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1082. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XVI. Des sophistes grecs ; du genre de leur éloquence et de leurs éloges ; panégyriques depuis Trajan jusqu’à Dioclétien. »

D’ailleurs, pour être vraiment éloquent, il faut un sujet qui intéresse l’orateur ; il faut un peuple qui s’intéresse au sujet.

1083. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXXI. De Mascaron et de Bossuet. »

On dit que c’était le seul homme vraiment éloquent sous le siècle de Louis XIV.

1084. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXXVI. Des éloges académiques ; des éloges des savants, par M. de Fontenelle, et de quelques autres. »

Enfin on peut remarquer, à la gloire de Fontenelle, que, parmi tous ceux dont il a fait l’éloge, on ne trouve que des hommes vraiment estimables.

1085. (1874) Histoire du romantisme pp. -399

Ce qui frappait d’abord dans Victor Hugo, c’était le front vraiment monumental qui couronnait comme un fronton de marbre blanc son visage d’une placidité sérieuse. […] Il fallait pour les porter un courage, un sang-froid et un mépris de la foule vraiment héroïques ! […] Ainsi placée sous la lumière, elle a vraiment une physionomie de bonté, de candeur et de sympathie. — Elle est d’un ami cher à nous deux, du brave Bouchardy. […] La salle était vraiment en délire ; on applaudissait, on sanglotait, on pleurait, ou criait. […] Bouchardy, qu’on méprise trop à présent, était dans son genre une puissante individualité, une nature vraiment originale.

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