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1913. (1864) Histoire anecdotique de l’ancien théâtre en France. Tome I pp. 3-343

. — Beaux vers qui s’y rencontrent. — Sa Lucrèce. — Singulières licences des poëtes de cette époque. […] Quelqu’un demanda à un ecclésiastique quel était cet abbé de si bonne mine : « C’est l’abbé Mondory, répondit l’ecclésiastique, il doit prêcher cet après-midi à l’Hôtel de Bourgogne, et il prie pour le succès de son sermon. » Après la représentation de sa pièce, qui fut, en effet, bien accueillie par le public, Bois-Robert, s’en revenant à pied, fut rencontré par un de ses amis qui lui demanda ce qu’il avait fait de son carrosse.

1914. (1904) En lisant Nietzsche pp. 1-362

On lui avait enseigné le pessimisme, c’est-à-dire, au fond et en gros, la croyance que la vie est mauvaise ; et il croyait voir un art et une race enivrés de l’amour de la vie, un art et une race profondément optimistes, mieux que cela, un art et une race qui faisaient servir le pessimisme à l’optimisme et qui par conséquent effaçaient l’un et l’autre et surtout les pédantesques et puériles oppositions de l’un contre l’autre, l’antinomie fausse de celui-ci et de celui-là, un art et une race qui, par-delà l’optimisme et le pessimisme, rencontraient la vie, et la vie dans toute sa plénitude, à savoir la vie en beauté. […] Il se peut très bien qu’à chercher la vie, l’extension de la vie, la vie toujours plus vivante, ce soit la peine, la souffrance, la blessure et finalement que vous rencontriez. — Soit et précisément ! […] Quel bienfait c’était pour eux que de rencontrer ces êtres qui étaient plus âmes que corps et qui semblaient réaliser cette idée grecque des ombres de l’Hadès ! […] Pour dire toute ma pensée, il l’est tout à fait, et la chose qui m’étonne le plus, étant donné qu’il est paradoxal, effronté et un peu cynique, c’est de n’avoir pas rencontré dans ses livres un éloge de Néron.

1915. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Eugène Gandar »

C’était encore ma volonté deux jours avant mon départ, quand j’eus l’honneur de rencontrer chez M. 

1916. (1858) Cours familier de littérature. V « XXVIe entretien. Épopée. Homère. — L’Iliade » pp. 65-160

» Pâris et Hector se rencontrent aux portes Scées et descendent ensemble vers la plaine où ils vont combattre.

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