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182. (1874) Premiers lundis. Tome II « Sextus. Par Madame H. Allart. »

C’est ce côté toujours noble, toujours héroïque du type romain que madame Allart a voulu nous représenter dans Sextus, favori d’un cardinal, peut-être son fils, intendant de ses troupeaux dans les Maremmes, et l’un des hommes les plus distingués et les plus inutiles, hélas ! […] L’éternelle pensée de ce qu’il y a encore au fond du génie romain, exalte et dévore Sextus.

183. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre troisième. Histoire. — Chapitre II. Causes générales qui ont empêché les écrivains modernes de réussir dans l’histoire. — Première cause : beautés des sujets antiques. »

Les Grecs ont surtout été remarquables par la grandeur des hommes ; les Romains, par la grandeur des choses. […] n’envions pas aux Romains leur Tacite, s’il faut l’acheter par leur Tibère !

184. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 38, que les remarques des critiques ne font point abandonner la lecture des poëmes, et qu’on ne la quitte que pour lire des poëmes meilleurs » pp. 554-557

Un homme capable par les forces de son génie d’être un grand poete, et qui pourroit tirer de son propre fond toutes les beautez necessaires pour soutenir une grande fiction, trouveroit mieux son compte à traiter un pareil sujet dans lequel il n’auroit point à éviter de se rencontrer avec personne, qu’il ne pourroit le trouver en maniant des sujets de la fable ou de l’histoire grecque et romaine. […] Virgile et Lucain ont pris leurs sujets dans l’histoire romaine.

185. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XIII » pp. 53-57

La quantité de tragédies grecques, romaines et bibliques, qui sortent en ce moment des portefeuilles ou qui sont sur le chantier, est innombrable. Qui me délivrera des Grecs et des Romains ?

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