D’après ces principes, M. […] Couerbe, qui avait cru trouver en effet dans le phosphore le principe excitateur du système nerveux.
., offre le même fond d’idées que Fénélon développa depuis dans le Télémaque : ce sont les principes dont il fit la base de l’éducation du duc de Bourgogne. Si ces principes, connus ensuite de Louis XIV, plus de quinze ans après, occasionnèrent la disgrâce de Fénélon, on peut juger de la manière dont La Fontaine aurait été reçu, s’il se fût avisé d’imiter jusqu’au bout l’original italien.
C’est ainsi qu’une nouvelle conception prit racine dans l’instinct même de l’homme ; le principe de sa force est là. […] Nous ne tirons pas de conclusions, mais nous posons des principes désormais acquis.
» Mais il faut quelque chose de plus grave aux oreilles romaines que cette mythologie pittoresque, et le poëte reprend alors : « Que dirai-je avant la louange tant répétée du Père souverain, qui régit les choses humaines et divines, l’Océan, la terre et le monde, dans l’ordre varié des saisons, immortel principe, d’où ne sort rien de plus grand que lui, et près de qui ne s’élève rien de semblable ou d’approchant. […] « En te faisant petit devant les dieux, tu commandes aux nations : c’est là le principe de tout ; là tu dois tout ramener.