D’ailleurs, pour être vraiment éloquent, il faut un sujet qui intéresse l’orateur ; il faut un peuple qui s’intéresse au sujet.
On dit que c’était le seul homme vraiment éloquent sous le siècle de Louis XIV.
Enfin on peut remarquer, à la gloire de Fontenelle, que, parmi tous ceux dont il a fait l’éloge, on ne trouve que des hommes vraiment estimables.
Ce qui frappait d’abord dans Victor Hugo, c’était le front vraiment monumental qui couronnait comme un fronton de marbre blanc son visage d’une placidité sérieuse. […] Il fallait pour les porter un courage, un sang-froid et un mépris de la foule vraiment héroïques ! […] Ainsi placée sous la lumière, elle a vraiment une physionomie de bonté, de candeur et de sympathie. — Elle est d’un ami cher à nous deux, du brave Bouchardy. […] La salle était vraiment en délire ; on applaudissait, on sanglotait, on pleurait, ou criait. […] Bouchardy, qu’on méprise trop à présent, était dans son genre une puissante individualité, une nature vraiment originale.