Sur Adolphe de Benjamin Constant Dans un des articles de ce volume XI des Causeries (p. 289 et suiv.), on a vu la vérité sur Werther, la part de réalité qui s’y trouve combinée à des éléments poétiques et transformée par l’art.
On ne saurait mieux interpréter sa pensée qu’il ne l’a fait lui-même dans ce volume, p. 166 : « Il est, dit-il (décembre 1843), une douzaine d’hommes en France qu’on ne juge plus, mais qu’on loue ou qu’on attaque.
M. de Noailles prépare donc lentement ce travail auquel il mettra un volume ou plus d’introduction, de biographie et d’histoire.
Il y a du vrai, et les gens du monde qui admirent la poésie à tort et à travers, avertis cette fois, proclament beau ce qu’ils n’auraient jamais aperçu dans d’humbles volumes silencieux.