Cette suite s’appelle Le Mannequin d’osier. […] Elle lui suppose de tout autres intentions : et ainsi de suite. […] Ainsi de suite. […] Et ainsi de suite, indéfiniment. […] Worms à sa suite, du reste) concilier l’organisme social avec le Contrat social.
A la suite d’une observation, une idée relative à la cause du phénomène observé se présente à l’esprit ; puis on introduit cette idée anticipée dans un raisonnement en vertu duquel on fait des expériences pour la contrôler. Les idées expérimentales, comme nous le verrons plus tard, peuvent naître soit à propos d’un fait observé par hasard, soit à la suite d’une tentative expérimentale, soit comme corollaires d’une théorie admise. […] Il y a des vivisections extemporanées et d’autres vivisections dans lesquelles on produit des mutilations dont on étudie les suites en conservant les animaux. […] Au lieu de rester des états indéterminés de l’organisme, les prédispositions, étudiées expérimentalement, rentreront par la suite dans des cas particuliers d’une loi générale physiologique, qui deviendra ainsi la base scientifique de la médecine pratique. […] Mais elles seront plus tard remplacées par d’autres qui représenteront un état plus avancé de la question, et ainsi de suite.
C’est ainsi que nous en avons trouvé chez quelques phtisiques, morts à la suite d’une courte agonie, et chez les diabétiques emportés presque subitement par des engorgements pulmonaires. J’en ai également rencontré chez des individus morts en quelques heures, à la suite d’un empoisonnement par l’arsenic. […] Ce serait même une manière de reconnaître si un individu ou un animal ont succombé à la suite d’une longue maladie, ou sont morts subitement. […] Les chiffres 1,33 et 1,65 pour 100 sont des chiffres normaux pour le chien, et qui ne diffèrent pas de ceux qu’on obtient à la suite d’une alimentation mixte. […] Voici les résultats que nous avons obtenus à la suite des injections sous-cutanées des différents sucres.
Quand le mal vient saper mon moral, que je me sens seul, isolé, loin de tout ce que j’aime, j’ai le cœur bien serré ; alors je regarde ma croix, mes épaulettes, je pense à mes enfants, à vous, à mon passé, à l’avenir ; je me roidis et je tiens bon, mais mes cheveux blanchissent et mes genoux tremblent. » Dans une expédition faite pour prendre possession de Djidjelli (mai 1839) et pour châtier les Kabyles voisins, le capitaine Saint-Arnaud mérite d’être proposé pour le grade de chef de bataillon, en remplacement du brave Horain, qui meurt des suites d’une blessure. […] Sa conduite dans les journées suivantes lui vaut d’être cité (c’est la quatrième fois) à l’ordre du jour de l’armée : « Mes enfants liront encore le nom de leur père cité au milieu de ceux des bons diables qui se battent pour le pays. » Le général Bugeaud, par une suite d’opérations méthodiques et bien connues, travaille à ruiner la domination et l’influence d’Abd-el-Kader, en attendant qu’on vienne à s’emparer, s’il se peut, de sa personne. […] Par une campagne de quatre-vingts jours (mai-juillet 1851), durant laquelle sa colonne se mesure vingt-six fois avec l’ennemi, et toujours avec avantage, et où il dirige une série de mouvements qui amènent des résultats prévus et décisifs, il couronne sa carrière d’Afrique et mérite d’être nommé général de division comme il convient de le devenir, c’est-à-dire à la suite « d’une des plus rudes, des plus longues et des plus belles expéditions qui se pussent faire ».