L’Alexandrin peut être, il est vrai, un vers excellent : délivré de ses entraves, il s’accommode fort au récit et au dialogue dramatique, mais, en principe, il ne possède aucune supériorité rythmique ou autre sur les vers de mètres différents.
Mais si l’on songe que les histoires d’amour et de tournois — bourdonnées de la sorte — sont enclines à verser le sommeil ; si l’on songe aux nuits de juin où, la chair rose sous la chemise de samit mauve, les nobles dames d’antan prêtaient une chaste oreille aux récits des Violeurs de Villanelles.
Il meurt du même genre de mort, & son gouverneur fait un récit.
Les descriptions agréables et brillantes y sont nécessaires au récit du fait.