On lui commande des pageants ou parades, des déguisements pour la compagnie des orfévres ; un masque devant le roi, un jeu de mai pour les shérifs de Londres, une mise en scène de la création pour la fête de Corpus-Christi, une mascarade, un noël ; il donne le plan et fournit les vers.
Dans tout cela, pas un atome du sentiment, qui, chez Simon Memmi, Filippo Lippi, Botticelli, Pietro di Cosima, enfin chez les plus petits primitifs, donnèrent à ces scènes, l’expression d’émotion recueillie, presque de componction, enfin de cette sainte placidité dans l’étonnement, angélisant, pour ainsi dire, les yeux de ceux qui assistent à un miracle.
» Ces scènes se renouvelaient pour lui à chaque promenade que nous faisions ensemble.
La scène se passe dans les jardins du Tadj, merveille du Dékan, décrite par maints voyageurs.