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1400. (1824) Préface d’Adolphe

Je crois que pour la plupart ils se calomniaient, et que si leur vanité les eût laissés tranquilles, leur conscience eût pu rester en repos.

1401. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — IX. Chassez le naturel… »

Tâchons, toi et moi, de rester immobiles, celui qui bougera le premier aura perdu son pari ».

1402. (1894) Critique de combat

La définition est restée bonne : on a changé si peu de choses depuis lors ! […] France en est resté à ses premières amours. […] Il en restera encore assez, c’est-à-dire toujours trop. […] — Et l’on y restera immobile ! […] Un livre puissamment documenté qui restera.

1403. (1875) Premiers lundis. Tome III « Les poètes français »

Jannet, dont la Bibliothèque elzévirienne restera comme un monument de cet effort de régénération littéraire érudite. […] Ce noble Lorrain, à la haute taille, au visage balafré et resté beau, au geste dominant, à la parole courtoise, est bien un ancêtre des illustres Guises, de celui qui à la veille d’être massacré, répondait aux donneurs d’avis : « On n’oserait !  […] Un de nos maîtres38 l’a dit : « Ce qui était chez nous au moyen âge comme l’héritage commun de tout un peuple, est devenu (en passant surtout chez les Italiens, chez Boccace et ses continuateurs) la propriété de quelques noms restés célèbres. » Qu’importe ? […] — Je sais qu’à côté de Loufflers on m’opposera le gracieux, l’élégant Parny, réputé racinien en son temps dans l’élégie amoureuse ; mais, de ma remarque, l’essentiel et le principal restent vrais.

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