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1458. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre troisième »

Où l’auteur des Lettres persanes ne trouve que son plaisir, La Bruyère avait trouvé son plaisir et son chagrin ; il y a de la tristesse dans son rire, et il ôte aux plus honnêtes d’entre ses lecteurs l’envie d’être vains des ridicules dont ils sont exempts.

1459. (1890) L’avenir de la science « XV » pp. 296-320

L’Asie n’a jamais su rire, et c’est pour cela qu’elle est religieuse.

1460. (1888) Revue wagnérienne. Tome III « IX »

Il y en a deux seulement qui ont l’habitude de causer, de rire, et de se pousser d’amicales bourrades pendant les morceaux du concert : ils ont une fois empêché d’entendre la symphonie en la de Beethoven, où il y avait cependant des choses très agréables ; il est vrai que j’ai pu entendre, en revanche, quelques-unes de leurs réparties.

1461. (1909) De la poésie scientifique

« Tandis qu’avec une volonté obstinée, sans entendre les rires parfois stupides de ses critiques officiels, sans se préoccuper non plus des objections amicales, il poursuivait son labeur, quelques-unes de ses idées faisaient fortune, et d’aucuns, plus adroits, les transmuaient et déformaient à l’usage de la Bourgeoisie française ».

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