. — Théâtre complet, en vers, suivi de poésies (1882).
. — Effets de théâtre (1886)
La Cour était son élément, le seul théâtre où il pût exercer et développer ses facultés souples, liantes, patientes, assidues : ce fut son idéal dès ses premières années. […] … Il nous rappelle aussi le poète La Motte, qui, après une chute au théâtre, se retira quelque temps à La Trappe : « Il se croyait pénitent, a-t-on dit, parce qu’il était humilié. » D’Antin ne va pas jusqu’à songer à La Trappe. […] On a raconté aussi que plus tard, dans un séjour de Louis XIV à Fontainebleau, le roi ayant blâmé un bois qui masquait la vue, la même scène se renouvela avec quelque variante : peu de jours après l’observation du roi, d’Antin, alors directeur des Bâtiments, avait préparé avec art son coup de théâtre : il avait fait scier tous les arbres près de la racine ; des cordes étaient attachées aux troncs, et toute une armée de bûcherons invisibles attendait en silence.
Il ne lui a manqué que d’avoir gardé les chevaux à la porte d’un théâtre, comme Shakespeare. […] Tout à coup une ribambelle de paysans, composée surtout de femmes, envahit le théâtre en courant. […] tu erres à présent sur les boulevards et devant les théâtres, mais je t’aime surtout palpitant aux lumières des boutiques. […] Ce soir je vais au théâtre : j’entendrai chanter Siegfried. […] J’allais et je vins à passer devant un théâtre.