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144. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Saint-Georges de Bouhélier (1876-1947) »

(Théorie du pathétique pour servir d’introduction à, une tragédie ou à un roman) [1895]. — La Résurrection des Dieux (Théorie du paysage) [1895]. — Discours sur la mort de Narcisse ou l’impérieuse métamorphose (Théorie de l’amour) [1895]. — L’Hiver en méditation ou les Passe-Temps de Clarisse, suivi d’un opuscule sur Hugo, Richard Wagner, Zola et la Poésie nationale (1896). — Églé ou les Concerts champêtres, suivi d’un épithalame (1897). — La Route noire (1900). — La Tragédie du nouveau Christ (1901). […] Pierre Quillard M. de Bouhélier a le droit d’écrire, sans nous suggérer d’ironie, « Dieu et le brin de paille », parce que rien ne s’offre à lui que sous les espèces du pathétique ; il sait fort bien reconnaître dans le paysan qui jette le blé au sillon une manière de héros, et telles pages, Le Départ après les moissons, indiquent simplement et sûrement la très ancienne tragédie des adieux sans retour.

145. (1853) Portraits littéraires. Tome I (3e éd.) pp. 1-363

En choisissant dans l’histoire de la France au moyen âge le sujet de sa nouvelle tragédie, M.  […] C’est pourquoi, avant d’analyser la tragédie de M.  […] À ne consulter que la tragédie de M.  […] C’est à ces éléments que se réduit la tragédie de M.  […] À mes yeux, la tragédie nouvelle ne vaut pas moins que Lucrèce.

146. (1772) Discours sur le progrès des lettres en France pp. 2-190

Alors la Tragédie & la Comédie abandonnèrent Athènes, & se réfugièrent dans Rome, où elles reprirent un nouvel éclat. […] Nous ne pouvons guères juger de la Tragédie Latine, que sur les pièces qui nous restent sous le nom de Séneque, bien inférieures en tout aux Tragédies Grecques. […] Mais comment pourroit-on faire aujourd’hui des Tragédies, nos mœurs, disons-nous, ne sont point Poëtiques ? […] La terreur est l’ame de toutes ses Tragédies ; elles respirent la noble simplicité de l’Antique. […] « Mirame, Tragédie du Cardinal de Richelieu, tomba à la première représentation.

147. (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre V. Transition vers la littérature classique — Chapitre I. La littérature sous Henri IV »

Cette période est l’étape nécessaire qui conduit de Ronsard ou de Desportes au Malherbe de l’Ode au Roi parlant pour la Rochelle, de Montaigne à Balzac et à Descartes, ou à Pascal ; et là aussi, par Hardy, nous trouverons le passage des tragédies de la Pléiade à la tragédie du xviie  siècle. […] Les tragédies de Montchrétien sont lotîtes pleines d’effusions charmantes ou passionnées : j’en parlerai quand j’exposerai les commencements du théâtre classique. […] Sur un point, il est moins Grec et Romain que ses devanciers de la Renaissance et que ses successeurs classiques : il veut une poésie, une tragédie chrétiennes. […] Vauquelin et Régnier organisent la satire : Hardy, dont j’ai remis à parler, établit la tragédie. […] Il ne put tenir Sancerre contre le prince de Condé, puis essaya de soulever la Normandie, et fut tué au bourg des Tourailles (7 oct. 1621) par le seigneur du lieu, Claude Turgot.Éditions :les Tragédies, Rouen, in-8, s. d. (1601) ; Rouen, 1604 ; réimprimées par M. 

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