On a beau alors leur attribuer le même Temps mathématique, comme on l’avait toujours fait jusqu’à Lorentz et Einstein, il est impossible de démontrer strictement que les observateurs placés respectivement dans ces deux systèmes vivent la même durée intérieure et que par conséquent les deux systèmes aient le même Temps réel ; il est même très difficile alors de définir avec précision cette identité de durée ; tout ce qu’on peut dire est qu’on ne voit aucune raison pour qu’un observateur se transportant de l’un à l’autre système ne réagisse pas psychologiquement de la même manière, ne vive pas la même durée intérieure, pour des portions supposées égales d’un même Temps mathématique universel. […] Or, inconsciemment, après avoir accepté l’hypothèse de la relativité double, on revient à celle de la relativité simple, d’abord parce qu’elles s’équivalent mathématiquement, ensuite parce qu’il est très difficile de ne pas imaginer selon la seconde quand on pense selon la première. […] Les autres, simplement pensés, sont des temps auxiliaires, mathématiques, symboliques. » Mais l’équivoque est si difficile à dissiper qu’on ne saurait l’attaquer sur un trop grand nombre de points. […] Toutefois l’illusion impliquée dans l’interprétation courante est si difficile à démasquer qu’il ne sera pas inutile de l’attaquer par un autre côté encore. […] Or, il est généralement difficile au philosophe d’affirmer avec certitude que deux personnes vivent le même rythme de durée.
Elle est d’autant plus volumineuse, que la trituration est plus difficile et plus lente ; elle diminue chez ceux où la mastication est moins énergique. […] On comprend que de telles expériences sont difficiles sur les animaux, parce qu’ils ne nous rendent pas compte directement de leurs sensations. […] Mais il est difficile de comprendre comment ils arrivèrent à trouver que ce liquide était acide dans certaines circonstances. […] Enfin il y a des animaux chez lesquels la péritonite est encore plus difficile à survenir, ce sont les oiseaux, auxquels on peut ouvrir le ventre presque impunément. […] La réduction en fut très longue et très difficile, à cause des efforts constants que l’animal faisait en se débattant.
« Ce n’est pas encore ça et la rime avec lacs est difficile. […] À cause de tout cela, il est, en bien des cas, très difficile de les distinguer et elles se confondent réellement sur certains points. […] Une fois que l’œuvre est née, que le germe s’est précisé, il est souvent bien difficile pour l’auteur même d’en prévoir le sort. […] Et il s’établit une discussion entre Lemaître et Sarcey, précisément au sujet de ma grande scène si difficile à amener. […] Une fois les anciennes idées directrices modifiées, il est difficile d’en conserver ce qui est bon, il est difficile aussi de leur substituer un contrôle efficace et nouveau.
Les ouvrages nous plaisent comme raisonnables : mais ils nous plaisent du moins autant comme difficiles ; et de là sont nés les vers qui n’ajoûtent de mérite aux pensées que la difficulté de les exprimer avec justesse, malgré la gêne des regles. […] Il faudroit être bien hardi pour suivre son exemple, et je ne lui aurois pas conseillé à lui-même de tenter plus d’une fois une entreprise si difficile. […] Je ne parle que des purs confidens qui sont toûjours des personnages froids, quoi qu’en bien des occasions il soit difficile au poëte de s’en passer. […] D’autres moins difficiles sçurent gré de leurs larmes à l’auteur, et se contenterent de dire que, malgré la supériorité du spectacle ordinaire, on pourroit encore se divertir à celui-ci. […] Si ce n’est, comme je l’ai dit, que pour un homme difficile les vers ne sont jamais achevés.
Il exerçait une séduction difficile à analyser, mais où le goût dominait. […] La première aventure qui passera à sa portée, il la suivra, abandonnera sans regrets une profession encombrée et difficile où l’on avance parmi la foule. […] Elle a empêché, j’en suis sûr, beaucoup d’entre nous de sombrer à des heures difficiles. […] que l’esprit français ait été jamais plus audacieux dans toutes les directions de la pensée et se soit attaqué à des problèmes sociaux plus difficiles et plus profonds ?
Cette fatalité intérieure ou extérieure à laquelle la philosophie de l’histoire donne le nom de force des choses, réelle dans les temps anciens comme dans les temps modernes, est d’autant plus difficile à reconnaître au milieu des faits politiques racontés par les historiens de l’antiquité, que, la soupçonnant à peine, ils l’ont laissé deviner aux historiens de nos jours, sur des indications vagues et incomplètes. […] Avec leur loi de l’évolution progressive d’une part, de l’autre avec leur méthode tout expérimentale de procéder, il leur était difficile de ne point arriver à faire de l’expérience historique la mesure de la nécessité, trop souvent même de la légitimité de tous les faits qui ont pour caractère propre la puissance et la durée. […] Littré qu’on ne trouve parfois trop enclin à reconnaître l’autorité des faits en dépit des réclamations de sa raison si ferme et de sa conscience si difficile. […] Avec cette démocratie de plus en plus libérale et intelligente, toujours accessible, même dans les jours de crise, à l’action des sentiments et des idées, la dictature, nous en convenons, devient de plus en plus difficile à saisir et à manier.
Il est difficile pourtant d’admettre que Ramond n’ait pas été lui-même fasciné dans les premiers temps, qu’il n’ait pas payé tribut par une courte fièvre de jeunesse à la maladie épidémique du siècle et du lieu. […] Daru très jeune, lui ayant écrit en 1788 pour le consulter sur l’opportunité de publier à celle date un poème épique dont la guerre d’Amérique serait le sujet, et ayant paru attribuer la préséance dans la famille des Muses à celle qui présidait aux sciences, Ramond, en répondant, lui rappelait que c’est la poésie au contraire à laquelle il appartient de donner à tout la vie et l’immortalité ; et convenant d’ailleurs que les circonstances étaient peu propices à l’épopée, il ajoutait : Mais c’est la destinée ordinaire des grands ouvrages de ce genre de n’être jamais des ouvrages de circonstance ; et si, par cette raison, leur succès est plus lent et plus difficile, leur gloire est plus pure et moins mortelle.
Il sied mal de dérober l’honneur d’autrui ; il n’y a rien qui décourage tant un bon cœur. » Dans les diverses guerres auxquelles il prend part et qu’il nous décrira, il est de certains faits qu’il aura ainsi trop de curiosité et de plaisir à raconter, à déduire au long et par le menu, pour qu’on n’y voie point se déceler et se déclarer le genre de talent militaire particulier et propre à Montluc : c’est ordinairement dans ce qu’il appelle une faction ou fait d’armes à part, dans un coup de main, un stratagème bien ourdi, une escarmouche bien menée, une attaque de place réputée imprenable, ou une défense déplacé réputée intenable, quelque entreprise soudaine et difficile, une expédition en un mot qui fasse un tout, à laquelle il commande, sans qu’il soit besoin d’avoir sous sa main autre chose qu’une élite, c’est là qu’il se complaît et où il excelle. […] Il ne commanda point en chef avec étendue et dans de grandes proportions : mais, je le répète, il paraît avoir excellé dans certaines parties rares, difficiles et hardies de la guerre, et il en donne leçon, il en tient école autant que cela se peut, et une école brillante, dans ses Commentaires. — J’ai hâte d’en venir à sa conduite aux jours où il est plus en vue, avant et pendant la bataille de Cérisoles, et surtout dans sa mémorable défense de Sienne, qui fut pour lui ce que fut à Masséna sa défense de Gênes.
C’était difficile après la grande maladie dont il sortait à peine et que la diète ne réparait pas. […] Pendant qu’il le soutient, et indépendamment des assauts du dehors, Montluc a au-dedans à se tirer de deux circonstances difficiles : dans la première, il lui faut renvoyer les troupes allemandes qui s’accommodent peu du jeûne et qui vont affamer trop tôt la place : il les fait sortir de nuit avec adresse, et sans rien communiquer au Sénat ; et il raccommode ensuite cette dissimulation par de belles paroles, si bien que le courage des habitants n’est point ébranlé, mais bien plutôt accru par cette diminution de défenseurs.
Nous pensons qu’il vaut mieux rentrer dans les montagnes, d’où l’on n’aurait pas dû sortir, et se préparer à s’y défendre ; car les raisons qui doivent nous porter à ne point livrer une bataille avant la jonction de l’armée des Alpes doivent décider l’ennemi à nous attaquer avant qu’elle soit effectuée ; mais les positions que nous devons occuper nous sont bien connues ; ce n’est pas une affaire de quelques heures qui pourra décider les succès de l’ennemi ; là, il ne s’agira pas d’une seule bataille, mais de vingt combats plus ou moins acharnés, sur des points difficiles, où leur nombreuse artillerie et leur cavalerie se trouveront à peu près paralysées. […] Il dit à Pérignon et à Saint-Cyr qu’il les priait de l’excuser, qu’il ne s’était jamais vu d’une telle faiblesse ; qu’il avait été plus d’une fois utile par ses conseils au général Bonaparte dans des moments très difficiles, et qu’il ne concevait pas d’où provenait l’extrême irrésolution d’où il ne pouvait sortir.
Il ne songe à rien dissimuler de sa conduite dans ces odieuses opérations, qu’il lui était difficile d’alléger, sans doute mais qu’il est toujours disposé plutôt à aggraver : « Le 23 juillet 1681, j’ai proposé à M. de Louvois de faire venir de Roussillon deux compagnies de cavalerie dans le haut Rouergue et dans le haut Quercy, pour seconder les missionnaires ecclésiastiques. » Foucault n’a pas inventé les dragonnades, dont le triste honneur reste acquis à Marillac, intendant du Poitou ; mais il a été des premiers, on le voit, à accueillir l’heureuse idée et à vouloir la faire fructifier. […] Le Tellier ni Louvois ne l’aimaient ; il ressentit bientôt les effets de cette défaveur, et fut envoyé de Montauban, une des meilleures intendances du royaume, dans la moindre de toutes, en Béarn, contrée inégale, difficile et mal soumise, qui avait échappé jusque-là au niveau de Louis XIV.
Ces diables d’animaux-là me feront tourner la tête ; ce qui fait bien voir combien il est difficile de concilier les différentes nations. […] » Il est difficile d’intéresser la postérité à des plaisirs passés, qui ont pu paraître charmants à leur minute ; mais elle-même aurait tort aussi de trop chicaner des gens qui ont pris où ils l’ont voulu un divertissement à leur usage.
La tâche est plus longue que difficile. […] Ce procès de tendance peut paraître indiscret et être souvent difficile à instruire : il n’est pas cependant au-dessus des forces d’un habile analyste.
Ici les faits deviennent plus difficiles à raconter. […] Nous avons obtenu pour cette étude difficile et si intéressante la collaboration régulière de M.
Cela est difficile à accommoder, et je passe ma vie dans des horribles qui m’ôtent tous les plaisirs du monde et la paix qu’il faudrait pour servir Dieu. […] Cependant je m’y trouve plus résolue que jamais, et rien ne me paraît si difficile que de demeurer dans l’état où je suis. » Cette lettre est l’expression d’une mélancolie profonde.
Il était difficile de ne pas dire un mot tout d’abord de ce qu’on a sur le cœur : mais venons vite au savant et pacifique ouvrage auquel M. de Rémusat s’est consacré tout entier, sans sortir de son sujet un seul moment. […] Il me serait assez difficile de l’exposer dans les termes même où il le produit ; qu’il me suffise d’en donner l’idée, tel que plus tard on le retrouve chez Descartes ou chez Fénelon : c’est que par cela même que l’esprit humain peut concevoir l’idée d’un Être infini, parfait, et au-dessus duquel il n’en est aucun autre, il devient nécessaire, par là même, que cet Être parfait et infini existe.
Il affecta seulement de dire partout qu’il étoit supérieur aux brocards d’un jeune poëte difficile en matière de goût ; qu’il ne lui feroit pas l’honneur de lui marquer de la sensibilité ; que ce seroit s’avilir de prendre la peine de le confondre. […] carrière d’autant plus difficile qu’elle semble plus aisée.
Je ne voudrais pas être obligé d’aborder incidemment une question des plus difficiles et des plus complexes, celle des différences de l’homme et de l’animal. […] D’ailleurs, pour pouvoir nier d’une manière absolue l’aptitude de telle ou telle race à la civilisation, il faudrait faire des expériences qui n’ont pas été convenablement faites, parce qu’elles sont très difficiles.
Le règne précédent, il faut l’avouer, avait rendu cette tâche difficile. […] N’en doutons point : il faut remonter plus haut pour trouver les titres primitifs des chefs de races royales ; et la légitimité repose au fond d’un sanctuaire où il est difficile de pénétrer.
augmenter, par le contraste, l’arôme et la saveur des parties saines, — et c’est ce fruit-là, si difficile à apprécier, qui révolte le goût et qui l’enivre, que M. […] … Il serait difficile d’en donner une idée par l’analyse.
Ils le sont ; ils en ont la marque, le masque ou le haut du masque et le signe au front, une parole rare, un silence imposant, une allure lente, étrange, auguste si l’on veut, je ne sais quoi d’original dans leur croisement et d’aussi impossible à confondre avec rien autre que de difficile à démêler en soi et à définir.
La chose est bien autrement difficile.
Si vous rapprochez des tableaux ignobles de personnages héroïques, il est à craindre qu’il ne vous soit difficile de faire renaître l’illusion théâtrale : elle est d’une nature extrêmement délicate ; et la plus légère circonstance peut tirer les spectateurs de leur enchantement.
Guyard s’attaqua successivement aux problèmes les plus difficiles des langues et des littératures de l’Asie occidentale.
« Ce fut après le déluge que parurent ces ravageurs de provinces que l’on a nommés conquérants, qui, poussés par la seule gloire du commandement, ont exterminé tant d’innocents… Depuis ce temps, l’ambition s’est jouée, sans aucune borne, de la vie des hommes ; ils en sont venus à ce point de s’entretuer sans se haïr : le comble de la gloire, et le plus beau de tous les arts a été de se tuer les uns les autres179. » Il est difficile de s’empêcher d’adorer une religion qui met une telle différence entre la morale d’un Bossuet et d’un Tacite.
Il me paroît trop difficile de placer ces bornes.
Je ne sçais par quelle fatalité Henri II les trois rois ses enfans et Henri IV qui se succederent immédiatement, moururent tous cinq de mort violente, malheur qui n’étoit pas arrivé à aucun de nos rois de la troisiéme race, bien que la plûpart eussent regné dans des temps difficiles, et où les hommes étoient plus grossiers que dans le seiziéme siecle.
Voilà une première raison pourquoi il était difficile que Platon ne fût pas métaphysicien. […] Et enfin en particulier cela était tout spécialement difficile au temps de Platon et pour Platon. […] C’est ce désir qui ne laisse pas quelquefois d’être difficile à faire naître. […] Il est assez difficile d’élargir le moi quand on commence par le supprimer et quand on s’applique à le maintenir toujours à l’état de rien. […] Il est difficile d’admettre une morale dont le premier précepte est l’imitation de la mort et dont l’ensemble des préceptes aboutit au suicide.
Il est difficile de juger Iucidement ses contemporains. […] Il est bien difficile de connaître jusqu’au fond ce cœur de jeune fille qui ne s’est guère trahi que par des plaintes. […] C’est qu’il est difficile, en effet, d’écrire du roman romanesque qui ait la valeur de la vie vécue. […] Il est vraiment difficile de bien définir ce que c’est que le style. […] Plus l’on aura lu, plus l’on sera là-dessus difficile.
Ce moment est difficile à distinguer et à fixer dans la carrière d’Horace, de tout temps si engagé et si lancé ; mais s’il fallait y mettre une date, nous le rapporterions à ces années de 1844-1846, où il fit la Smalah et la Bataille d’Isly. […] Je sais que de fermer boutique à temps est ce qu’il y a de plus difficile pour l’homme dont la réputation est à la merci du public ; son orgueil bouche ses oreilles. […] Après la mort de Mme Delaroche, les relations entre eux devinrent plus inégales et quelquefois difficiles.
La Bruyère et Fénelon parurent et achevèrent, par des grâces imprévues, la beauté d’un tableau qui se calmait sensiblement et auquel il devenait d’autant plus difficile de rien ajouter. […] Je l’avois assez connu pour le regretter et les ouvrages que son âge et sa santé pouvoient faire espérer de lui. » Boileau se montrait un peu plus difficile en fait de ton et de manières que le duc de Saint-Simon, quand il écrivait à Racine, 19 mai 1687 : « Maximilien (pourquoi ce sobriquet de Maximilien ?) […] La pensée du difficile, du mûr et du parfait l’occupe visiblement, et atteste avec gravité, dans chacune de ses paroles, l’heure solennelle du siècle où il écrit.
Il saura que si, ni les hommes, ni les groupes sociaux ne sont égaux entre eux, et s’il est important d’en établir la hiérarchie, cette hiérarchie est souvent difficile ou impossible à préciser. […] Et il est bien difficile de dire ce qui convient même à un peuple donné à un moment donné de son histoire. […] La morale vraie est un art difficile et délicat, plein de nuances et semé de pièges.
Il ne faut pas abuser d’une méthode positiviste qui dispense de toutes les questions profondes et vraiment difficiles, de celles qui portent sur le cœur même des choses. […] Newton avait la faculté d’évoquer devant ses yeux l’image du soleil, même dans l’obscurité, en faisant simplement un certain effort visuel, à peu près comme quelqu’un qui essaie attentivement de distinguer un objet difficile à voir ; mais Newton savait parfaitement qu’il était comme le créateur de ce soleil imaginaire. […] Étant donnés les éléments d’un problème, l’intelligence le résoudrait avec autant de précision que les cellules contenues dans l’intérieur d’un œuf en mettent à se réunir pour former les diverses parties de l’animal, « opération bien autrement compliquée que le plus difficile de tous les problèmes que l’intelligence peut résoudre »87.
A une enfance misérable succéda une difficile jeunesse. […] L’entente avec lui est longue, difficile et délicate. […] Aussi ce fils difficile supporte le poids de la noire humeur paternelle. […] Ce très haut et très difficile désir artistique est tout à leur honneur. […] Il est difficile de le dire.
De plus, la légalité du décret de Ctésiphon est difficile à soutenir.
Le difficile, c’est d’atteindre ce dernier degré où l’idée se parfait dans le mot propre et définitif.
Catulle Mendès appelle par une exquise litote un « auteur difficile ».
Mais il nous est difficile de goûter ses Lignes dans la main.
Il ne fut pas difficile à son amie, après avoir fait cette conquête, de se la conserver.
On reconnaît l’imposteur à la caricature : les fripons déliés l’évitent soigneusement : et voilà ce qui rend le monde si dangereux et si difficile à connaître.
Il n’est pas difficile de deviner à qui Raphael auroit donné le prix : suivant l’apparence Raphael auroit prononcé en faveur du genre de merite dans lequel il excelloit, je veux dire en faveur de l’expression et de la poësie.