Mais ce sont là des questions où l’on ne conteste que du plus ou du moins, des questions secondaires à vider entre soi et entre amis ; le public de nos jours n’en a que faire et prend plus indifféremment les choses. […] Elle a sa place dans la seconde partie des Confessions, dans ce dixième livre où il raconte son installation et sa vie à Montmorency après sa sortie de l’Ermitage ; elle n’y est qu’à moitié travestie et défigurée ; le passage où il est question d’elle et de son mari est des plus piquants d’ailleurs, et l’on sent que Rousseau s’y égayé plus vivement qu’il ne le ferait s’il croyait avoir affaire à une ennemie masquée. […] Il est question, dans une lettre de Grimm à Mme d’Épinay, d’un roman « ni bon, ni mauvais », que Mme de Verdelin avait composé dans sa première jeunesse ; mais elle-même paraît l’avoir complètement oublié, et il ne perce pas le plus petit bout d’oreille de la femme auteur dans tout le cours de sa Correspondance avec Jean-Jacques.
À toutes ces questions, nous chercherons tout à l’heure une réponse. — En attendant, posons seulement que, lorsque nous percevons un objet par les sens, lorsque nous voyons un arbre à dix pas, lorsque nous prenons une boule dans la main, notre perception consiste dans la naissance d’un fantôme interne d’arbre ou de boule, qui nous paraît une chose extérieure, indépendante, durable, et située, l’une à dix pas, l’autre dans notre main. […] « La question est maintenant de savoir ce que nous avons dans l’esprit, quand nous nous représentons, sous la forme de l’étendue ou de l’espace interposé, la relation qui existe entre les deux objets déjà connus comme simultanés, relation que nous ne supposons pas exister entre l’odeur et la couleur. […] « Quand ce point a été atteint, les possibilités permanentes en question ont pris un aspect et un rôle par rapport à nous si différents du rôle et de l’aspect que revêtent nos sensations, qu’elles ne peuvent manquer, et cela par le jeu naturel de notre constitution mentale, d’être conçues et crues comme au moins aussi différentes de nos sensations qu’une sensation l’est d’une autre. […] Force ou nécessité, ces deux termes s’équivalent ; ils indiquent que l’événement en question doit s’accomplir ; l’une et l’autre sont des particularités, des manières d’être extraites de l’événement et isolées par une fiction mentale.
Aristote s’enfonce ainsi au cœur même de la question du mouvement, et il résout ce problème si obscur par les principes qu’il a posés antérieurement et qu’il regarde comme indubitables. […] En quel lieu réside-t-il, si toutefois on peut, sur l’infini et l’éternel, élever une telle question ? […] Ainsi chaque philosophe qui étudie cette question devrait remonter aux principes métaphysiques qu’elle sous-entend. […] « Tel est à peu près l’ensemble de la science morale et des questions qu’elle doit étudier dans tous leurs détails, sous toutes leurs faces.
Coulon ne veut seulement « remettre De l’inutilité du théâtre au théâtre -je crois que la question est définitivement tranchée de savoir si le théâtre doit s’adapter à la foule ou la foule au théâtre. […] Nous ne reviendrons pas sur la question entendue une fois pour toute de la stupidité du trompe-l’œil. […] Questions de théâtre Quelles sont les conditions essentielles du théâtre ? […] Il n’est pas interdit de penser que ce tableau — ou un autre — pourrait être le fameux vitrail dont il est question dans l’Amour absolu.