Les trois amis d’enfance, minuscule nationalisme, ont les traits bien dessinés, mais, comme dans le Wilhelm Meister de Goethe, les héroïnes ne tirent leur réalité que de leur rapport à Wilhelm, ces trois amis tirent la leur de leur rapport à Agnès. […] La biographie de l’artiste ne lui est d’aucune aide, et, s’il veut tenir compte du tempérament de celui-ci, il ne le signale que dans ses seuls rapports avec l’œuvre. […] Lorsque les rapports de la France et de l’Allemagne constituent le fond de l’étude, on doit faire preuve d’un moindre souci d’objectivité. […] Il étudie les rapports de l’art avec la vie de l’artiste dans des nouvelles, inspirées de l’art de Mérimée, qu’il publiera bientôt. […] Je distingue les rapports qui existent entre un paysan catholique de notre Savoie et un paysan protestant vaudois.
Ce fut là que Stendhal rencontra, un soir, à Milan, au théâtre de la Scala, celui qu’un rapport de police, qui nous est parvenu, qualifiait « d’homme de génie, très froid et très fin ». […] Bien plus, la « baüta », en certains cas, obligatoire, en d’autres, privilégiée, était promue, en des occasions prévues, au rôle de costume officiel et cela dans les rapports entre les Ministres étrangers et les Patriciens. On sait combien la prudence du gouvernement rendait ces rapports difficiles. […] En 1868 fut publié, à l’Imprimerie impériale, un Rapport sur le progrès des lettres, rédigé par Sylvestre de Sacy, Paul Féval, Édouard Thierry et Théophile Gautier. Il s’agit là d’une partie du plus large Recueil de rapports sur les progrès des lettres et des sciences en France.
Bien que, une fois que le mariage est accompli, il s’en forme, comme nous l’avons vu, une idée assez triviale, bien qu’il traite avec beaucoup de légèreté, quelquefois, les rapports du mariage, il y a un fait qui domine tout cela : il a voulu le mariage libre, sincère, au moment où il s’accomplit ; en un mot, il a voulu substituer ou joindre, dans la famille, aux rapports rigoureux d’autorité, des rapports de douceur et de bonne volonté. […] Je tiens, messieurs, à bien marquer la portée de ce que je vous dis ici, pour ne pas établir sous ce rapport entre notre temps et l’époque qui a précédé Molière une opposition qui deviendrait fausse si je la faisais trop absolue. Je ne crois pas, bien entendu, que l’émancipation de la famille et des rapports de famille date seulement de Molière ; cela date de bien plus haut chez les peuples d’origine romane. […] C’est que, dans l’histoire de ce sentiment, deux faits sociaux sont en face l’un de l’autre : l’inégalité d’autrefois et l’égalité d’à présent dans les partages ; l’égalité que, sous ce rapport, nous pratiquons absolument dans les familles depuis la Révolution. […] Le mariage une fois accompli, et la vie à deux engagée, c’est ici qu’éclatent tout son art et tout son bon sens, de quelque façon d’ailleurs, — je n’y reviens pas, — qu’il ait envisagé souvent le mariage et les rapports matrimoniaux.
On voit comment Mme Guyon fut mise en rapport étroit avec Mme de Maintenon. […] Il ne nous appartient ni d’approfondir ni d’effleurer seulement la question des rapports de la morale avec le dogme. […] Ajoutons, en second lieu, que la question des rapports de la morale avec le dogme religieux, quel qu’il soit, n’est pas tout à fait la même que la question des rapports de la morale avec la métaphysique. […] Il entra par là, naturellement, en rapports plus directs avec le duc de Choiseul. […] Il faut lire son rapport.