Sa Relation du Royaume de Siam, sur-tout, peut être regardée comme un Ouvrage sagement écrit.
de la Harpe, son ami, lui a prodigués, on devroit le regarder comme un grand Littérateur & un bon Poëte ; mais s’il faut le juger d’après ses propres Ouvrages, on peut assurer qu’il n’annonce pas même le germe des qualités que son Panégyriste lui reconnoît.
Boileau, dans ses Réflexions sur Longin, le regarde comme un des meilleurs Livres de Poétique qui, du consentement de tous les habiles gens, ait été fait dans notre langue.
D’ailleurs, son Art de communiquer ses idées, son Essai sur la santé, & son Ventriloque peuvent être regardés comme des Productions qui ne sont point étrangeres à la Littérature.