/ 2845
2603. (1880) Goethe et Diderot « Diderot »

Ce sont tous des utilitaires, des briseurs d’images, des iconoclastes, qui se serviront de toutes les formes de la pensée dans l’intérêt de leur métaphysique impie. […] L’édition complète des frères Garnier servira, du moins, à éclairer la Critique ignorante, en l’accablant et en l’ennuyant de choses illisibles. […] Nous avons reconnu par une funeste expérience que quarante ans de déclamation et de pathos sur l’humanité, la sensibilité, la bienfaisance, n’avaient servi qu’à préparer les cœurs à tous les excès de la barbarie. » Il y a certainement de la colère dans ce mépris terrible de Geoffroy, et cette colère, quand, en 1811, on touchait encore au bois sanglant des échafauds, était légitime ; mais le temps, qui a glacé ce mépris furieux, ne l’a pas effacé.

2604. (1884) La légende du Parnasse contemporain

Ce groupe de jeunes hommes a-t-il produit des œuvres remarquables, a-t-il bien servi la cause de la poésie, a-t-il été utile, n’a-t-il pas été sans influence sur la littérature contemporaine ? […] Sa poitrine robuste et souple, Libre de corset et de busc, À sa large épaule s’accouple ; L’odeur du foin lui sert de musc. […] En attendant le dîner toujours servi à deux heures précises, la causerie commençait dans le salon vaste et clair où tout l’air des montagnes et des lointains mouillés entrait par quatre fenêtres ouvertes. […] À quoi bon, en effet, ces voûtes azurées qui ne servent à rien, qu’à défrayer les imaginations maladives des derniers songe-creux ? […] Mais alors si tu n’as pas l’excuse d’être vraie, si tu ne peux pas avoir cette excuse, — valable aux yeux de certaines gens, — à quoi te sert d’être infâme et quel intérêt veux-tu que je prenne à ton ignominie ?

2605. (1891) Esquisses contemporaines

Les livres, dès lors, manquent le but que visaient leurs auteurs, mais ils en atteignent un autre : ils gagnent en intérêt psychologique ce qu’ils perdent en intérêt littéraire et peuvent servir au moraliste. […] Le vouloir se meurt dans cette atmosphère énervante des sensations raffinées ; les croyances ne subsistent plus qu’à l’état de vestiges ; sans pouvoir sur la vie, elles ne servent plus qu’à revêtir le sentiment du manteau de leur poésie. […] Secrétan, sans renier aucune des certitudes qu’implique le devoir, et tout en réservant à ce dernier le rôle suprême qui lui convient, élargit le champ de ses recherches : il ajoute au devoir l’amour et le besoin de servir au bien général de la société. […] Que nous sert d’approfondir les choses si nous ne nous connaissons pas nous-mêmes ? […] La sincérité avec soi-même, que Vinet plaçait aux moelles de la conscience et dont il se servait pour faire saillir les besoins supérieurs de l’âme et leur conformité avec l’Évangile, Scherer l’applique à la raison raisonnante.

2606. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Le prince de Ligne. — I. » pp. 234-253

Dans l’histoire du pittoresque en notre littérature, les esquisses et paysages du prince de Ligne à propos de Belœil peuvent servir assez bien de date et de point de mesure.

2607. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « M. de Stendhal. Ses Œuvres complètes. — II. (Fin.) » pp. 322-341

La prompte introduction de ce jeune homme timide et honteux dans ce monde pour lequel il n’avait pas été élevé, mais qu’il convoitait de loin ; ce tour de vanité qui fausse en lui tous les sentiments, et qui lui fait voir, jusque dans la tendresse touchante d’une faible femme, bien moins cette tendresse même qu’une occasion offerte pour la prise de possession des élégances et des jouissances d’une caste supérieure ; cette tyrannie méprisante à laquelle il arrive si vite envers celle qu’il devrait servir et honorer ; l’illusion prolongée de cette fragile et intéressante victime, Mme de Rênal : tout cela est bien rendu ou du moins le serait, si l’auteur avait un peu moins d’inquiétude et d’épigramme dans la manière de raconter.

2608. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « M. Daru. Histoire de la république de Venise. — II. (Suite.) » pp. 434-453

Ce fut d’abord au camp de Boulogne, où il servait sous M. 

2609. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « La Margrave de Bareith Sa correspondance avec Frédéric — I » pp. 395-413

Séduit par l’esprit de Voltaire, Frédéric tient bon tant qu’il peut contre les tracas et les zizanies qu’a engendrées son séjour ; il exprime pourtant à ce sujet plus d’une pensée de pur bon sens et de morale pratique, et qui peut servir de leçon aux littérateurs de tous les temps : Après avoir goûté de tout et essayé de tous les caractères, écrit-il à sa sœur (29 décembre 1751), on en revient toujours aux personnes de mérite : Il n’y a que la vertu de solide, mais elle est rare à trouver.

2610. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Le journal de Casaubon » pp. 385-404

Je désire, ô Seigneur Jésus, te servir fidèlement ; je désire être trouvé dans ta barque, et que les miens et tout ce qui est à moi y soient trouvés également ; c’est mon plus ardent désir.

2611. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Correspondance de Béranger, recueillie par M. Paul Boiteau. »

Barthe), qu’il sollicitait souvent pour d’autres et qu’il trouvait toujours prêt à le servir ; il répondait à M. 

2612. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Histoire de Louvois et de son administration politique et militaire, par M. Camille Rousset, professeur d’histoire au lycée Bonaparte. (Suite et fin) »

Rousset nous en fait mieux apprécier que personne la nécessité, la justesse, la grandeur, et c’est à ce même moment qu’il se montre sévère ou un peu dédaigneux pour le monarque, lui si judicieux et si équitable envers tous ceux qui l’ont servi.

2613. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Les frères Le Nain, peintres sous Louis XIII, par M. Champfleury »

Un fait isolé ne prouve rien, et, comme dit le proverbe, une hirondelle ne fait pas le printemps ; mais des séries de faits ou d’objets sont des témoins irrécusables, et qui servent de fondement ou de garantie à toute histoire naturelle, sociale, politique.

2614. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « Horace Vernet »

Son nom aussi le servait et le désignait à l’attention.

2615. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « Oeuvres inédites de la Rochefoucauld publiées d’après les manuscrits et précédées de l’histoire de sa vie, par M. Édouard de Barthélémy. »

É. de Barthélémy est si inoffensif, si indulgent même pour ses devanciers et pour ceux qu’il croit devoir contredire à l’occasion, qu’on hésite à venir troubler son contentement en disant ce qu’on pense de son travail, surtout quand il nous apporte quelques parcelles inédites d’un grand esprit : et pourtant il est sujet à parler à tout instant d’un excellent écrivain dans une si singulière langue, il apprécie un moraliste profond d’une manière si superficielle et si peu logique, qu’on ne peut s’empêcher vraiment de se demander à quoi bon toutes ces poursuites et ces religions du XVIIe siècle, avec toutes les belles lectures qu’elles supposent, si elles ne servent à vous former ni le jugement, ni la langue, ni le goût.

2616. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Gavarni. (suite) »

Elle y mêle parfois un peu de Montaigne, mais pas à dose suffisante pour servir de correctif.

2617. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Le maréchal de Villars. »

Voisin, dans une lettre au comte de Broglie qui servait sous Villars et commandait les réserves de l’armée, écrivait à la même date : « On prétend que le prince Eugène doit se déterminer ces jours-ci à faire un nouveau siège de Landrecies ou de Maubeuge.

2618. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Théophile Gautier (Suite et fin.) »

Delécluze seul avait manié le pinceau ; mais son instruction, très-réelle et estimable quand elle se tenait dans le domaine historique, ne servit guère à lui affiner le goût.

2619. (1867) Nouveaux lundis. Tome VII « M. Émile de Girardin. »

« Ces préparatifs peuvent n’avoir rien d’horrible, lorsque l’homme, altéré par la haine ou le ressentiment, a soif de la vengeance ; mais, lorsque le cœur est sans fiel et que l’imagination n’a pas usé toutes les douces émotions, il faut, pour ne pas s’effrayer de la pensée toujours affreuse d’un duel, toute la force d’un préjugé qui résiste aux lois mêmes qui le condamnent. » Le duel, malgré sa menace, n’a rien ici de fratricide : le pistolet à la main, Émile fait des excuses à Édouard ; un témoin s’en étonne à haute voix plus qu’il ne convient, et c’est lui qu’Émile choisit à l’instant pour adversaire, priant Édouard lui-même de lui servir de témoin.

2620. (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Marie-Antoinette (suite.) »

Est-ce à dire qu’on ait de la répugnance à agir par l’étranger, à se servir de ces moyens extérieurs ?

2621. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Mlle Eugénie de Guérin et madame de Gasparin, (Suite et fin.) »

Sa position d’écrivain français, habitant et écrivant volontiers hors de France, a servi Mme de Gasparin plus qu’elle ne lui a nui.

2622. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « La comédie de J. de La Bruyère : par M. Édouard Fournier. »

Cet effort de La Bruyère ne l’a pas si mal servi : il est trois fois couronné du succès.

2623. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « DISCOURS DE RÉCEPTION A L’ACADÉMIE FRANÇAISE, Prononcé le 27 février 1845, en venant prendre séance à la place de M. Casimir Delavigne. » pp. 169-192

Une diction irréprochable et ornée, dont chaque point soutient ou égaye l’attention, vient servir et compléter cet heureux ensemble.

2624. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « UN FACTUM contre ANDRÉ CHÉNIER. » pp. 301-324

On a le charmant morceau qui servait de préface, et dans lequel il énumère à plaisir les divers poëtes de son choix en les désignant chacun par une fleur appropriée.

2625. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE DURAS » pp. 62-80

Mariant ainsi cette culture d’esprit aux soins les plus réguliers de sa famille et de sa maison, elle prétendait que cela s’entr’aide, qu’on sort d’une de ces occupations mieux préparé à l’autre, et elle allait jusqu’à dire en plaisantant que d’apprendre le latin sert à faire les confitures.

2626. (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre troisième. Les sensations — Chapitre premier. Les sensations totales de l’ouïe et leurs éléments » pp. 165-188

Nous ne pouvons énumérer et préciser ses éléments comme lorsqu’il s’agit de deux espèces minérales ou végétales ; nous n’avons pas ici d’éléments comparables, capables de s’additionner ou de s’orienter les uns par rapport aux autres, comme la grandeur, la forme, la position, le nombre ; les qualités mathématiques et géométriques, qui servent de fondement aux sciences physiques, nous manquent. — Et, d’autre part, les points de vue d’après lesquels on construit les sciences morales nous manquent aussi.

2627. (1858) Cours familier de littérature. V « XXVe entretien. Littérature grecque. L’Iliade et l’Odyssée d’Homère » pp. 31-64

Après qu’il eut expiré sur cette plage, au bord des flots, comme un naufragé de la vie, l’enfant qui servait de lumière à ses pas, ses compagnons, les habitants de la ville et les pêcheurs de la côte lui creusèrent une tombe dans le sable, à la place même où il avait voulu mourir.

2628. (1895) Histoire de la littérature française « Sixième partie. Époque contemporaine — Livre III. Le naturalisme, 1850-1890 — Chapitre III. La poésie : V. Hugo et le Parnasse »

Parce qu’il donna à cette passion des expressions parfois bizarres et déraisonnables872, parce que surtout elle servit fortement à son apothéose et qu’il l’exploita certainement pour sa popularité, il ne faut pas méconnaître le vif sentiment de pitié sociale qui est antérieur en lui à sa conversion politique.

2629. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre IV. Ordre d’idées au sein duquel se développa Jésus. »

On se croyait à la veille de voir apparaître la grande rénovation ; l’Écriture torturée en des sens divers servait d’aliment aux plus colossales espérances.

2630. (1904) Prostitués. Études critiques sur les gens de lettres d’aujourd’hui « Chapitre IV. Précieuses et pédantes »

» il interroge encore : « Comment vous en serviriez-vous ? 

2631. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Pensées, essais, maximes, et correspondance de M. Joubert. (2 vol.) » pp. 159-178

Saint-Pierre n’a qu’une ligne de beauté qui tourne et revient indéfiniment sur elle-même, et se perd dans les plus gracieux contours : Chateaubriand emploie toutes les lignes, même les défectueuses, dont il fait servir les brisures à la vérité des détails et à la pompe des ensembles.

2632. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « M. de Féletz, et de la critique littéraire sous l’Empire. » pp. 371-391

La critique (quand critique il y a), à l’abri d’un pouvoir tutélaire, accomplit son œuvre et sert la restauration commune.

2633. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Lettres et opuscules inédits de Fénelon. (1850.) » pp. 1-21

Destouches, alors âgé de quarante-trois ans, servait dans l’artillerie et avec distinction ; il était homme d’esprit, cultivé, et goûtait fort Virgile.

2634. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Monsieur de Balzac. » pp. 443-463

et moi aussi j’ai des idées… À quoi sert ce qu’on a dans l’âme, si l’on n’en tire aucun parti ? 

2635. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Vauvenargues. (Collection Lefèvre.) » pp. 123-143

Il n’y a point de gloire achevée sans celle des armes. » Il servit aussi longtemps qu’il put, fit des campagnes en Italie, en Allemagne, et ne renonça à la carrière active que quand sa frêle santé, épuisée par les fatigues, le trahit.

2636. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Frédéric le Grand littérateur. » pp. 185-205

— Assez, lui dit Frédéric, qui reprend ici l’avantage du bon sens et du bon goût au moral : Je ne suis, je vous assure, ni une espèce ni un candidat de grand homme ; je ne suis qu’un simple individu qui n’est connu que d’une petite partie du continent, et dont le nom, selon toutes les apparences, ne servira jamais qu’à décorer quelque arbre de généalogie, pour tomber ensuite dans l’obscurité et dans l’oubli.

2637. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Charles Perrault. (Les Contes des fées, édition illustrée.) » pp. 255-274

Chaque grande époque produit de ces esprits qui sont faits avant tout pour la servir, qui s’en enflamment, qui s’en enivrent, et qui ne datent que d’elle en quelque sorte.

2638. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Beaumarchais. — III. (Suite et fin.) » pp. 242-260

J’ai évité jusqu’ici de traiter la question de moralité positive en Beaumarchais, et je dirai simplement pourquoi : il appartient à cette famille d’esprits que nous connaissons très bien pour l’avoir déjà étudiée chez Gourville et chez d’autres encore, famille en qui la morale rigide tient peu de place, et qui, dans l’âge de l’activité et des affaires, se sert du oui ou du non, selon l’occasion, et sans trop de difficulté.

2639. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Bernardin de Saint-Pierre. — II. (Suite et fin.) » pp. 436-455

Qu’on y voie la grotte où ce grand homme vécut abandonné des Grecs qu’il avait servis, son pot de bois, … l’arc et les flèches d’Hercule… Et il compose ainsi tout un effet moral qui gagne à un certain éloignement et devient plus auguste à distance, « parce que faire du bien aux hommes, dit-il, et n’être plus à leur portée, est une ressemblance avec la Divinité ».

2640. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Le président de Brosses. Sa vie, par M. Th. Foisset, 1842 ; ses Lettres sur l’Italie, publiées par M. Colomb, 1836. » pp. 85-104

La profusion des mets doit toujours être au triple de ce qu’il en faut pour les convives… Un Italien ne fait rien de tout cela : sa manière de paraître, après avoir amassé par une vie frugale un grand argent comptant, est de le dépenser à la construction de quelque grand édifice public, qui serve à la décoration ou à l’utilité de sa patrie, et qui fasse passer à la postérité d’une manière durable son nom, sa magnificence et son goût.

2641. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Le cardinal de Richelieu. Ses Lettres, instructions et papiers d’État. Publiés dans la Collection des documents historiques, par M. Avenel. — Premier volume, 1853. — II. (Fin.) » pp. 246-265

On fait sortir de prison le prince de Condé, qu’elle n’avait fait arrêter que dans l’intérêt du roi, et ce prince du sang devient pour elle un ennemi actif qui va servir les mauvaises intentions de Luynes.

2642. (1891) Journal des Goncourt. Tome V (1872-1877) « Année 1873 » pp. 74-101

5 décembre Devant le feu de la chambre d’en haut, qui sert de fumoir chez la princesse, après dîner, nous nous demandions, avec Berthelot, si la science pure, bellement abstraite, et contemptrice de l’industrialisme, n’est pas, comme l’art, le fait des sociétés aristocratiques.

2643. (1864) William Shakespeare « Première partie — Livre III. L’art et la science »

Serpion fait pour la Vénus Aversative d’Athènes un vase que la sainte Vierge accepte de Vénus, et qui sert aujourd’hui de baptistère à la Notre-Dame de Gaëte.

2644. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Essai sur la littérature merveilleuse des noirs. — Chapitre V. Séductions pour la compréhension de la psychologie indigène. — Conclusion »

« Le besoin seul nous apprend la juste valeur de ce qui sert à le satisfaire » (Le choix d’un lanmdo). — « Les chefs s’entendent entre eux comme larrons en foire et toujours les petits seront par eux tenus à l’écart » (Kahué — Le fils du sérigne — Les trois frères en voyage)

/ 2845