Il n’est pas question d’eux ni de leurs acolytes, dans l’ouvrage que je signale. […] On l’ennuie, par de telles questions. […] Nouvelles questions ? […] « Nous sommes entourés de questions, nous vivons dans une forêt de questions ; où que nous jetions les yeux, une question se dresse ! […] … À cette question : qui est coupable de la guerre ?
Voilà précisément la question ; du moins je déclare que je ne vais pas plus loin, et ce n’est point un pas que je fasse en arriere, je n’ai jamais passé ces bornes. […] Bien des gens s’embarrassent du fonds de la question. […] Pourquoi chercher la question au-delà des faits ? […] On vous crie de venir au fait : vous en tenez-vous aux questions particulieres ? […] Ses plus zêlez partisans conviennent eux-mêmes qu’elle a trahi sa cause, en la voulant rendre trop triomphante, et ainsi il n’y a pas de question à son égard.
Depuis le commencement de toute cette discussion, les protestants sont dans une anxiété extrême, ils sont comme sur les épines, écoutant toujours s’il n’est pas question d’eux, si rien ne les blesse : le fait est que dans cette grande discussion entre les catholiques et l’Université, entre la religion dominante et la philosophie dominante, personne parmi les contendants ne pense au protestantisme ni aux dissidents des diverses communions.
Je désire ajouter que ces études, car sans être de la philologie elles s’appuient constamment sur la philologie romane et sur la linguistique générale, ont été aperçues de ceux dont l’approbation m’était nécessaire, alors que sans préparation apparente, je me hasardais à des questions auxquelles il est d’usage, entre littérateurs, de ne pas répondre.