Je suis pourtant plus frappé de tout ce qu’il y a d’excellent, de profond, de vrai dans son œuvre, de ce qu’elle garde surtout de vivant, d’actuel, qui intéresse nos âmes jusqu’au fond.
Est-ce par ménagement pour quelque membre encore vivant de la famille du cardinal ?
Ses peintures n’ont été vraies que pour ceux qui pouvaient les appliquer à des vivants ; ses allusions nous échappent.
S’est-il du moins autorisé de quelques relations de voyageurs qui auraient trouvé ou inventé soit un individu isolé, soit quelques petits groupes vivant dans ce prétendu état d’innocence, antérieur aux sociétés ?