Nous doutons fort qu’elles soient heureuses de cela… Seulement, Michelet pourrait bien racheter la brutalité de sa définition à force de madrigaux immenses et de poésies dans la tonalité de celle-ci : « Au nom de la femme et par la femme, souveraine de la terre, ordre à l’homme de changer la terre et de mettre le ciel ici-bas. » Ce n’est pas facile, mais c’est assez flatteur, et les femmes, dit-on, aiment la flatterie.
Il n’y avait plus d’espoir qu’en Dieu, en présence des maux de la terre. […] La France n’a pas, comme les Pisans, rapporté sur ses vaisseaux, de la terre du Saint-Sépulcre.
dis, fleur que la vie a fait si tôt flétrir, N’est-il pas une terre où tout doit refleurir ? […] Elle passait comme un zéphyr Et la terre était consolée. […] L’art et l’héroïsme du passé combattaient encore pour cette terre sainte. […] Pourvu que la terre vînt à sourire au lever du soleil, qu’avait-il besoin d’en demander davantage ? […] Depuis cette heure il a regardé la terre avec dédain.
L’Orient l’enchanta, qui est la terre natale des religions. […] Et la terre, libérale, lui fournit ce qu’il souhaite. […] De toute la terre, nous n’aurons visité que les alentours de notre logement. […] Voici le ciel, la terre et tous les éléments ; il n’existe rien qui ne soit composé de ces éléments. […] Tu désires de considérer les dosages divers de l’eau, de la terre, de l’air et du feu !