Si je fais quelque chose de bien dans tout le temps qui me reste à vivre, je suis sûr que le souvenir de M. de Malesherbes animera mon âme. […] M. de Malesherbes revint ; on sait le reste. […] Cette reconnaissance, au reste, a porté bonheur à Rousseau, qui n’a rien écrit de plus beau que les Quatre lettres à Monsieur de Malesherbes.
Le cercueil de l’homme de lettres a des fortunes pareilles à celles d’un livre… Au reste, chez tout ce monde, pas le moindre deuil de cœur. […] Il n’y a là-dessus de sérieux que quinze à seize cents francs… le reste est dû à des amis comme vous ! […] ” » Là-dessus il nous parle de Sœur Philomène, disant que seules ont de la valeur, les œuvres venant de l’étude de la nature, qu’il a un goût très médiocre pour la fantaisie pure, qu’il prend peu de plaisir aux jolis contes d’Hamilton ; qu’au reste, cet idéal dont on parle tant, il n’est pas bien sûr que les anciens s’en soient préoccupés, qu’il croit au contraire que leurs œuvres étaient des œuvres de réalité, — que peut-être seulement ils travaillaient d’après une réalité plus belle que la nôtre.
Une heure grave arrive… il faudra marcher à la baïonnette… Si j’y reste, je demande une chose, c’est que le peu de forces consacrées qui était en moi puisse rejaillir sur ceux que j’ai aimés et qui m’ont aimé, sur tous mes compagnons d’idéal et de labeur. […] Que M… ne s’inquiète donc pas, qu’elle ne s’agite pas, qu’elle reste calme. […] Il me reste cependant assez de temps pour te dire que je vais très bien, que je t’aime, et que je suis très heureux.
Au reste, j’ai dicté cela par désœuvrement. […] lasalle. — Je ne veux pas ; ce serait un trop mauvais tour ; cela ralentirait ma marche ; ils voudraient tous ensuite m’en donner le reste de la route, je resterais en chemin.