En Angleterre, il n’y avait pas, il est vrai, d’associations comme en Allemagne, mais une vogue immense entourait William Law qui commentait ce vieux Boëhm, si cher aux imaginations des races germaniques.
Je ne veux pas dire par là que tel détail vous attire par son heureuse inspiration ou que tel fragment dénote, à vos yeux, l’artiste de race qui l’a conçu : je dis que de l’œuvre dans sa totalité, de ses moindres détails comme de ses lignes maîtresses, jaillit une incomparable expression de beauté.
Quand on a remporté la victoire sur des lions, des léopards et des tigres, on compte tous ceux dont on a fait couler le sang dans les forêts : quand on a vaincu des hommes, il faut compter tous ceux qu’on a sauvés ; encore n’extermine-t-on pas entièrement les bêtes féroces, on en laisse subsister la race dans les déserts ; et une nation d’hommes, (qu’on les appelle barbares, ils n’en sont pas moins des hommes) une nation tout entière, soumise et tremblante à ses pieds ; il eût donc fallu l’exterminer et la détruire ?
dit-elle, grave et terrible… Si tu ne brûles pas à l’instant ce que tu viens de signer, avec le serment sur la croix que tu ne recommenceras jamais plus… la race est finie, broyée… La femme… l’enfant, là, sur ce perron ! […] Alphonse Daudet est une de ses maîtresses productions et on y retrouvera toute la vaillance de l’écrivain de race. […] Il a sa morale de Chambéry et celle de la rue de Londres… Les mots et les actes toujours en désaccord… Deux paroles, deux visages… Toute la félinerie et la séduction de sa race… L’homme du Midi enfin ! […] » n’y eût point été ; en lui donnant cet ordre de la part de Dieu, Moïse a été obéi et la race a vécu. […] Nul doute que le succès n’accueille ce livre, qui donnera une juste idée aux races futures de la force de l’observation photographique et intelligente d’un des esprits les plus originaux de notre temps.