Et il suffit pour cela que les auteurs apportent des idées nouvelles, qui correspondent aux sentiments de l’époque et qui conviennent, en même temps, à la nature de nos nationaux.
Cela me suffît.
Vielé-Griffin exprime avec un sourire d’aisance et de plénitude l’enchantement de ce pays où des prairies, une courbe de fleuve, une ligne de peupliers suffisent par le jeu de la lumière au décor le plus émouvant.
Nous sommes loin, il est vrai, d’apprécier le millième de seconde, mais après tout, disent quelques personnes, la vitesse absolue totale de la Terre est peut-être beaucoup plus grande que sa vitesse relative par rapport au Soleil ; si elle était par exemple de 300 kilomètres par seconde au lieu de 30, cela suffirait pour que le phénomène devînt observable.