Vive Trochu ! […] Vive la République ! Vive Trochu ! […] Là, c’est un encombrement, une mêlée, une confusion de gens de toutes sortes, que trouent, à tout moment, des gardes nationaux, la crosse en l’air, et criant : « Vive la Commune ! […] Le froid est vif, mais la foule ne peut s’arracher à l’émotionnante vision.
M. de Rémusat avait, il y a quelques années, composé sur Abélard une suite de scènes dramatiques dont il avait fait lecture dans quelques salons et qui avaient obtenu le plus vif succès.
J’ai lu avec une grande émotion votre très vive et très exacte peinture de l’École normale de 1849 à 1852.
N’étant pas Mme Sand, je ne décrirai rien, et je ne les nommerai même pas, de peur de faire quelque grossière confusion : ce que je sais bien, c’est que c’étaient des fleurs rares, de qualité ; nobles de port, vives ou tendres de couleur, exquises de parfum.