Dans cette étude des mœurs d’un grand peuple, l’antiquité n’est guère représentée que par Homère et Théophraste, Aristophane, Plaute et Térence, et chez nous Molière et La Bruyère, et puis rien, sinon — tout en bas — des barbouilleurs : Rétif de La Bretonne et Mercier du Tableau de Paris ! […] On a fait bien des tableaux de Paris… la plus ressemblante de ces images est, à coup sûr, l’image du dessein le plus formé et le plus net. […] Aujourd’hui, comme au temps de La Bruyère, avec cinq ou six termes de l’art on se donne pour connaisseur en musique, en tableaux, en bâtiments, en bonne chère. […] Il n’y a rien (le plus effrayant et de plus terrible à la fois, que ce tableau de La Bruyère.
Pour compléter ce tableau des âges divin et héroïque, nous rapprocherons l’histoire du droit civil de celle du droit politique. […] » De retour à Naples, Vico y trouva cette décadence universelle dont on a vu le tableau. […] Sur le devant, le tableau de l’alphabet, les faisceaux, les balances, etc., désignent autant de parties du système. […] Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain ; écrit en 1793, publié en 1799. — Mme de Staël, passim, et surtout dans son ouvrage sur la Littérature considérée dans ses rapports avec les institutions politiques. — Walckenaer.
Il était près, assure-t-il, de lui répondre ; il s’est ressouvenu aussitôt de son Histoire, de cette Histoire élégante et froide, où il est tracé « un tableau si odieusement faux de la félicité du monde », à cette écrasante époque de l’établissement romain : Je n’ai jamais pu lire son livre, ajoute-t-il, sans m’étonner qu’il fût écrit en anglais ; à chaque instant j’étais tenté de m’adresser à M. […] Mercier, l’auteur du Tableau de Paris ; l’abbé Raynal ; M., Mme et Mlle Necker ; l’abbé de Bourbon, fils naturel de Louis XV ; le prince héréditaire de Brunswick, le prince Henri de Prusse, et une douzaine de comtes, barons et personnages de marque, parmi lesquels un fils naturel de l’impératrice de Russie. — Êtes-vous satisfait de la liste ?
Un jour que Frédéric lui avait envoyé un écrit de sa façon, un Essai sur les formes de gouvernement et sur les devoirs des rois (1777), le prince Henri, en remerciant son frère, lui disait : Vous avez fait le plus beau portrait des devoirs d’un souverain ; ce tableau cependant ne peut guère être imité : il faudrait toujours des princes doués de votre génie, et qui eussent vos connaissances ; la nature n’en produit pas de cette espèce : je désirerais donc encore un chapitre utile pour un homme que la naissance place sur le trône, mais auquel la nature a refusé les dons que vous possédez. […] [NdA] Un historien qui a longtemps étudié Frédéric le Grand, et qui a tracé un lien équitable et bien ferme tableau de son règne, M.