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1106. (1898) XIII Idylles diaboliques pp. 1-243

Toute la sainte nature me raconte sa magnificence. […] mon cher Diable, tu devrais bien m’en raconter quelques-unes. […] Raconte-moi quelques-uns de ceux que tu habitas jadis afin que je puisse me comparer à eux. […] Au tribunal, nous avons raconté tout ce qu’on nous avait fait souffrir. […] Assez parlé de moi. — À ton tour, raconte-moi un peu tes aventures.

1107. (1874) Premiers lundis. Tome I « M. A. Thiers : Histoire de la révolution française — I. La Convention après le 9 thermidor. »

Par la manière dont il la raconte, M. 

1108. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre II. Des tragédies grecques » pp. 95-112

La religion des Grecs était singulièrement théâtrale ; on raconte qu’une tragédie d’Eschyle, les Euménides, produisit une fois une impression si prodigieuse, que les femmes enceintes ne purent en supporter le spectacle ; les terreurs de l’enfer, la puissance de la superstition, bien plus que la beauté de la pièce, agissaient ainsi sur les âmes.

1109. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110

Le comique taille sa plume et raconte : Micromégas tira une paire de ciseaux dont il se coupa les ongles, et d’une rognure de l’ongle de son pouce, il fit sur-le-champ une espèce de grande trompette parlante, comme un vaste entonnoir, dont il mit le tuyau dans son oreille.

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