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1574. (1864) De la critique littéraire pp. 1-13

Les philosophes, les poètes, les critiques semblent avoir réuni leurs efforts pour le chasser ; je tremble qu’ils n’y réussissent ! […] À ces qualités que je suppose réunies dans mon critique, j’en ajouterais volontiers quelques autres, quoiqu’elles semblent moins indispensables, par exemple d’être discret et de parler français. […] Car enfin, si elle avait ce crédit, il semble que nous devrions être les plus fins connaisseurs du monde, les plus amoureux de l’art et de l’art le plus sublime.

1575. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XXII. La comtesse Guiccioli »

Après Byron, il semble qu’il n’y ait plus que Dieu ! […] Né depuis moins de temps et sorti fraîchement des mains de Dieu, il semble radieusement imprégné des baisers que Dieu lui donnait encore, ce matin… Il semble qu’il y ait sur les roses de son front un reflet des portes du ciel, et de la première aurore de la création… Eh bien !

1576. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Gaston Boissier » pp. 33-50

. — Cela ne semble rien que cette thèse d’histoire, et c’est tout ; car c’est la divinité même du Christianisme qui reste dessous ! III Et la chose est exécutée, du reste, avec une souplesse, une douceur et une discrétion incomparables, qui font penser à une autre Critique comme moi, Madame Pernelle, laquelle n’était pas très contente non plus :             … Pour vous, sa sœur, vous faites la discrète, Et vous n’y touchez pas, tant vous semblez doucette ! […] Dès les premiers mots de ce livre, qui semble avoir l’indifférence de l’impartialité : La Religion romaine d’Auguste aux Antonins, l’auteur vise le Christianisme.

1577. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Le père Augustin Theiner »

Dans sa haletante existence l’homme est, ce semble, encore plus pressé de conclure que de savoir. […] Leurs missions par tout l’univers, leurs conquêtes, leurs miracles, leur enseignement, leurs travaux de savants et d’apôtres, et, on peut le dire de cet ordre si profondément unitaire et qui donna au monde un modèle de gouvernement que l’ancienne Rome n’avait pas égalé, leur génie collectif, retrempé sans cesse aux sources de l’obéissance, auraient dû les préserver, à ce qu’il semblait, des coups d’un pouvoir qu’ils n’avaient jamais pensé qu’à défendre. […] Theiner, outre que c’est là un nom modéré et honnête pour toutes les lâchetés politiques, c’est précisément la question, et elle nous semble suffisamment résolue par les événements déplorables dont l’abolition fut suivie.

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