/ 1609
943. (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « (Chroniqueurs parisiens I) MM. Albert Wolff et Émile Blavet »

Certaines strophes de lui vous emplissent pour des heures de musique et de rêve.

944. (1920) La mêlée symboliste. I. 1870-1890 « La Plume » pp. 129-149

À l’école du document humain, pour qui la psychologie n’était que le jeu de l’instinct, devait succéder un art de rêve, tout en délicatesses et en nuances.

945. (1904) Prostitués. Études critiques sur les gens de lettres d’aujourd’hui « Chapitre V. Chanteuses de salons et de cafés-concerts »

Ce rêve noir, il le dit en des vers qui ne s’irritent jamais, qui sourient souvent, qui parfois s’amusent.

946. (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre III, naissance du théâtre »

Déjà hiératique, encore populaire, un pied dans les Mystères, l’autre dans la nature, entrecoupé de lumières joyeuses et d’ombres profondes, riant et béant à la foule par une de ses faces, comme un mascaron de fontaine, se présentant de l’autre à ses initiés, le front plein de rêves, le doigt sur les lèvres.

/ 1609