/ 1874
1011. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Hoffmann »

Chez lui, le fantastique demeure à l’état subjectif et vague, et par là, sans qu’il le sût, la notion s’en trouve altérée ; car le fantastique doit être objectif, solide, vivant, réel enfin de sa surhumaine réalité !

1012. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XX. M. de Montalembert »

Seulement, on n’improvise pas avec cela du soir pour le matin un talent réel de littérature ou d’histoire ?

1013. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « M. Matter. Swedenborg » pp. 265-280

Il n’était pas poète, d’abord parce qu’il n’avait pas l’organisme sensible, impérieux et violent des poètes » mais il ne l’était pas non plus pour deux raisons souveraines que je m’en vais vous dire : c’était un protestant et c’était un rationaliste, nonobstant sa très réelle mysticité.

1014. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « A. P. Floquet »

Cependant, la Vie de l’Aigle de Meaux, tout oppressive qu’elle fût pour le faible talent de Bausset, eut un succès réel quand elle parut, et ce succès s’immobilisa dans l’espèce de considération qu’elle a gardée, mais dont les causes ne sauraient échapper qu’à une critique sans pénétration et sans regard.

/ 1874