Chapitre III. […] Tout un chapitre (p. 100-116) traite de l’entrecroisement des cercles sociaux.
Chapitre VI. […] Maintenant recourons à ces preuves divines dont on a parlé dans le chapitre de la Méthode ; examinons combien sont naturels et simples les moyens par lesquels la Providence a dirigé la marche de l’humanité, rapprochons-en le nombre infini des phénomènes qui se rapportent aux quatre causes dans lesquelles nous verrons partout les éléments du monde social (les religions, les mariages, les asiles et la première loi agraire), et cherchons ensuite entre tous les cas humainement possibles, si des choses si nombreuses et si variées ont pu avoir des origines plus simples et plus naturelles.
Et prenez garde que ce n’est plus l’abbé Prévost, un peu suspect de laisser-aller et de facilité sur le chapitre des mœurs et manières, qui parle en ce moment ; il ne fait qu’emprunter les raisons du sage et poli Addison.
Je ne saurais mieux définir le sentiment de profonde affection et comme de piété que je portais alors jusque dans la critique littéraire, qu’en rappelant un passage de mon roman de Volupté, où Amaury s’écrie (chap. xxi) : « … Dans les Lettres mêmes, il est ainsi des âmes tendres, des âmes secondes, qui épousent une âme illustre et s’asservissent à une gloire : Wolff, a dit quelqu’un, fut le prêtre de Leibnitz.
La session de 1815 forme la partie historique la mieux traitée et la plus instructive du livre : les personnes honnêtement royalistes, qui se sont laissé prendre aux théories et à l’ancien droit français de la Gazette, ne pourront guère s’y maintenir après avoir lu le chapitre de M. de Carné.
Lacretelle, qui fut attaché au duc de Liancourt, comme secrétaire intime pendant les premières années de la Révolution, a raconté, dans un intéressant chapitre de ses Dix années d’épreuves, comment on vivait à Liancourt, en cette sorte de paradis terrestre, et quelles occupations rurales, bienfaisantes ou littéraires y variaient les heures : « Après de laborieuses recherches, écrit M.
N’oublions pas, pour nous expliquer et nous justifier cette susceptibilité ombrageuse, que les pouvoirs souverains des divers États sont assez éclairés et intéressés sur ce chapitre des grands travaux publics, pour se passer du Congrès.
Nous recommandons tout son chapitre sur l’arrestation et le meurtre du duc d’Enghien.
Chapitre VI.
Chapitre II.
Chapitre I Un retardataire : Saint-Simon 1.
Chapitre I Influence de la Révolution sur la littérature 1.
Chapitre VI.
Chapitre XI.
Chapitre VI.
Chapitre II.
Chapitre IV.
Chapitre V.
Chapitre XV Observations générales sur les six premières périodes du xviie siècle.
Chapitre III.
Chapitre II.
N’en déplaise à Boucher, qui n’avait pas rougi de prostituer lui-même sa femme d’après laquelle il avait peint cette figure voluptueuse, je dis que si j’avais eu voix dans ce chapitre-là, je n’aurais pas balancé à lui représenter que si, grâce à ma caducité et à la sienne, ce tableau était innocent pour nous, il était très-propre à envoyer mon fils, au sortir de l’académie, dans la rue Fromenteau qui n’en est pas loin et de là chez Louis ou chez Keyser ; ce qui ne me convenait nullement.
Chapitre VI.
Chapitre XI.
Basée sur des prédictions indiscutées, de toutes ces prédictions qu’elle rapporte, celle de Caïn et d’Abel, au quatrième chapitre de la Genèse, qui est la plus saillante, est la seule omise ; érudition à peu de frais, qu’ont faite d’ailleurs Tacite et Flavius Josèphe, — Flavius Josèphe surtout, qu’elle embrasse presque tout entier.
IV Mais, encore une fois, si cette biographie d’un homme qui a droit, sinon à la statue en pied de l’histoire au moins à la médaille de la biographie, si tout ce travail sur François Suleau est très élevé de renseignement, de vue et d’accent, et si l’écrivain qui l’a publié y a montré des aptitudes et des facilités vers l’histoire, grave ou tragique, telle qu’elle est le plus généralement conçue et réalisée par MΜ. les historiens ordinaires, je ne m’en opiniâtre pas moins à croire, ainsi que je l’ai dit au commencement de ce chapitre, que le vrai génie spécial de l’auteur Ombres et vieux murs, que son originalité la plus vive, serait, son genre d’esprit donné, la mise en scène ou en saillie de l’élément comique ou ravalant qui ne manque pas dans l’histoire, et qu’il saurait fort bien en dégager, ainsi que l’attestent les excellentes variétés historiques qu’il nous a mises sous les yeux, titres réveillants en tête : La Lanterne, Le Rhum et la Guillotine, Le Lendemain du massacre, etc., tous épisodes ou mosaïques d’anecdotes dont il faut juger par soi-même en les lisant et dont l’analyse, d’ailleurs, ne donnerait qu’une très imparfaite idée.
Cette instruction, divisée par chapitres et où nul n’est oublié du personnel de la valetaille : le butler (sommelier), la cuisinière, le laquais, le cocher, le groom, l’intendant, le portier, la femme de chambre, la fille de service, la fille de laiterie, la bonne d’enfants, la nourrice, la femme de charge et la gouvernante ; ce mandement d’un doyen que Mascarille, après boire, refuserait de signer, ne peut être évidemment qu’une mystification immense et même une mystification à commencer par l’auteur lui-même, — car rien ne doit équivaloir, non seulement pour un esprit élevé, mais pour un esprit quelconque, au dégoût d’écrire, dans quelque but de raillerie que ce soit, ces conseils de friponnerie et de bassesse où tout le sens est dans la grosseur de l’ironie et dans une impudence égale entre l’idée et le langage… Et ce n’est pas tout.
Impossible de suivre dans un seul chapitre d’un livre comme celui-ci, le détail infini d’un travail exposé à grand’peine en deux volumes, mais ce qui résulte de ce travail, c’est l’inutilité démontrée de la peine qu’on a prise au point de vue des acquêts et des accroissements de la philosophie.
IV Ainsi, nous l’avons dit en commençant ce chapitre, le néant, le néant intérieur, voilà ce qui explique le voyage de M. le Conte de L’Isle aux Indes.
Chapitre VIII.
Chapitre XXII.
Chapitre IV.
Chapitre IV.
Chapitre XIX.
Chapitre I Définition psychologique de la poésie Le sens même du mot de poésie étant quelque peu flottant, il est bon d’indiquer en quel sens nous comptons le prendre. […] Chapitre IV La poésie dans l’art Déplaçons notre enquête. […] Chapitre V La poésie littéraire § 1. — Effet sur l’intelligence. […] Voir le remarquable chapitre qu’a consacré M. Guyau, dans ses Problèmes de l’esthétique contemporaine, à cette question des effets psychologiques du vers (livre III, derniers chapitres) Paris, Alcan, 1884.
Tous ces derniers chapitres sont admirables. […] Dans son premier chapitre, M. […] Sur ce chapitre, le procès est jugé. […] Combien le chapitre de Vogüé était plus nourri, plus instructif, et en somme plus vrai ! […] Dans le chapitre sur la renaissance catholique, Agathon attribue l’honneur de ce mouvement à M.
Considérons par exemple un des plus curieux chapitres de M. […] De cette religion tout intérieure nous traiterons dans le prochain chapitre. […] Voir L’Évolution créatrice, principalement les deux premiers chapitres. […] Voir le chap. III, pp. 279 et suiv., et le chap.
Bien au contraire, si l’on s’était mis à compléter les directions sommaires, les têtes de chapitre, les quelques exemples qui le composent, la matière eût exigé un autre volume, aussi considérable. […] Le chapitre des souvenirs de Du Camp intitulé Les Deuils apporte ici des renseignements importants. […] A leur retour, ils se mettent à rédiger ce voyage, non en collaboration, mais en juxtaposition, Du Camp écrivant les chapitres pairs et Flaubert les chapitres impairs. […] « Dès que les premiers chapitres eurent paru, les abonnés s’indignèrent ; on cria au scandale, à l’immoralité. […] En 1869, elle fut lue entièrement, en plusieurs séances, chez la princesse Mathilde, et elle y excita un grand enthousiasme, surtout le dernier chapitre.
Chapitre septième § I. […] J’ai parlé, au chapitre sur Boileau, du secours qu’il avait reçu de ses contemporains dans sa lutte contre les méchants poètes et les méchants vers. […] Voir la fin du chapitre III. […] Voir ce que j’en ai dit au chapitre précédent, § V.
C’est ici qu’il faut admirer comme Scudéry, le capitan de cette tragi-comédie, poussé à bout, le rudoie et le malmène, comme il démasque sans pitié son artillerie classique, comme il « fait voir » à l’auteur du Cid « quels doiuent estre les épisodes, d’après Aristote, qui l’enseigne aux chapitres dixiesme et seiziesme de sa Poétique », comme il foudroie Corneille, de par ce même Aristote « au chapitre vnziesme de son Art Poétique, dans lequel on voit la condamnation du Cid » ; de par Platon « liure dixiesme de sa République », de par Marcelin, « au liure vingt-septiesme ; on le peut voir » ; de par « les tragédies de Niobé et de Jephté » ; de par « l’Ajax de Sophocle » ; de par « d’exemple d’Euripide » ; de par « Heinsius, au chapitre six, Constitution de la Tragédie ; et Scaliger le fils dans ses poésies » ; enfin, de par « les Canonistes et les Iurisconsultes, au titre des Nopces ». […] Les grecs, dont on nous parle tant, les grecs, et à la façon de Scudéry nous invoquons ici le classique Dacier, chapitre VII de sa Poétique, les grecs allaient parfois jusqu’à se faire représenter douze ou seize pièces par jour.
Thiers, qui d’ailleurs se montre si attentif à en signaler les parties recommandables, notamment le rétablissement des finances dû au baron Louis, est plus sévère que M. de Viel-Castel au sujet des négociations diplomatiques, et sur le chapitre de M. de Talleyrand au congrès de Vienne.