Mais, ô ma Colombe voilée, Vous avez l’éternel espoir, Et les brises de la vallée, Et les enchantements du soir ; Et quand l’ombre apporte sa trêve A vos labeurs interrompus, Vous trouvez dans le moindre rêve La paix du Ciel que je n’ai plus !
Il la regarde et l’interprète selon le besoin de son cœur ; il y réalise son rêve d’ordre, d’harmonie, de bonté universelle, que la société avait trompé.
Ces ailes ne sont pas une création fabuleuse des poëtes, le rêve illusoire d’un Icare châtié dans sa témérité.
C’est par là qu’il se rêve et qu’il se désire.