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815. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 389

Bienheureux Scudery, dont la fertile plume Peut tous les mois, sans peine, enfanter un volume.

816. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » p. 435

Le plus connu de ses Ouvrages & celui qui suppose le plus de recherches, d'application & de discernemens, est la Chronologie de l'Histoire sainte & des Histoires étrangeres qui la concernent, depuis la sortie d'Egypte jusqu'à la captivité de Babylone, en deux volumes in-4°.

817. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préfaces de « Bug-Jargal » (1826-1832) — Préface de 1832 »

En 1818, l’auteur de ce livre avait seize ans ; il paria qu’il écrirait un volume en quinze jours.

818. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Notes et pensées » pp. 441-535

— Quand Thiers, en tête de ses volumes, demandait pardon de donner le prix du savon et de la chandelle, cela avait un sens ; ces détails matériels rentraient dans l’histoire ; mais, chez Lamartine, c’est le procédé de Balzac appliqué en grand et dans la peinture à fresque. […] On ne saurait imaginer les petits moyens auxquels recourait ce grand esprit pour n’avoir point à citer les autres : obligé par décence et par un reste d’équité de mentionner leurs noms dans les numéros détachés de la Revue des deux mondes, il s’empressait de les effacer dès qu’il recueillait ses articles en volumes. […] — Ses trois grands et magnifiques discours sur les finances, sur l’Italie et sur la Suisse, sont ce qu’il a jamais dit de mieux comme orateur politique, de même que son septième volume de l’Histoire de l’Empire, est ce qu’il a fait de mieux comme historien. […] Celle-ci au contraire se pose ainsi la question : « Le volume de M. ou de Mme N… est assez bon aujourd’hui que certains procédés de couleur et de rhythme sont vulgaires ; mais l’auteur l’aurait-il fait, il y a dix ans ? […] Dubois, il me montra sur sa table les deux volumes d’Odes et ballades qu’il venait de recevoir et dont il me proposa de rendre compte : « C’est de ce jeune barbare, dit-il, Victor Hugo, qui a du talent, et qui de plus est intéressant par sa vie, par son caractère ; je le connais et je le rencontre quelquefois. » J’emportai les volumes, et quelques jours après je vins lire à M. 

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