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1886. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Chateaubriand homme d’État et politique. » pp. 539-564

Les adversaires, émus d’une si vive attaque, firent remarquer « que l’auteur de ces articles ne différait en rien, dans ses opinions, de tels rédacteurs de La Minerve et du Constitutionnel », et ils avaient raison. […] Quelle que soit l’explication, ce fut une chose fâcheuse pour la royauté que M. de Chateaubriand, aux yeux de l’opinion, parût non pas renvoyé, mais chassé.

1887. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Études sur Saint-Just, par M. Édouard Fleury. (2 vol. — Didier, 1851.) » pp. 334-358

Il a rendu ce méchant sentiment avec toute l’énergie dont il était capable, dans un de ses rapports où il est dit : « Il serait juste que le peuple régnât à son tour sur ses oppresseurs, et que la sueur baignât l’orgueil de leur front. » Selon Barère, une telle proposition ne trouva que résistance au sein même du Comité ; on répondit que nos mœurs répugnaient à un tel genre de supplice ; que la noblesse pouvait bien être abolie par les lois politiques, mais que les nobles conservaient toujours dans la masse du peuple un rang d’opinion, une distinction due à l’éducation, et qui ne permettait pas d’agir à Paris comme Marius agissait à Rome : Eh bien ! […] J’ai voulu essayer les forces, le tempérament et l’opinion du Comité de salut public.

1888. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1861 » pp. 361-395

Maintenant très original dans sa façon de s’exprimer, il l’est assez peu dans sa façon de penser, n’ayant une impression de la beauté et du caractère des choses, que lorsqu’il en est averti par un livre bon ou mauvais, croyant, à la façon d’une intelligence inférieure, à l’imprimé, et par cette servitude assez soumis dans le fond à l’opinion générale. […] Mais en art et en littérature, les opinions consacrées sont sacrées et peut-être, au xixe  siècle, est-il moins dangereux de marcher sur un crucifix que sur les beautés de la tragédie !

1889. (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1879 » pp. 55-96

Et ainsi de tout, et aller pendant trois cents pages, trépignant, bouleversant les opinions consacrées, les admirations séculaires, les programmes des professeurs d’esthétique de l’Institut, toute cette vieille foi artistique, plus entêtée, plus dépourvue de criterium que la foi religieuse. […] * * * — Le je m’en fous intellectuel de l’opinion de tout le monde : c’est la bravoure la plus rare que j’aie encore rencontrée, et ce n’est absolument qu’avec ce don, qu’on peut faire des œuvres originales.

1890. (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre V. La parole intérieure et la pensée. — Premier problème : leurs positions respectives dans la durée. »

La question serait résolue, si nous ne rencontrions ici en faveur de la thèse de Bonald une opinion assez répandue chez les théoriciens de l’art littéraire ; elle mérite de nous arrêter, car elle constitue une objection sérieuse à la théorie que nous venons d’exposer. […] La mémoire, par exemple, a ses caprices, encore mal expliqués : bien souvent, les noms propres font défaut à l’appel de la pensée ; nous savons pourtant qui nous voulons nommer : son caractère, sa taille, sa profession, ses parents, ses opinions politiques, son vêtement habituel, tout ce qui constitue pour notre esprit la personnalité de l’anonyme, est synthétiquement présent à la conscience ; le nom seul est absent ; il nous revient plus tard, quand nous l’avons cherché, ou de lui-même quand nous ne le cherchons plus.

1891. (1913) La Fontaine « III. Éducation de son esprit. Sa philosophie  Sa morale. »

Il ne faut jamais déclarer son opinion et il faut, selon les gens, être noir ou blanc. […] Seulement, il faut le reconnaître  et c’est ici que je me sépare un peu de l’opinion radicale exprimée jadis par M. 

1892. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Béranger — Note »

Si dans cette dernière année je vous ai vu moins souvent que je ne le désirais, c’est que mes occupations étaient grandes, mes matinées prises ; ce n’est pas que je changeasse si volontiers d’amis, d’opinions, de principes, que sais-je ?

1893. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. LOUIS DE CARNÉ. Vues sur l’histoire contemporaine. » pp. 262-272

Les noms propres définiront encore mieux ces nuances d’écoles et d’opinions.

1894. (1874) Premiers lundis. Tome I « M. A. Thiers : Histoire de la Révolution française — II. La Convention après le 1er prairal. — Le commencement du Directoire. »

Cette opinion aujourd’hui ne serait soutenable que pour un petit nombre de meneurs subalternes ; car la conviction et, si l’on veut, la frénésie sincère et profonde des principaux ne saurait être révoquée en doute : eux aussi ils ont rendu témoignage sur l’échafaud.

1895. (1874) Premiers lundis. Tome I « Diderot : Mémoires, correspondance et ouvrages inédits — I »

Il a déjà atteint l’âge de quarante-six ans ; sa vie, ses opinions sur toutes choses et ses relations du monde sont fixées autant qu’elles le seront jamais.

1896. (1874) Premiers lundis. Tome II « Quinze ans de haute police sous Napoléon. Témoignages historiques, par M. Desmarest, chef de cette partie pendant tout le Consulat et l’Empire »

« Que chacun, disait-il, marche dans sa ligne ; s’il y a choc, j’arriverai. » Quand le conflit était assez grave, il demandait toute la correspondance et prononçait son opinion en la motivant, et surtout sans blâme.

1897. (1874) Premiers lundis. Tome II « Henri Heine. De la France. »

Aujourd’hui on n’est plus si collet monté, en fait d’opinions dogmatiques, qu’on l’était dans le monde éclairé et bel esprit de 1826 à 1830.

1898. (1875) Premiers lundis. Tome III « Profession de foi »

Nous étions loin de regarder les quatre grandes lois, municipale, électorale, de la garde nationale et du jury, comme la conception définitive qui allait désormais régler et clore les destinées de l’humanité ; mais nous pensions qu’en s’appuyant là-dessus conformément à l’opinion du grand nombre, un gouvernement intelligent et fort aurait pu noblement vaquer à la double tâche qui lui était imposée, d’émanciper graduellement les classes pauvres et laborieuses, de favoriser et de garantir l’affranchissement  des nations européennes.

1899. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre III. Les tempéraments et les idées — Chapitre I. Un retardataire : Saint-Simon »

Son instinct d’artiste trompe ses sympathies d’honnête homme et jusqu’à ses opinions de duc et pair.

1900. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Verhaeren, Émile (1855-1916) »

OPINIONS.

1901. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre VI. Le charmeur Anatole France » pp. 60-71

  Les Opinions de M. 

1902. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Première partie. Plan général de l’histoire d’une littérature — Chapitre IV. Moyens de déterminer les limites d’une période littéraire » pp. 19-25

En revanche, il est vraisemblable qu’au moyen âge les opinions et les mœurs se modifiaient plus lentement qu’aujourd’hui.

1903. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 140-155

La trempe de son caractere a vraisemblablement beaucoup influé sur la nature de ses opinions.

1904. (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre onzième. »

pourquoi lui donner cette mauvaise opinion des enfans de son âge ?

1905. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 5, explication de plusieurs endroits du sixiéme chapitre de la poëtique d’Aristote. Du chant des vers latins ou du carmen » pp. 84-102

La réputation des auteurs modernes, que mon opinion contredit, exige de moi que je la prouve solidement.

1906. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 9, de la difference qui étoit entre la déclamation des tragedies et la déclamation des comedies. Des compositeurs de déclamation, reflexions concernant l’art de l’écrire en notes » pp. 136-153

Je vais encore rapporter plusieurs passages des auteurs anciens que je crois propres à prouver mes opinions.

1907. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « XIV »

Ajoutez-y quelques opinions ironiques tendant à déprécier le travail et même le style, et c’est à peu près tout ce qu’il a opposé à trois volumes d’études et de démonstrations sur les procédés de l’art d’écrire, assimilation, formation du talent et exemples de corrections manuscrites des grands écrivains, qui confirment en détail notre doctrine.

1908. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Louis Nicolardot » pp. 217-228

Le Louis XVI des opinions faites vivait un peu sur le mot de Mirabeau : « Il avait d’inertes vertus. » Mais le Louis XVI du Journal n’est ni si vertueux (l’est-on sans combat ?)

1909. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXIII. P. Enfantin »

Félix, sur les quatrième, cinquième et sixième Conférences de Notre-Dame, prouve, par sa teneur, ses termes exprès, le ton qui l’anime, que le saint-simonisme n’est pas mort ou que ce qui en survit n’est pas simplement une opinion individuelle.

1910. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Th. Gautier. Émaux et Camées »

Théophile Gautier est un poète reconnu maintenant par toutes les opinions, un poète incontestable et incontesté de ceux-là mêmes qui n’aiment ni son inspiration, ni sa manière.

1911. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre cinquième. Retour des mêmes révolutions lorsque les sociétés détruites se relèvent de leurs ruines — Chapitre IV. Conclusion. — D’une république éternelle fondée dans la nature par la providence divine, et qui est la meilleure possible dans chacune de ses formes diverses » pp. 376-387

Lorsque par la suite des temps, l’intelligence des plébéiens se développa, ils revinrent de l’opinion qu’ils s’étaient formée de l’héroïsme et de la noblesse, et comprirent qu’ils étaient hommes aussi bien que les nobles.

1912. (1912) Chateaubriand pp. 1-344

C’est que, comme l’Italie moderne (celle de 1792), « l’antique royaume des Sésostris, gouverné en apparence par des monarques, en réalité par un pontife maître de l’opinion, se composait de magnificence et de faiblesse ». […] Craignons-nous que les misères inhérentes à notre nature d’homme ne remplissent pas assez ce court espace sans y ajouter des maux d’opinion ? […] Puis, dans le conseil, il accuse René de toutes les trahisons, propose de le tuer à son retour avec les autres blancs établis sur les terres des Natchez, et fait adopter son opinion par le conseil. […] Dans les plus grandes hardiesses de l’Essai, « s’il était philosophe par les opinions, il ne l’était point par les conclusions » (Sainte-Beuve). […] Et c’est pourquoi, après s’être exprimés quelque temps à travers des opinions ou des fictions, enfin ils n’ont pu y tenir et se sont exprimés directement, parce que rien au monde ne leur paraissait plus passionnant qu’eux-mêmes.

1913. (1888) Poètes et romanciers

On interroge avec anxiété tous les échos de l’opinion. […] Pourquoi s’exposer de gaieté de cœur et inutilement à ces revirements d’opinions ? […] Il reste chez soi et ferme sa porte aux sollicitations de l’opinion. […] D’accord avec l’opinion, nous pensons exactement tout le contraire. […] — Sur ce point se produisent des opinions contradictoires.

1914. (1887) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Troisième série pp. 1-326

C’est l’opinion, le jugement motivé d’un savant que nous demandons ici. […] C’est l’opinion de M.  […] Il pourra me répondre, je sais bien, que, si c’était son opinion, c’est aussi celle de quelques pasteurs protestants, qui lui ont uniquement reproché là-dessus de n’avoir pas examiné d’assez près ce livre et ce dominicain. […] Et, puisque nous en sommes à reviser l’opinion consacrée, ne se tromperait-on pas encore de ne vouloir voir dans Turcaret qu’une satire uniquement dirigée contre les gens d’argent ? […] L’opinion des encyclopédistes fit pourtant autorité.

1915. (1936) Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours pp. -564

Par imagination, par nécessité, par position de faiseur d’opinion, de faiseur de vérité, il a dû mentir beaucoup : c’est un pragmatiste, et il faut le lire comme tel. […] Au sujet de cette politique même, les opinions sont très divergentes. […] Elle passa longtemps pour le grand livre de Mme de Staël, et, d’un certain point de vue décoratif, on peut maintenir cette opinion. […] Ils condensent avec génie ce qui est diffus et incertain dans l’opinion et les conversations. […] L’article terrible que Renan lui consacra après sa mort est devenu un lieu commun de l’opinion.

1916. (1895) La science et la religion. Réponse à quelques objections

C’est ainsi qu’il n’y a pas moins de six ou sept opinions sur l’origine ou sur l’auteur du Pentateuque ; et que, s’il nous plaît d’en dater la composition du temps de Josué par exemple, ou de Saül, ou de David, ou de Salomon, ou de Josias, ou de la captivité de Babylone, ou d’Esdras, ou de Néhémias, ou des premiers Ptolémées, ou des Macchabées même, on le peut ; et les maîtres de la philologie moderne en fourniront les raisons qu’on voudra. […] L’une et l’autre opinion, si différentes qu’elles puissent paraître, n’en reviennent pas moins au même point, qui est de faire de la morale une invention ou une conquête de l’humanité. […] Représentez-vous une armée, dont les soldats refuseraient l’obéissance à leurs officiers, comme différant avec eux d’opinion sur une question de discipline ou de service : telle est l’image du protestantisme. […] Mais quand il se fut aperçu qu’en somme les conclusions de ses Origines du christianisme ressemblaient beaucoup à celles de Voltaire, il changea d’opinion, ce qui fait honneur à sa loyauté, et dans son Histoire d’Israël on vit le mépris d’autrefois se changer en une émulation d’assez basses plaisanteries, qui fait moins d’honneur à son goût.

1917. (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre II. La parole intérieure comparée à la parole interieure »

On peut du moins supposer que tel est le processus générateur de cette opinion universellement répandue qui fait du mot tête le synonyme populaire d’esprit. L’hypothèse que nous venons de proposer n’implique de notre part aucune concession réelle à l’opinion de Bain. […] Après les avoir distinguées par les différences qu’elles nous présentaient, nous les distinguons par l’opinion que nous avons sur elles. […] En ce qui concerne la parole intérieure, nous partageons l’opinion de Bastian, et nous avions, à ce qu’il nous semble, réfuté d’avance l’argumentation contenue dans la réplique de Bain : car Bain fait appel à l’expérimentation, dont nous récusons le témoignage.

1918. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « en tête de quelque bulletin littéraire .  » pp. 525-535

Des individus remarquables, des talents nouveaux se sont produits, mais sans appartenir à aucun groupe existant, sans représenter aucune opinion, aucune doctrine fixe et saisissable.

1919. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Pensées »

En un mot, l’homme est instinctivement conduit par sa faculté à se faire telle ou telle opinion, à porter tel ou tel jugement, et à désirer, à espérer, à agir en conséquence.

1920. (1874) Premiers lundis. Tome II « Jouffroy. Cours de philosophie moderne — I »

Comme nous nous proposons de suivre le cours, nous reprendrons en détail toutes les opinions philosophiques ; aujourd’hui, nous nous contenterons de faire quelques observations générales.

1921. (1874) Premiers lundis. Tome II « Des jugements sur notre littérature contemporaine à l’étranger. »

Mais un article du Quarlerly Review, reproduit par la Revue britannique avec une certaine emphase et des réserves qui sont un peu là pour la forme (car elle-même a souvent exprimé pour son compte des opinions analogues), intente contre toute notre littérature actuelle un procès criminel dans de tels termes, qu’il est impossible aux gens d’humble sens et de goût, dont notre pays n’a pas jusqu’ici manqué, de taire l’impression qu’ils reçoivent de semblables diatribes importées de l’étranger, lorsque toutes les distinctions à faire, toutes les proportions à noter entre les talents et les œuvres, sont bouleversées et confondues dans un flot d’injures que l’encre du traducteur épaissit encore.

1922. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XVI. De l’éloquence et de la philosophie des Anglais » pp. 324-337

Burke, le plus violent ennemi de la France, a, dans son ouvrage contre elle, quelques rapports avec l’éloquence française ; mais quoiqu’il ait des admirateurs en Angleterre, on y est assez tenté d’accuser son style d’exagération autant que ses opinions, et de trouver sa manière d’écrire incompatible avec des idées justes.

1923. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Deuxième partie. Invention — Chapitre V. Des personnages dans les récits et dans les dialogues : invention et développement des caractères »

Éludiez Pascal, et la vie intense des acteurs de la comédie théologique qu’il dénonce à l’opinion des mondains : observez le père jésuite de la Quatrième Provinciale, doux et accueillant, ami des gens curieux, expert en logique, à cheval sur les textes et les autorités, n’ouvrant qu’avec révérence la Somme des péchés du père Bauny, « et de la cinquième édition encore, pour vous montrer que c’est un bon livre », et les écrits du P. 

1924. (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « Réponse à M. Dubout. » pp. 305-316

Vous pouviez conclure, de cette plaisante confusion et contrariété d’avis sur un si petit objet, à l’incurable vanité des jugements humains et, par suite, dédaigner mon opinion pêle-mêle avec les autres.

1925. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Dumas, Alexandre (1802-1870) »

OPINIONS.

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