste au chapitre vi du tome iv de la bonne édition de Saint-Simon.
En écoutant les critiques de la châtelaine de Coppet et des hôtes distingués qui s’y trouvaient réunis, Bonstetten jugeait ses juges eux-mêmes : sur ce chapitre de l’Italie, il sentait bien le défaut de la cuirasse chez Mme de Staël : « Elle est d’une extrême bonté ; personne n’a plus d’esprit ; mais tout un côté est fermé chez elle ; le sentiment de l’art lui manque, et le beau, qui n’est pas esprit et éloquence, n’existe pas pour elle. » Ceci était parfaitement vrai de Mme de Staël avant Corinne et le séjour en Italie.
M. de Chateaubriand, se souvenant de quelques chapitres très beaux de L’Esprit des lois, terminait le Génie du christianisme en se posant cette question : « Quel serait aujourd’hui l’état de la société, si le christianisme n’eût point paru sur la terre ?
Marais continuera d’être très attentif et très vigilant sur le chapitre de Voltaire, et il aura l’honneur de le bien comprendre, au moins dans sa première moitié, celle de la poésie.
Le vice de l’ouvrage n’est pas dans tel chapitre en particulier, il est dans la monotonie du sujet et le peu d’art qui m’a empêché de combattre cette monotonie naturelle : on ne peut juger un semblable défaut qu’en lisant le livre d’une haleine.
Un voyageur qui visita la Trappe du temps de l’abbé de Rancé raconte qu’étant au réfectoire pendant qu’on lisait quelque chapitre du Lévitique, il entendit un endroit qui l’effraya : Exterminaituur de populo anima ejus qui non fecerit Deo sacrificium in tempore suo, « et je compris mieux que jamais, dit-il, quel malheur c’est que de manquer le temps du sacrifice. » — Celui à qui est dû le Génie du Christianisme ne manqua point ce moment ; il sut mettre, à l’heure marquée, son talent en offrande sur l’autel : l’éclair brilla, mais alors même tout se répandit en lumière et en encens.
Il y a nombre de chapitres qui nous semblent l’idéal de la beauté théologique telle qu’elle resplendit en plusieurs pages de la Cité de Dieu ou de l’Histoire universelle, mais ici plus frugale en goût que chez saint Augustin, plus enhardie en doctrine que chez Bossuet, et aussi, il faut le dire, moins souverainement assise que chez l’un, moins prodigieusement ingénieuse que chez l’autre.
On rencontre fréquemment chez lui des sentences du genre de celle-ci, dans les Célibataires : « Il n’y a qu’un homme de génie ou un intrigant qui se disent : J’ai eu tort. » Et dans la Recherche de l’Absolu, dès les premiers chapitres, à propos de Claës : « Les gens d’esprit sont variables autant que des baromètres, le génie seul est essentiellement bon. » Mais il est temps de le dire, à travers toutes ces chimères de l’alchimiste et du romancier qui semblent ne faire qu’un, ce qui ressort à merveille, c’est l’insatiable espoir de l’adepte ; ce qui règne et palpite, c’est sa fièvre ardente, incurable, une fièvre d’avide crédulité.
Ces chapitres, dans lesquels le drame romanesque de Perez rejoint et traverse les grands intérêts de l’histoire, et où les deux ressorts se confondent, sont d’un suprême intérêt ; et en tout, dans le cours de cette publication épisodique, M.Mignet a su combiner le genre de piquant qui tient à une destinée individuelle et aventurière, avec la gravité habituelle qu’il aime dans les conclusions.
Chapitre II.
Chapitre IV.
Chapitre II Les romans bretons Abondance de littérature narrative. 1.
Chapitre II Le théâtre du quinzième siècle (1450-1550) 1.
Chapitre IV Le théâtre romantique Premiers essais. — 1.
Chapitre douzième § I.
C’est, pour les uns, motif à se distraire du monotone ennui de vivre et, pour les autres, matière à enrichir leur sensibilité et vivre un chapitre de la « Culture du moi ».
Je ne serai pas aussi tenace que Job sur le chapitre de mon innocence.
Chapitre X.
Chapitre XIII.
Chapitre II :La Psychologie.
Chapitre XIV,l’Orestie. — Agamemnon.
Chapitre Premier I.
Chapitre VIII I.
Chapitre XV I.
[NdA] Sur ce chapitre de l’art et des artistes du xviiie siècle au point de vue du goût Pompadour, je ne puis que rappeler une quantité de gracieux portraits littéraires de M.
Comme premier président de la Cour des aides, la carrière de Malesherbes demanderait tout un chapitre ; il suivit la ligne de conduite des hommes les plus courageux et les plus indépendants de l’antique magistrature française, se signala par des remontrances énergiques et qui touchaient aux grands intérêts de la nation, ne rechercha en tout que la droite équité, et, s’il rencontra la popularité dans cette voie, du moins il n’y sacrifia jamais.
La marquise trouve moyen d’attaquer Mirabeau sur le chapitre de la Belinde, et celui-ci se défend, en homme de bonne compagnie, de l’avoir jamais aimée : Veuillez m’en croire, Madame la marquise, si vous en exceptez un petit nombre de moments qui sont bien courts quand aucun intérêt ne les précède et ne les suit, j’y ai trouvé beaucoup d’ennui ; mais je n’y restais pas autant que vous l’avez pu penser.
Chapitre I.
À sept heures on dîne, et aussitôt le dîner, après une seule pipe fumée, la lecture recommence, et nous allons de lectures en résumés de morceaux qu’il analyse, et dont quelques-uns ne sont pas complètement terminés, nous allons jusqu’au dernier chapitre.
« Oui, j’ai encore deux chapitres à écrire… le premier sera fini en janvier, le second je l’aurai terminé à la fin de mars ou d’avril.
Chapitre II.
IV, chap. 7 et 8.
Chapitre IX.
Chapitre vi Les socialistes Les socialistes étaient bien inquiets à la fin de juillet et au début d’août 1914, inquiets comme nous tous, et davantage, car ils s’étaient persuadés que l’Allemagne ne voulait pas la guerre, et que, si jamais le Kaiser la tentait, les camarades allemands s’y opposeraient jusqu’à déclancher une anti-guerre.
Chapitre x Les soldats de vingt ans se dévouent pour que naisse une France plus belle A Edmond Rostand, après avoir entendu le Vol de la Marseillaise.
Chapitre I.
Chapitre premier.
Chapitre XI.
Son idée première était de donner Atala et René comme chapitres du Génie du Christianisme, à leur rang dans l’ouvrage, entre l’article sur les missionnaires, par exemple, et l’article sur les sœurs de charité, ce qui eût été un peu plus qu’une faute de goût, René lui-même a paru d’abord dans le Génie. […] Prouver la Trinité par les trois Grâces, appuyer le célibat ecclésiastique par la loi de Malthus, démontrer la divinité de la croix par la constellation de la croix du Sud ; ne pas dédaigner les causes finales puériles, comme celle des oiseaux migrateurs qui nous arrivent quand la terre n’a plus de fruits, dans le dessein d’être mangés, et celle des animaux domestiques qui « naissent précisément avec le degré d’instinct nécessaire pour être apprivoisés » ; mêler constamment (dans un ouvrage d’apologétique) le merveilleux chrétien et le merveilleux païen ; mettre des naïades dans le Génie du Christianisme, Priam, Platon et Diane dans le chapitre sur le vœu de chasteté ; intituler un chapitre du Génie : « Si les divinités du paganisme ont poétiquement la supériorité sur les divinités chrétiennes », — ô poète, comme tout cela est séduisant, et gracieux et captivant, dit par vous ; mais comme il importe de n’y pas regarder de trop près, si l’on ne veut pas sourire ; et en étudiant vos preuves, comme il faut être croyant pour se laisser convaincre ! […] Comme il aime les interminables nomenclatures des grands hommes, il aime aussi à entasser, dans des énumérations brillantes des titres d’idées, sans en écrire le chapitre.
Quand on lit ce chapitre égaré dans un livre de théologie (. […] Ses mots les plus éloquents lui viennent de son ardeur à le poursuivre ou à le rêver : « Ils réduisent à chercher la gloire ceux qui se seraient contentés de l’affection. » — « En cherchant la gloire (dit Corinne), j’ai toujours espéré qu’elle me ferait aimer. » — « La gloire elle-même ne saurait être pour une femme qu’un deuil éclatant du bonheur. » Et, tout à la fin de son Allemagne, quand elle arrive au chapitre de l’Enthousiasme, de quel ton elle s’écrie : « Il est temps de parler du bonheur ! […] Le chapitre le plus beau de la Littérature est le chapitre sur Shakespeare. […] Son chapitre sur la mysticité est bien curieux. […] Ses journées sont combles, remplies à craquer ; lectures, visites, lettres, un chapitre refait dix fois ; car il n’est jamais content ; amours commencées, laissées, reprises, s’entrelaçant, avec des désespoirs, des dégoûts et des enthousiasmes. — Rentré chez lui, il écrit dans son journal que tout cela est idiot, et se moque cruellement de lui-même.
. — Vraiment, c’est un chapitre de l’Imitation que cette ligne prétendue féroce. […] Il n’y est guère rendu hommage qu’aux savants étrangers, il y est parlé de Descartes avec le plus impertinent dédain, Pascal n’y est pas nommé, mais en revanche Bacon, Galilée, Torricelli, la Société royale de Londres y sont encensés comme il faut, et le chapitre se termine… par ces premières lignes du chapitre suivant : « La saine philosophie [c’est-à-dire la science] ne fit pas en France de si grands progrès qu’en Angleterre et à Florence ; et si l’Académie des Sciences rendit des services à l’esprit humain, elle ne mit pas la France au-dessus des autres nations. […] Ses lettres sont plus enchevêtrées que ses chapitres. […] Il y a un chapitre, qui est en soi absolument nécessaire, et qui, par la manière dont tout le reste du volume est présenté, devient inutile ou semble l’être. […] Il s’est aidé : du chapitre très exact écrit sur Lassalle par le judicieux Laveleye dans son Socialisme contemporain ; du Socialisme en Allemagne de M.
J’aimerais autant conclure, de la proverbiale plaisanterie de Molière, l’existence, dans quelque traité d’Hippocrate, du fameux chapitre des chapeaux. […] Munier-Jolain, que le sujet n’ait encore tenté personne, ou du moins qu’à peine en ait-on tracé quelques rares chapitres. […] Pellissier la saisît, et qu’il écrivit, qu’il esquissât du moins un chapitre de notre histoire littéraire qui nous manque. […] Pellissier, dans le chapitre qu’il y consacre, l’explique par d’autres causes dont, à la vérité, je n’ai garde de nier l’importance, puisqu’au contraire je les trouve trop générales et trop hautes. […] Pellissier de le dire ; et tout occupé, dans son chapitre sur la Critique, de définir la méthode générale de M.
Je ne suis pas éloigné de croire que vous avez raison, quand même, pour mon compte personnel, je ne vais pas aussi loin que vous dans la voie du néo-christianisme Ce sont là des points que je reprendrai dans mes conclusions, mais que je tenais à indiquer ici, pour justifier le choix des sujets et l’ordre des chapitres. […] Renan a échafaudé peu à peu, chapitre à chapitre, auquel il a travaillé sans cesse, dans ses recherches historiques, dans ses dialogues et dans ses drames philosophiques, dans ses discours académiques et dans ses toasts à des banquets divers. […] Il suffit, pour s’en convaincre, de parcourir les chapitres du quatrième livre de son grand ouvrage, qu’il consacre à l’analyse de la justice, de la bonté et de la pitié. […] Cependant, cinq ou six ans plus tard, les derniers chapitres des Mensonges introduisaient dans l’œuvre déjà considérable de M. […] Il ne sera que conséquent : sans doute, si l’on veut, « moralité et beauté sont synonymes en art ; un chant de Virgile vaut un chapitre de Tacite » ; mais pourtant, quelque belles qu’elles soient, des œuvres qui ne sont que belles, ne serviront guère les intérêts de la race, dont le développement esthétique, qui la complète, est moins important que le développement moral ; et les individualités qui se manifestent dans les œuvres littéraires, si elles ne songent qu’à la qualité esthétique de leurs écrits, tomberont tôt ou tard dans le charlatanisme où dans l’acrobatie, se réduiront à l’emploi de gymnastes, d’acteurs forains !
Chapitre I. […] Dans ce chapitre il a rassemblé une foule de traits qui marquent la persistance de l’ancienne mythologie.
Chapitre III. […] Trouverait-on mieux aujourd’hui dans un chapitre d’Allemagne, dans la plus décente et la plus jolie couvée de chanoinesses sentimentales et littéraires ?
Ce soir nous avons vu, pour la première fois, « l’homme masqué », une figure du paladin du biceps, qui nous est restée, ainsi qu’une apparition du Chevalier noir, dans le chapitre d’un roman de Walter Scott. […] À faire, dans Napoléon, tout un chapitre sur cette tête, un monde, — ce cerveau plein des affaires du monde et des comptes de boutons d’une armée4.
II, chap. 28. […] Car alors on ne demanderait pas quelles étaient ses « idées sur la guerre » ; on connaîtrait la Politique tirée de l’Écriture Sainte; et y aurait vu, dans le chapitre intitulé : Que Dieu n’aime pas la guerre, les paroles suivantes : « Dieu refuse à David son agrément (pour bâtir le temple) en haine du sang dont il voit ses mains toutes trempées.
Chapitre I. […] Même, c’est cet aspect de la question qui nous préoccupera d’abord dans les deux chapitres qui vont suivre, parce que c’est par ce côté que notre hypothèse comporte, en quelque sorte, une vérification expérimentale.
Clément VII lui accorda sa demande, à cette seule condition qu’il se présenteroit, une fois tous les ans, à son provincial, dans le temps du chapitre des frères mineurs de l’observance. […] Le temps où les cordeliers tenoient leur chapitre étant arrivé, frère Matthieu fut se présenter à son provincial, selon l’ordre qu’il en avoit du pape, & frère Matthieu fit une sottise. […] L’an 1682, les carmes y tinrent un chapitre provincial. […] Le jeune carme, qui eut le courage de soutenir tant de visions en plein chapitre provincial, concluoit d’une manière flatteuse pour l’assemblée. […] D’ailleurs il n’y étoit point parlé de suivre ou de ne pas suivre l’ange de l’école sur le chapitre de la prédestination.
De l’Allemagne, IIe partie, chapitre ii]. […] I, chap. […] Voltaire, dans ses Discours sur l’homme]. — Les Nouvelles Méditations [Cf. le chapitre de M. […] 2º De 1837 à 1850 ; — ou, du cours de Lausanne sur Port-Royal au cours de Liège sur Chateaubriand et son groupe littéraire. — C’est la période vraiment féconde ; — celle où s’opère dans la critique de Sainte-Beuve, dégagée du romantisme, — le rapprochement de la critiqué qui « sent » et de la critique qui « explique » ; — par l’intermédiaire d’une connaissance plus exacte et plus approfondie de l’histoire. — Du livre de Port-Royal, et de son importance à cet égard. — Comment trois choses y sont menées de front, lesquelles sont : — l’examen des œuvres ; — l’analyse des sentiments ; — et l’appréciation ou le jugement des idées [Cf. notamment les chapitres consacrés à Pascal]. — Comment trois qualités s’y unissent et s’y fortifient l’une l’autre : — la précision de l’historien ; — la subtilité du psychologue ; — la décision du juge [Cf. notamment les chapitres sur Montaigne ; — Saint François de Sales ; — Corneille ; — Boileau]. — Et comment enfin, de l’exemple ainsi donné, trois obligations définies en sont résultées pour la critique : — l’obligation d’expliquer ; — l’obligation de classer ; — et l’obligation enfin de tendre par le moyen de l’interprétation des œuvres à une connaissance « philosophique » de l’esprit humain. — Qu’il n’est pas douteux que, pour toutes ces raisons, Port-Royal soit l’un des grands livres de ce siècle ; — et l’œuvre de Sainte-Beuve, en général, l’une des plus originales de notre temps ; — comme enfin l’une des plus fécondes en conséquences.
Le plus curieux de tous, peut-être, celui où je retrouve, avec l’accent le plus vivant, le contemplateur, ce n’est pas celui de Mlle Paul Poisson, fille de Du Croisy, que je citais dans une note du chapitre premier, c’est le portrait qu’a tracé de Molière l’auteur de Zélinde, ou la Véritable Critique de l’Ecole des femmes. […] Paul Albert dans son livre sur La Littérature française au xviie siècle ; tout a été dit et redit. » Sans doute, et aussi bien n’avons-nous eu, en réunissant ces quelques chapitres, d’autre prétention que de témoigner d’une admiration personnelle pour un tel génie. […] Édouard Fournier, Le Roman de Molière, le chapitre consacré à Molière, d’après le registre de La Grange. […] * Voir ce que nous avons dit du talent d’imitation de Molière au chapitre intitulé Molière comédien.
La réaction Le lecteur sera peut-être étonné que nous ayons commencé notre chapitre sur le traditionalisme par un exposé qui concernait son contraire, cet antitraditionalisme, ce mouvement vers la gauche, ce sinistrisme immanent de la vie politique française. […] Le jour où nous écrirons un Politiques et Moralistes au xxe siècle, qui ferait plus ou moins suite aux trois volumes de Faguet, il nous faudrait consacrer sans doute à Barrès et à Maurras deux des principaux chapitres. […] Un chapitre De l’opportunité d’un opportunisme serait peut-être indiqué au cours de nos propos, si on les voulait plus complets. […] Si j’avais écrit mon livre dans le premier quart de siècle de la Troisième République, le chapitre sur la démocratie chrétienne n’y aurait sans doute pas figuré.
Puisque nous sommes sur le chapitre de Sophie Arnould, glanons dans le livre des Goncourt. […] Dans les chapitres de ses Origines du Christianisme qui se rapportent à des événements ou à des états de civilisation que nous pouvons connaître par les écrivains grecs et latins, il est facile de voir qu’il fut un historien et un interprète des textes aussi exact et aussi scrupuleux que s’il n’avait pas eu de génie. […] Je laisse de côté Regnard, que je connais bien aussi, ayant écrit sur lui tout un chapitre dans ma thèse de doctorat. […] Une conférence n’est pas plus une leçon de Sorbonne ou un chapitre de critique qu’un drame ou une comédie n’est un poème ou un roman. […] Cécile apprend un soir le vrai nom et la vraie condition de son amoureux, et comprend tout de suite pourquoi il s’est montré si discret sur le chapitre du mariage.
Mais le chapitre des accidents, des maladies ?
Garnier-Pagès tome IV, chap.
On peut citer, comme exemple en ce genre, les pages sur la ruine de la civilisation arabe et les pensées, aussi élevées qu’émouvantes, par où il conclut le chapitre II de sa Littérature du Midi.
Il nous l’a prouvé dans sa Préface, et il ne le montre pas moins dans le chapitre final où il s’est réservé de traiter en détail de la pureté et de la netteté du style, deux qualités qu’il prend soin de distinguer et qui se complètent sans, se confondre.
Depuis 1803, d’où date la création des secrétaires perpétuels, on pourrait écrire une histoire de l’Académie par chapitres inscrits à leur nom.
Lerminier, après avoir dû au préalable méditer ses sujets en philosophe et en penseur, s’en est emparé tout d’un coup en artiste ; l’enthousiasme de Diderot semble avoir passé dans celui qui le célèbre et qui célèbre les trois autres ; ces quatre chapitres sont comme un poëme, en quatre hymnes, qui s’adressent tour à tour à chacun des membres de ce quaternaire sacré de la philosophie.
Mme Roland, dans ce qui est dit au chapitre des Considérations sur le groupe des Girondins, brille par son absence.
On conçoit donc qu’il y aurait dans ce sujet matière à une discussion délicate, et qu’on en pourrait faire un piquant chapitre qui traverserait l’histoire littéraire du xvie .
On se plaint souvent que la littérature actuelle ne soit pas plus forte, plus élevée, plus semblable à celle des siècles précédents, des grandes époques précédentes : je ne sais ce que ces plaintes ont de fondé ; nous sommes trop juge et partie peur avoir voix au chapitre dans la question ; mais, en admettant le fondé du reproche, comment voulez-vous que la littérature, la véritable, celle qui a son inspiration propre, celle qui n’est animée ni du désir du gain ni de l’ambition des honneurs, mais qui a sa verve naturelle, originale, son goût de fantaisie ou de vérité, et d’une vérité piquante et parfois satirique (car ce ne sont pas les sujets qui manquent), comment voulez-vous que cette littérature qui sacrifie tout à elle-même, à sa propre satisfaction, au plaisir de rendre avec art, avec relief, et le plus excellemment possible ce qu’elle pense, ce qu’elle voit et dans le jour sous lequel elle le voit, comment voulez-vous qu’elle ait toute sa vigueur, sa joie, sa fierté et son indépendance, si, à tout moment, l’écrivain qui tient la plume a à se faire cette question : « Aurai-je affaire ou non à messieurs du parquet, à messieurs de la police correctionnelle ?
Chapitre III I.
Chapitre II.
Chapitre II.
Seulement un bel hymne à l’avenir termine ce chapitre.
Dans ce manuscrit, chaque pensée principale formait un chapitre, chaque phrase un alinéa.
Chapitre V.
Chapitre IV Racine 1.
Chapitre premier § I.
Il fonde la Revue contemporaine en 1885 et publie en 1888 les Études sur le xixe siècle, ouvrage dans lequel il consacre un chapitre à Wagner et l’esthétique allemande.
La signification réelle et idéale du Trésor des Nibelungs y est traitée à fond ; ensuite, dans un chapitre intitulé « Transformation du contenu idéal de la légende du Trésor des Nibelungs en la légende du Saint Gral », Wagner montre la connexité des deux.
Chapitre XII,les sept chefs devant Thèbes.
ce sera chose perdue plus tard… Dans les premiers chapitres de ses Paysans, M. de Balzac a tracé une peinture des paysans comme les a faits la Révolution.
Maintenant, il adoptera ma méthode, il fera le dernier chapitre avant la fin, au moment de l’empoignement.
Chapitre deuxième Le génie, comme puissance de sociabilité et création d’un nouveau milieu social I.