Il a beau dire : c’est l’instant où Jupiter, s’apercevant qu’on lui a servi à manger l’enfant de la maison, le ressuscite, le rend à sa mère et condamne le père aux enfers… je lui répondrai toujours : ce sont trois instans et trois sujets très-distingués.
On répond aux gens du métier qu’un poëme ou un tableau peuvent avec de mauvaises parties être un excellent ouvrage.
Gustave Brocher nous répond, par exemple, dans la Revue générale de bibliographie française (10 février 1904) : « Le travail ne suffit pas. » (Nous n’avons jamais dit que le travail suffisait ; nous avons toujours dit qu’il faut aussi le don, la vocation, la verve, l’inspiration.) « Un méchant écrivain ne deviendra pas un styliste en changeant cent fois la forme d’une phrase… » (C’est notre avis, et nous n’avons jamais prétendu le contraire.
La pieuse logicienne lui répond aussitôt : « Alors que toute la dispute se réduise — à comparer ces règles et le christianisme ! […] J’ai rarement répondu aux pamphlets diffamatoires, ayant dans les mains les moyens de confondre mes ennemis, et, quoique naturellement vindicatif, j’ai souffert en silence et maintenu mon âme dans la paix762. » Insulté par Collier comme corrupteur des mœurs, il souffrit cette réprimande brutale et confessa noblement les fautes de sa jeunesse : « M. […] « Si quelqu’un me demande ce qui a si fort poli notre conversation, je répondrai que c’est la cour. » Dryden, Défense de l’Épilogue de la Conquête de Grenade. […] Absent, I may her Martyrdom decree, But one look more will make that martyr me… Ce Maximin a la spécialité des calembours : Porphyrius, à qui il offre sa fille en mariage, répond que la distance est trop grande. Maximin là-dessus répond : Yet Heav’n and Earth which so remote appear, Are by the air, which flows betwixt’em, near.