Injure romantique en usage dans la conversation et dans la tragédie. […] Un autre romantique, piètre auteur d’une tragédie oubliée, s’écriait dans son orgueil, qu’il ne signerait pas Mérope.
On comprend maintenant Waterloo comme si l’on y assistait d’en haut en ballon, et sans la fumée du combat ; on en voit les mouvements, les ressorts, les préparations, les péripéties et les crises, comme dans une tragédie bien analysée.
Après cela, il y aurait du ridicule à cette bonne critique de se trop exagérer sa part dans le triomphe de ses plus chers poëtes ; elle doit se bien garder de prendre les airs de la nourrice des anciennes tragédies.
Les drames de Victor Hugo et les romans de Balzac n’entreront pas plus dans les chaumières que les tragédies de Racine ou les portraits de La Bruyère.