Forain n’apportait pas, à ses exécutions, le même sérieux enragé que Degas mettait aux siennes.
… Ça n’est pas sérieux ! […] De la main gauche, il tenait son questionnaire… de la main droite, il ajustait le mentaloscope sur le crâne du citoyen Faberot, étonné et sérieux.
Dans un pays comme la France, dans un siècle comme le dix-septième, où la théologie était à la fois un goût sérieux et une mode, quand les deux adversaires sont un Bossuet et un Fénelon, se pouvait-il que de si nombreux écrits sortissent de telles plumes sans que l’esprit français en fût touché, sans que l’art et la langue y fussent intéressés ?
Ce qui est chimérique, jusqu’à nouvel ordre, c’est l’exploitation du théâtre de collège et de patronage par un nombre suffisant d’auteurs dramatiques sérieux, capables de se soumettre aux lois du genre sans dommage aucun pour leur art.