Le second est l’aperception d’une différence : je jouissais, je souffre ; j’aperçois la différence, et l’image de la jouissance reste dans ma mémoire pendant que je souffre.
Et de cela, de cette mutilation de l’âme, ce n’est pas uniquement l’Expiation de Saveli qui en a souffert, c’est toutes les œuvres de Mme Henry Gréville, et celles-là aussi qui sont les plus réussies. […] elles en ont souffert !
Elle a sur cet ennui dont elle souffre, et pourquoi ? […] Le ton de ce monde qui énerverait le talent, l’âme et la plus forte pensée, ce ton qu’à son époque on appelait le bel air, était odieux à son esprit comme un ennemi personnel : « Je ne le peux souffrir », écrit-elle.
et elle qui, comme lui, en a souffert sans mot dire, plus tard, — dans l’avenir, — elle en souffrira bien davantage !