Mérimée, après lui, précis, attentif et positif comme pas un, allait continuer pendant des années cette suite de services d’un détail infini, et qui exigent des déplacements continuels, une sagacité infatigable ; il sauvait de la ruine quantité d’édifices intéressants, menacés et méconnus. […] Malgré l’espoir que j’exprimais, les suites de ce débat et de ce mauvais vouloir obstinément prolongé ont été, après un certain nombre de leçons (sept en tout), la retraite et la démission de M.
(suite et fin.) […] Vuillart. — Dans une lettre du jeudi 30 avril, parlant de la Mère Agnès de Sainte-Thècle Racine, qui était alors prieure à Port-Royal, après avoir été neuf ans de suite abbesse, il répète un mot de l’illustre neveu, et un mot que nous ne connaissions pas : « Son illustre neveu conservait une si vive reconnaissance de l’éducation qu’elle lui avait procurée dans la maison, d’abord sous M.
En vain invoquait-on des raisons matérielles en faveur du Journal officiel : il allait s’organiser mieux, disait-on, dans la suite, et peu à peu ; il fallait lui laisser le temps ; il paraîtrait au moins mieux imprimé. — M. […] Troplong lui-même, comme on le verra par la suite de ce volume (à la fin des articles sur M. de Talleyrand).
Maurice de Saxe, un guerrier par nature et par génie, se mettant à dicter ses Rêveries, pouvait dire : « La guerre est une science couverte de ténèbres, dans l’obscurité desquelles on ne marche pas d’un pas assuré : la routine et les préjugés en font la base, suite naturelle de l’ignorance. — Toutes les sciences ont des principes et des règles, la guerre seule n’en a point… La guerre a des règles dans les parties de détail, mais elle n’en a point dans les sublimes… Les grands capitaines qui en ont écrit ne nous en donnent point. […] C’est encore sous ce titre, et comme suite, que parut en 1806 et par anticipation un volume intitulé : Relation critique des campagnes des Français contre les coalisés depuis 1792, qui commençait l’Histoire des guerres de la Révolution.