Abailard, jaloux de conserver une bonne réputation, d’empêcher que sa croyance ne devint suspecte, mit alors le public au sait de ses véritables sentimens.
On rend hommage à ses talens, sait à celui d’approfondir les principes des langues, d’entendre mieux que personne la métaphysique de la Grammaire, soit à celui de faire une chanson agréable.
C’est que « bon sang » ne saurait mentir.
Un peu gravé de cette horrible petite vérole philosophique, du moins il n’en mourut pas ; car il faut bien qu’on le sache, cet Arlequin d’abbé philosophe est mort en chrétien… Il a trompé son monde, comme Littré.