Celle-ci écrite, une autre se présente, et encore une autre et toujours ainsi. » Vendredi 22 janvier C’est paradoxal vraiment, le prix des choses. […] Il semble vraiment qu’aux richards, sauf de très rares exceptions, est défendu le goût de l’art, supérieur, — de l’art fait par des mains, qui ne sont plus des mains d’ouvrier. […] Un quelconque. — Vallon, ce Vallon, passé grand homme, et Buffet devenu populaire, c’est vraiment trop fort, et l’ironie de ce temps est excessive. […] Il se déclare vraiment, dans le moment, une passion curieuse pour le bric-à-brac vermoulu et la loque d’atelier. […] Cousin aussitôt de s’écrier : “Est-ce vraiment une raison d’accepter un mot, parce qu’il est dans le coin d’un bon auteur.”
Le caractère vraiment social du style littéraire et poétique consiste, selon nous, à stimuler les émotions selon les lois de l’induction sympathique, et à établir ainsi une communion sociale ayant pour but le sentiment commun du beau. […] Le symbolisme est un caractère essentiel de la vraie poésie : ce qui ne signifie et ne représente pas autre chose que soimême n’est pas vraiment poétique. […] Ce sont bien vraiment les jardins de Versailles : tout est régulier, correct, souvent beau, presque jamais poétique, d’autant plus que le sentiment de la nature, c’est-à-dire de la vie universelle débordant chaque être, est à peu près absent. […] On ne pourrait prendre ces libertés qu’une fois en passant et dans des vers vraiment expressifs qui justifient la licence. […] Renan fait un si grand éloge.Ce serait le style vraiment fort d’une littérature de vérité, un style exempt du jargon à la mode, prenant une solidité et une largeur classiques.
Belles questions vraiment ! […] Vraiment, je suis fort embarrassé de conclure. […] Hugo, Il faut plus de trois ans vraiment, pour effacer les préjugés littéraires de la foule. […] Que doit-elle faire si elle l’aime vraiment ? […] Il n’y a de vraiment simple que les idées générales ; il n’y a de vraiment générales que les idées qui résument les faits.
On passait subitement d’une poésie sèche, maigre, pauvre, ayant de temps en temps un petit souffle à peine, à une poésie large, vraiment intérieure, abondante, élevée et toute divine.